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Poeme : Coup De Poing



Coup De Poing

Jamais le premier, toujours poli.
Toujours piquant, toujours vexant,
Fait gaf à mes airs innocents,
Le premier qui m’agresse, au sol git.
J’suis un prince des festins,
J’ai les muscles qu’sont serrés,
Et les coups m’ont forgé,
Ours qu’a l’air d’un crétin.

On profite, on se croit chic ?
Va jusqu’au bout de ta trique.
Tu me touches, je te croque,
Même l’homme fort qui veut le choc.
Sa paupière s’est coupée,
Et sous l’œil est tombée.
Le dernier qu’a voulu
Jouer au con, il a chu.
Ca m’a plu.
Delideal

PostScriptum

… Ca n’arrive que peu. Et c’est toujours pour la bonne cause.


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Poème en Phonétique

ʒamε lə pʁəmje, tuʒuʁ pɔli.
tuʒuʁ pikɑ̃, tuʒuʁ vεksɑ̃,
fε ɡaf a mεz- εʁz- inɔsɑ̃,
lə pʁəmje ki maɡʁεsə, o sɔl ʒit.
ʒsɥiz- œ̃ pʁɛ̃sə dε fεstɛ̃,
ʒε lε mysklə ksɔ̃ seʁe,
e lε ku mɔ̃ fɔʁʒe,
uʁ ka lεʁ dœ̃ kʁetɛ̃.

ɔ̃ pʁɔfitə, ɔ̃ sə kʁwa ʃik ?
va ʒysko bu də ta tʁikə.
ty mə tuʃə, ʒə tə kʁɔkə,
mεmə lɔmə fɔʁ ki vø lə ʃɔk.
sa popjεʁə sε kupe,
e su lœj ε tɔ̃be.
lə dεʁnje ka vuly
ʒue o kɔ̃, il a ʃy.
ka ma ply.