Poeme : Les Vacances

Ville qui passe et autant de vie que j’oublie, hier qui s’efface, le show continue
Aujourd’hui ! la peur qui s’installe, avant le grand choque, juste avant ! ! !
Je reprend ma place tout seul devant ! ! ! et qu’est ce qui claque, le feu des
Poursuites sur ma peau, des qui se temdent, pour porter ma voix et que je cri
Bien plus haut, un dernier visage, un dernier salut et suis plus là ! ! !
Je ferme les yeux et je repare là bas ! ! !
À la sierra guadnada ! ! !
YO ESTA EL SIERRA GUADNADA ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

vilə ki pasə e otɑ̃ də vi kə ʒubli, jεʁ ki sefasə, lə ʃɔw kɔ̃tinɥ
oʒuʁdɥi ! la pœʁ ki sɛ̃stalə, avɑ̃ lə ɡʁɑ̃ ʃɔkə, ʒystə avɑ̃ ! ! !
ʒə ʁəpʁɑ̃ ma plasə tu səl dəvɑ̃ ! ! ! e kε sə ki klakə, lə fø dε
puʁsɥitə syʁ ma po, dε ki sə tεmde, puʁ pɔʁte ma vwa e kə ʒə kʁi
bjɛ̃ plys-o, œ̃ dεʁnje vizaʒə, œ̃ dεʁnje saly e sɥi plys la ! ! !
ʒə fεʁmə lεz- iøz- e ʒə ʁəpaʁə la ba ! ! !
a la sjeʁa ɡadnada ! ! !
io εsta εl sjeʁa ɡadnada ! ! !