Poeme : Le Travail, C’est L’amour.
A Propos
Dans un monde souvent tourné vers la quête du profit et de la reconnaissance extérieure, il est facile d’oublier la valeur profonde et invisible du travail. Ce texte se veut une ode à cette forme d’amour silencieuse et quotidienne, ce labeur qui façonne notre vie, notre monde et nos valeurs.
Le travail, loin d’être une simple contrainte, devient ici un acte d’amour – un engagement envers soi-même, envers les autres et envers un avenir collectif. Chaque geste, chaque effort, chaque sacrifice, même les plus modestes, trouvent un sens dans cette vision. C’est l’amour du métier, de l’enseignement, du partage, de la construction d’un monde meilleur.
Le Travail, C’est L’amour.
Construire demain,
De ses propres mains,
Supporter les douleurs,
De son dur labeur,
Pour un monde meilleur,
Le travail c’est de l’amour,
Rendu visible tous les jours.
L’aube en chemin,
Trouve chaque matin,
Ce brave laboureur,
De bonne humeur,
Pour une moisson meilleure.
Celui qui forme avec passion,
Transmet bien plus qu’une leçon,
Il forge l’âme des plus petits,
Il donne un sens à leur avenir.
Le travail c’est l’amour,
D’une vie entière,
Il modèle les frontières,
De notre bravoure.
Une vie sans amour, Est une vie de travers,
Avec d’hypocrites discours,
N’aboutissant sur aucun portail,
Offrant la plénitude d’un travail.
Devant tout amour grondeur,
S’ouvre un noble labeur,
Accompli avec ferveur,
Trouve sa splendeur.
Le travail, c’est la preuve d’amour,
L’amour, c’est juste le travail,
Rendu visible tous les jours.
PostScriptum
L’amour et le travail sont inextricablement liés : le travail est l’expression visible de l’amour, et l’amour trouve son plein épanouissement dans l’action. Un monde sans amour serait sans direction, sans sens, tout comme un travail sans passion serait une mécanique vide de sa raison d’être. Le texte nous invite à voir dans chaque effort quotidien la beauté de l’engagement, à y trouver une source infinie d’inspiration et de vie.
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Poème en Phonétique
kɔ̃stʁɥiʁə dəmɛ̃,
də sε pʁɔpʁə- mɛ̃,
sypɔʁte lε dulœʁ,
də sɔ̃ dyʁ labœʁ,
puʁ œ̃ mɔ̃də mεjœʁ,
lə tʁavaj sε də lamuʁ,
ʁɑ̃dy viziblə tus lε ʒuʁ.
lobə ɑ̃ ʃəmɛ̃,
tʁuvə ʃakə matɛ̃,
sə bʁavə labuʁœʁ,
də bɔnə ymœʁ,
puʁ ynə mwasɔ̃ mεjəʁə.
səlɥi ki fɔʁmə avεk pasjɔ̃,
tʁɑ̃smε bjɛ̃ plys kynə ləsɔ̃,
il fɔʁʒə lamə dε plys pəti,
il dɔnə œ̃ sɑ̃sz- a lœʁ avəniʁ.
lə tʁavaj sε lamuʁ,
dynə vi ɑ̃tjεʁə,
il mɔdεlə lε fʁɔ̃tjεʁə,
də nɔtʁə bʁavuʁə.
ynə vi sɑ̃z- amuʁ, εt- ynə vi də tʁavεʁ,
avεk dipɔkʁitə diskuʁ,
nabutisɑ̃ syʁ okœ̃ pɔʁtaj,
ɔfʁɑ̃ la plenitydə dœ̃ tʁavaj.
dəvɑ̃ tut- amuʁ ɡʁɔ̃dœʁ,
suvʁə œ̃ nɔblə labœʁ,
akɔ̃pli avεk fεʁvœʁ,
tʁuvə sa splɑ̃dœʁ.
lə tʁavaj, sε la pʁəvə damuʁ,
lamuʁ, sε ʒystə lə tʁavaj,
ʁɑ̃dy viziblə tus lε ʒuʁ.