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Poeme : Le Nombre D’or



Le Nombre D’or

La nature la toujours inspirer,
Etudiant sans cesse, pour s’améliorer,
Outrepassé ces connaissances, pour les repoussés,
Ne se fixant pour limites, que celle qu’il s’est créer.

A travers ces magnifiques oeuvres d’arts,
Retranscrivant son génie, son savoir,
Demeurant dans les plus grand musées,
De ce monde, qu’il a influencé.

En nous laissant des milliers d’écrits,
Visant à nous montrer ce qu’il a appris,
Insérant des dessins, et des crocquis,
N’ayant pour but, que de montrer sa vie.

Cet homme et pour moi, le plus grand des génies,
Imaginant sans cesse, pour améliorer la vie.
Evangelista

PostScriptum

Ce poème rend hommage à un génie, dont le prénom c’est les initiales de mes vers.
Le nombre d’or, c’est l’heure a laquelle a était déposé ce poème (1. 618) .

« Le génie de homme, n’a pour limites, que celles qu’ils s’imposent. »


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Poème en Phonétique

la natyʁə la tuʒuʁz- ɛ̃spiʁe,
ətydjɑ̃ sɑ̃ sεsə, puʁ sameljɔʁe,
utʁəpase sε kɔnεsɑ̃sə, puʁ lε ʁəpuse,
nə sə fiksɑ̃ puʁ limitə, kə sεllə kil sε kʁee.

a tʁavεʁ sε maɲifikz- œvʁə- daʁ,
ʁətʁɑ̃skʁivɑ̃ sɔ̃ ʒeni, sɔ̃ savwaʁ,
dəməʁɑ̃ dɑ̃ lε plys ɡʁɑ̃ myze,
də sə mɔ̃də, kil a ɛ̃flɥɑ̃se.

ɑ̃ nu lεsɑ̃ dε milje dekʁi,
vizɑ̃ a nu mɔ̃tʁe sə kil a apʁi,
ɛ̃seʁɑ̃ dε desɛ̃, e dε kʁɔki,
nεjɑ̃ puʁ byt, kə də mɔ̃tʁe sa vi.

sεt ɔmə e puʁ mwa, lə plys ɡʁɑ̃ dε ʒeni,
imaʒinɑ̃ sɑ̃ sεsə, puʁ ameljɔʁe la vi.