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Poeme : Les Cinq Étoiles.



A Propos

Merci à mes enfants, mes cinq étoiles d’amour,

Les Cinq Étoiles.

Dans le ciel de ma vie, brillent cinq étoiles,
Chaque lumière une surprise, un doux récit sans escale.
Ce sont mes enfants, mes joyaux si précieux,
Chaque scintillement, un amour silencieux.

Ils sont venus à moi, tels des astres filants,
Illuminant mes jours, mes nuits, à tout instant.
Dans leurs yeux je vois, tout ce que j’ai rêvé,
Des mondes inconnus, des désirs élevés.

La première étoile, forte et rayonnante,
Guide notre chemin, sa lueur étincelante.
La seconde, douce et sereine,
Apaise nos peines, efface nos chaînes.

La troisième, joyeuse et pleine d’éclat,
Nous rappelle le bonheur, à chaque écart.
La quatrième, mystérieuse et profonde,
Nous entraîne dans ses rêves, où tout abonde.

La cinquième et dernière, fragile et pure,
Nous protège et nous rassure.
Ensemble, elles forment une constellation,
Symbole de notre union, de notre passion.

Merci à mes enfants, mes cinq étoiles d’amour,
Pour cette surprise, ce cadeau, qui durera toujours.
Dans le ciel de mon cœur, vous brillerez à jamais,
Ma joie, mon bonheur, mes doux bienfaits.
Inamtom

PostScriptum

L’histoire de ce poème souligne l’importance inestimable de la famille et des liens qui unissent les membres entre eux. Chacun de ses enfants, et représenté par une étoile, apporte sa propre lumière unique et précieuse à la vie de leurs parents. Ensemble, ils forment une unité brillante et forte, symbolisant l’amour inconditionnel, le soutien et la joie qu’ils apportent les uns aux autres. Ainsi, la famille est présentée comme une source constante de bonheur, de protection et d’inspiration.


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Poème en Phonétique

dɑ̃ lə sjεl də ma vi, bʁije sɛ̃k etwalə,
ʃakə lymjεʁə ynə syʁpʁizə, œ̃ du ʁesi sɑ̃z- εskalə.
sə sɔ̃ mεz- ɑ̃fɑ̃, mε ʒwajo si pʁesjø,
ʃakə sɛ̃tijmɑ̃, œ̃n- amuʁ silɑ̃sjø.

il sɔ̃ vənysz- a mwa, tεl dεz- astʁə- filɑ̃,
ilyminɑ̃ mε ʒuʁ, mε nɥi, a tut- ɛ̃stɑ̃.
dɑ̃ lœʁz- iø ʒə vwa, tu sə kə ʒε ʁεve,
dε mɔ̃dəz- ɛ̃kɔnys, dε deziʁz- eləve.

la pʁəmjεʁə etwalə, fɔʁtə e ʁεjɔnɑ̃tə,
ɡidə nɔtʁə ʃəmɛ̃, sa lɥœʁ etɛ̃səlɑ̃tə.
la səɡɔ̃də, dusə e səʁεnə,
apεzə no pεnə, efasə no ʃεnə.

la tʁwazjεmə, ʒwajøzə e plεnə dekla,
nu ʁapεllə lə bɔnœʁ, a ʃakə ekaʁ.
la katʁjεmə, misteʁjøzə e pʁɔfɔ̃də,
nuz- ɑ̃tʁεnə dɑ̃ sε ʁεvə, u tut- abɔ̃də.

la sɛ̃kjεmə e dεʁnjεʁə, fʁaʒilə e pyʁə,
nu pʁɔtεʒə e nu ʁasyʁə.
ɑ̃sɑ̃blə, εllə fɔʁme ynə kɔ̃stεllasjɔ̃,
sɛ̃bɔlə də nɔtʁə ynjɔ̃, də nɔtʁə pasjɔ̃.

mεʁsi a mεz- ɑ̃fɑ̃, mε sɛ̃k etwalə damuʁ,
puʁ sεtə syʁpʁizə, sə kado, ki dyʁəʁa tuʒuʁ.
dɑ̃ lə sjεl də mɔ̃ kœʁ, vu bʁijʁez- a ʒamε,
ma ʒwa, mɔ̃ bɔnœʁ, mε du bjɛ̃fε.