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Poeme : Révolutions



Révolutions

La mer monte et démonte nos châteaux
Ensablés sur nos grandes plages nues
Vierge de toutes pensées incongrues.
Laissant après la marée que débris d’idéaux.

Ne pouvant prévoir la hauteur du monticule
Aux premières vagues nous fermons les yeux.
Faibles barricades faces au assaut de la bleue.
Croyant plein d’illusions et coincé dans une bulle

Un jour viendra ou la mer nous emportera
Dans un dernier combat enfin nous connaîtrons.
Le prix de nos rêves et divagations

Un jour viendra ou le ciel bleu s’ouvrira.
Appelez ça sagesse, miracle ou révélation
Nous crierons révolutions
Archange St Michel

PostScriptum

parce que notre vie est bien la notre.
nous devons la faire et ne pas nous laisser gouverner.
nous devons penser par nous même, regarder par nos yeux.
l’espoir et l’amour sont nos forces. etre libre dans son coeur.
petite dédicace à une pit fille qui


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Poème en Phonétique

la mεʁ mɔ̃tə e demɔ̃tə no ʃato
ɑ̃sable syʁ no ɡʁɑ̃də plaʒə nɥ
vjεʁʒə də tutə pɑ̃sez- ɛ̃kɔ̃ɡʁy.
lεsɑ̃ apʁε la maʁe kə debʁi dideo.

nə puvɑ̃ pʁevwaʁ la-otœʁ dy mɔ̃tikylə
o pʁəmjεʁə vaɡ nu fεʁmɔ̃ lεz- iø.
fεblə baʁikadə fasəz- o aso də la blø.
kʁwajɑ̃ plɛ̃ dilyzjɔ̃z- e kwɛ̃se dɑ̃z- ynə bylə

œ̃ ʒuʁ vjɛ̃dʁa u la mεʁ nuz- ɑ̃pɔʁtəʁa
dɑ̃z- œ̃ dεʁnje kɔ̃ba ɑ̃fɛ̃ nu kɔnεtʁɔ̃.
lə pʁi də no ʁεvəz- e divaɡasjɔ̃

œ̃ ʒuʁ vjɛ̃dʁa u lə sjεl blø suvʁiʁa.
apəle sa saʒεsə, miʁaklə u ʁevelasjɔ̃
nu kʁjəʁɔ̃ ʁevɔlysjɔ̃