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Poeme : Tu Es Né Libre !



Tu Es Né Libre !

Tu es né libre

S’il fallait même mourir
Pour renaître plus léger
Un particule qu’emporte le zéphyr
Dans un univers de liberté ;
J’aimerais mourir de bon gré
Non pour périr mais pour ressusciter
Plus léger, plus sage, plus serein,
Plus libre, plus doux comme un refrain.

Je chanterais, alors, la liberté chère ;
Un cri de défi au nez de la barbarie.
Je me ferais l’hymne de l’univers
Qui vivrait d’amour et de poésie.

Liberté ! tu es mon rêve précieux
Que je quête sur terre et dans les cieux.
Ici-bas, je te réclame chez les gueux
Et là-bas, tu es la faveur du Sacré Dieu.

Le Dieu qui, en créant les vivants
Leur a légué la liberté pour nom.
« Tu es né libre, du sein d’une maman ;
Qui t’aurait, sur terre, asservi, nonobstant ? »

H. M. M (le 11/1/2015)
Coin.rigolo

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Poème en Phonétique

ty ε ne libʁə

sil falε mεmə muʁiʁ
puʁ ʁənεtʁə plys leʒe
œ̃ paʁtikylə kɑ̃pɔʁtə lə zefiʁ
dɑ̃z- œ̃n- ynive də libεʁte,
ʒεməʁε muʁiʁ də bɔ̃ ɡʁe
nɔ̃ puʁ peʁiʁ mε puʁ ʁesysite
plys leʒe, plys saʒə, plys səʁɛ̃,
plys libʁə, plys du kɔmə œ̃ ʁəfʁɛ̃.

ʒə ʃɑ̃təʁε, alɔʁ, la libεʁte ʃεʁə,
œ̃ kʁi də defi o ne də la baʁbaʁi.
ʒə mə fəʁε limnə də lynive
ki vivʁε damuʁ e də pɔezi.

libεʁte ! ty ε mɔ̃ ʁεvə pʁesjø
kə ʒə kεtə syʁ teʁə e dɑ̃ lε sjø.
isi ba, ʒə tə ʁeklamə ʃe lε ɡø
e la ba, ty ε la favœʁ dy sakʁe djø.

lə djø ki, ɑ̃ kʁeɑ̃ lε vivɑ̃
lœʁ a leɡe la libεʁte puʁ nɔ̃.
« ty ε ne libʁə, dy sɛ̃ dynə mamɑ̃,
ki toʁε, syʁ teʁə, asεʁvi, nonɔpstɑ̃ ? »

aʃ. εm. m (lə ɔ̃zə slaʃ œ̃ slaʃ dø milə kɛ̃zə)