Poeme : Maman, Chérie…
A Propos
L’amour d’une mère est un souffle qui ne s’éteint jamais, une lumière douce qui éclaire nos chemins, même dans l’obscurité. Ce poème est une ode à cette présence infinie, à cette tendresse qui berce, guide et console. Il exprime l’indicible, ces émotions profondes qu’aucun mot ne saurait totalement capturer.
À travers ces vers, c’est un hommage à toutes les mères, à leur patience, à leur force et à cet amour inconditionnel qui façonne nos âmes. Que ce texte résonne en chaque cœur, comme un murmure d’amour intemporel, un écho de gratitude éternelle.
Maman, Chérie…
Tout l’amour qui bat en moi ?
Comment exprimer sans faux pas,
Ce que ton cœur me donna ?
En ton sein, j’ai vu le jour,
Dans tes bras, bercé d’amour,
Ton souffle apaisait mes nuits,
Ton lait fit grandir ma vie.
Si parfois tes mots me grondent,
Tu devines quand tout m’inonde,
Quand la vie me blesse et tremble,
Tu es là, douce et stable.
Que ferais-je, sans ta voix,
Qui éclaire chacun de mes pas ?
Tes conseils, même dans l’ombre,
Guident mes rêves sans encombre.
Je me souviens de tes mains douces,
Caressant l’aube sur ma joue,
De nos rires, de nos prières,
De ces repas pleins de lumière.
Un jour, la vie nous séparera,
Mais n’aie crainte, tu resteras,
Dans mon cœur, dans mes pensées,
Maman chérie, pour l’éternité.
PostScriptum
Les mots ne suffisent jamais à peindre l’immensité d’un amour maternel. Ce poème n’est qu’un écho, un murmure, face à tout ce que tu as donné, face à tout ce que tu es. Maman, chaque battement de mon cœur résonne de ta tendresse, chaque pas que je fais porte ton empreinte. Et même si le temps passe, même si l’absence venait à s’imposer, sache que ton amour est une lumière éternelle, gravée en moi comme une étoile qui ne s’éteint jamais.
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Poème en Phonétique
tu lamuʁ ki ba ɑ̃ mwa ?
kɔmɑ̃ εkspʁime sɑ̃ fo pa,
sə kə tɔ̃ kœʁ mə dɔna ?
ɑ̃ tɔ̃ sɛ̃, ʒε vy lə ʒuʁ,
dɑ̃ tε bʁa, bεʁse damuʁ,
tɔ̃ suflə apεzε mε nɥi,
tɔ̃ lε fi ɡʁɑ̃diʁ ma vi.
si paʁfwa tε mo mə ɡʁɔ̃de,
ty dəvinə kɑ̃ tu minɔ̃də,
kɑ̃ la vi mə blεsə e tʁɑ̃blə,
ty ε la, dusə e stablə.
kə fəʁε ʒə, sɑ̃ ta vwa,
ki eklεʁə ʃakœ̃ də mε pa ?
tε kɔ̃sεj, mεmə dɑ̃ lɔ̃bʁə,
ɡide mε ʁεvə sɑ̃z- ɑ̃kɔ̃bʁə.
ʒə mə suvjɛ̃ də tε mɛ̃ dusə,
kaʁesɑ̃ lobə syʁ ma ʒu,
də no ʁiʁə, də no pʁjεʁə,
də sε ʁəpa plɛ̃ də lymjεʁə.
œ̃ ʒuʁ, la vi nu sepaʁəʁa,
mε nε kʁɛ̃tə, ty ʁεstəʁa,
dɑ̃ mɔ̃ kœʁ, dɑ̃ mε pɑ̃se,
mamɑ̃ ʃeʁi, puʁ letεʁnite.