Poeme : Une Prison

Chaque fois que je mets les pieds ici. .
Mon cœur cris. . au bruit de votre mélodie. .
Il suffit d’une parole, d’un mot…
Pour que tout devienne en morceau. .
Si vous saviez comment je me sens prisonnière. .
Je crois que nous serons toujours en guerre. .
Nous sommes trop différents. .
Vous les parents. .
Il n’y a pas un jour,
Ou je ne me fais pas crier des règles. .
Il n’y a pas un jour,
Que vous ne devennez pas espiègle. .
Je voudrais la liberté. .
Si vous saviez. .
Mais c’est trop vous demandez,
Allez, réveillez-vous !
Regardez-nous. .
Maintenant, je n’es que l’espérance. .
Arrêter la délinquance. .
Pouvoir resourire à la vie,
Et revivre ma vie. .
Mais si un jour je ne suis plus ici. .
Rappellez-vous de ceci :
Voici mon cœur briser
Que vous avez déchirer
Entre vous deux mains
Qui ne font rien de biens. .
Qui ne font qu’étendre la peine. .
Dans mon cœur plein de haine. .
Si vous ne comprenez pas ceci
Rester dans la peine de m’avoir perdu
Car jamais je ne reviendrais ici. .
C’est trop dur au millieu des ennuis. .
Désoler, ouvrez vous les yeux. .
Et vous comprendrez mieux. .

ʃakə fwa kə ʒə mεt lε pjez- isi.
mɔ̃ kœʁ kʁi. o bʁɥi də vɔtʁə melɔdi.
il syfi dynə paʁɔlə, dœ̃ mo…
puʁ kə tu dəvjεnə ɑ̃ mɔʁso.
si vu savje kɔmɑ̃ ʒə mə sɑ̃s pʁizɔnjεʁə.
ʒə kʁwa kə nu səʁɔ̃ tuʒuʁz- ɑ̃ ɡeʁə.
nu sɔmə tʁo difeʁɑ̃.
vu lε paʁɑ̃.
il ni a pa œ̃ ʒuʁ,
u ʒə nə mə fε pa kʁje dε ʁεɡlə.
il ni a pa œ̃ ʒuʁ,
kə vu nə dəvεne pa εspjεɡlə.
ʒə vudʁε la libεʁte.
si vu savje.
mε sε tʁo vu dəmɑ̃de,
ale, ʁevεje vu !
ʁəɡaʁde nu.
mɛ̃tənɑ̃, ʒə nε kə lεspeʁɑ̃sə.
aʁεte la delɛ̃kɑ̃sə.
puvwaʁ ʁəsuʁiʁə a la vi,
e ʁəvivʁə ma vi.
mε si œ̃ ʒuʁ ʒə nə sɥi plysz- isi.
ʁapεlle vu də səsi :
vwasi mɔ̃ kœʁ bʁize
kə vuz- ave deʃiʁe
ɑ̃tʁə vu dø mɛ̃
ki nə fɔ̃ ʁjɛ̃ də bjɛ̃.
ki nə fɔ̃ ketɑ̃dʁə la pεnə.
dɑ̃ mɔ̃ kœʁ plɛ̃ də-εnə.
si vu nə kɔ̃pʁəne pa səsi
ʁεste dɑ̃ la pεnə də mavwaʁ pεʁdy
kaʁ ʒamε ʒə nə ʁəvjɛ̃dʁεz- isi.
sε tʁo dyʁ o miljø dεz- ɑ̃nɥi.
dezɔle, uvʁe vu lεz- iø.
e vu kɔ̃pʁɑ̃dʁe mjø.