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Poeme : Ma Sœur, Mon Amour, Ma Vie !



A Propos

Combien de fois, avons-nous joué ensemble ?
Combien de fois, avons-nous rigolé ensemble ?
Combien de fois, avons-nous pleuré ensemble ?

Combien de fois, m’avais-tu donné des coups de pied
Dans le ventre de notre mère ?
Combien de fois, t’avais-je donné des coups à mon tour ?

Bon vieux temps ! J’aimerais tant que tu reviens !

La première fois quand je t’avais vu,
Quelle horreur ! Elle ressemble à moi.

Le temps est passé, rien n’avait changé.
Tu étais toujours là avec moi.

Avec tes grands yeux bleus qui me regardaient,
Avec ma bouche qui te parlait,
Avec ton cœur qui m’aimait.

Le bonheur de t’avoir quand j’avais besoin de moi.
Le bonheur de m’avoir quand tu avais besoin de toi.

Avec le temps, les nuages sont arrivés,
Noirs, menaçants, sombres, sinistres, redoutables,
Insensible et sans pitié.

Tu m’as quittée tout comme je me suis quittée.
Tu as disparu à jamais avec moi.

Ma Sœur, Mon Amour, Ma Vie !

Combien de fois, avons-nous joué ensemble ?
Combien de fois, avons-nous rigolé ensemble ?
Combien de fois, avons-nous pleuré ensemble ?

Combien de fois, m’avais-tu donné des coups de pied
Dans le ventre de notre mère ?
Combien de fois, t’avais-je donné des coups à mon tour ?

Bon vieux temps ! J’aimerais tant que tu reviens !

La première fois quand je t’avais vu,
Quelle horreur ! Elle ressemble à moi.

Le temps est passé, rien n’avait changé.
Tu étais toujours là avec moi.

Avec tes grands yeux bleus qui me regardaient,
Avec ma bouche qui te parlait,
Avec ton cœur qui m’aimait.

Le bonheur de t’avoir quand j’avais besoin de moi.
Le bonheur de m’avoir quand tu avais besoin de toi.

Avec le temps, les nuages sont arrivés,
Noirs, menaçants, sombres, sinistres, redoutables,
Insensible et sans pitié.

Tu m’as quittée tout comme je me suis quittée.
Tu as disparu à jamais avec moi.
Alta21

PostScriptum

Combien de fois, avons-nous joué ensemble ?
Combien de fois, avons-nous rigolé ensemble ?
Combien de fois, avons-nous pleuré ensemble ?

Combien de fois, m’avais-tu donné des coups de pied
Dans le ventre de notre mère ?
Combien de fois, t’avais-je donné des coups à mon tour ?

Bon vieux temps ! J’aimerais tant que tu reviens !

La première fois quand je t’avais vu,
Quelle horreur ! Elle ressemble à moi.

Le temps est passé, rien n’avait changé.
Tu étais toujours là avec moi.

Avec tes grands yeux bleus qui me regardaient,
Avec ma bouche qui te parlait,
Avec ton cœur qui m’aimait.

Le bonheur de t’avoir quand j’avais besoin de moi.
Le bonheur de m’avoir quand tu avais besoin de toi.

Avec le temps, les nuages sont arrivés,
Noirs, menaçants, sombres, sinistres, redoutables,
Insensible et sans pitié.

Tu m’as quittée tout comme je me suis quittée.
Tu as disparu à jamais avec moi.


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Poème en Phonétique

kɔ̃bjɛ̃ də fwa, avɔ̃ nu ʒue ɑ̃sɑ̃blə ?
kɔ̃bjɛ̃ də fwa, avɔ̃ nu ʁiɡɔle ɑ̃sɑ̃blə ?
kɔ̃bjɛ̃ də fwa, avɔ̃ nu pləʁe ɑ̃sɑ̃blə ?

kɔ̃bjɛ̃ də fwa, mavε ty dɔne dε ku də pje
dɑ̃ lə vɑ̃tʁə də nɔtʁə mεʁə ?
kɔ̃bjɛ̃ də fwa, tavε ʒə dɔne dε kuz- a mɔ̃ tuʁ ?

bɔ̃ vjø tɑ̃ ! ʒεməʁε tɑ̃ kə ty ʁəvjɛ̃ !

la pʁəmjεʁə fwa kɑ̃ ʒə tavε vy,
kεllə ɔʁœʁ ! εllə ʁəsɑ̃blə a mwa.

lə tɑ̃z- ε pase, ʁjɛ̃ navε ʃɑ̃ʒe.
ty etε tuʒuʁ la avεk mwa.

avεk tε ɡʁɑ̃z- iø bløs ki mə ʁəɡaʁdε,
avεk ma buʃə ki tə paʁlε,
avεk tɔ̃ kœʁ ki mεmε.

lə bɔnœʁ də tavwaʁ kɑ̃ ʒavε bəzwɛ̃ də mwa.
lə bɔnœʁ də mavwaʁ kɑ̃ ty avε bəzwɛ̃ də twa.

avεk lə tɑ̃, lε nɥaʒə sɔ̃t- aʁive,
nwaʁ, mənasɑ̃, sɔ̃bʁə, sinistʁə, ʁədutablə,
ɛ̃sɑ̃siblə e sɑ̃ pitje.

ty ma kite tu kɔmə ʒə mə sɥi kite.
ty a dispaʁy a ʒamεz- avεk mwa.