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Poeme : Céline,



Céline,

Petite fleur collée copiée
Tu ris, tu pleures et tu aimes
Aux tristes murmures acidulés
Les beaux rêves de ta sœur ainée.

Pourtant tu essayais d’exister
A travers mimiques et grimaces
Ce que ta jumelle parodiait
De ses quatorze mois plus tôt née.

Tu as su grandir et avancer
Beauté douce comme l’azur
Cherchant en toi ton identité
Dans la vie réfléchie et aimée.

Femme aux multiples talents
Tu gardes ce côté magique
Toutes questions en les comparant
Et les garçons en les étudiant.

Identique à la fleur parfumée
Tu ne passes pas inaperçue
Catalysatrice à la beauté
Attirant les regards des années.

Tu sauras enfin un jour aimer
Celui bien dans sa tête et son cœur
Qui pourra heureux avancer
Dans l’avenir à deux enlacés.

Le 25 novembre 2013.
Basile

PostScriptum

A ma fille Céline


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Poème en Phonétique

pətitə flœʁ kɔle kɔpje
ty ʁis, ty plœʁəz- e ty εmə
o tʁistə myʁmyʁəz- asidyle
lε bo ʁεvə də ta sœʁ εne.

puʁtɑ̃ ty esεjε dεɡziste
a tʁavεʁ mimikz- e ɡʁimasə
sə kə ta ʒymεllə paʁɔdjε
də sε katɔʁzə mwa plys to ne.

ty a sy ɡʁɑ̃diʁ e avɑ̃se
bote dusə kɔmə lazyʁ
ʃεʁʃɑ̃ ɑ̃ twa tɔ̃n- idɑ̃tite
dɑ̃ la vi ʁefleʃi e εme.

famə o myltiplə talɑ̃
ty ɡaʁdə- sə kote maʒikə
tutə kεstjɔ̃z- ɑ̃ lε kɔ̃paʁɑ̃
e lε ɡaʁsɔ̃z- ɑ̃ lεz- etydjɑ̃.

idɑ̃tikə a la flœʁ paʁfyme
ty nə pasə pa inapεʁsɥ
katalizatʁisə a la bote
atiʁɑ̃ lε ʁəɡaʁd dεz- ane.

ty soʁaz- ɑ̃fɛ̃ œ̃ ʒuʁ εme
səlɥi bjɛ̃ dɑ̃ sa tεtə e sɔ̃ kœʁ
ki puʁʁa œʁøz- avɑ̃se
dɑ̃ lavəniʁ a døz- ɑ̃lase.

lə vɛ̃t- sɛ̃k nɔvɑ̃bʁə dø milə tʁεzə.