Poeme : L’écho De La Terre.
A Propos
Dans le souffle chaud des jours incertains,
La terre murmure, étouffée par le chagrin
L’écho De La Terre.
Dans le souffle chaud des jours incertains,
La terre murmure, étouffée par le chagrin.
Les glaciers pleurent, leurs larmes en silence,
Sous un ciel de feu, où la vie prend ses distances.
Les océans dansent, en furie ils s’élèvent,
Avalant les plages, le temps qui s’achève.
Les forêts s’embrasent, leurs cris résonnent,
Dans l’ombre des cimes, la nature s’étonne.
Les saisons se heurtent, leurs rythmes désaccordés,
Les fleurs se fanent, les fruits sont égarés.
Un vent de colère souffle sur les rivages,
Les hommes, égarés, cherchent des passages.
Mais à l’horizon, une lueur d’espoir,
Des voix s’élèvent, prêtes à y croire.
Main dans la main, unissons nos forces,
Pour guérir la terre, pour briser les écorces.
Réveillons nos cœurs, écoutons l’appel,
Des rivières qui serpentent, des montagnes en éveil.
Car si nous agissons, ensemble, en beauté,
Nous pourrons redonner à la vie sa clarté.
La terre murmure, étouffée par le chagrin.
Les glaciers pleurent, leurs larmes en silence,
Sous un ciel de feu, où la vie prend ses distances.
Les océans dansent, en furie ils s’élèvent,
Avalant les plages, le temps qui s’achève.
Les forêts s’embrasent, leurs cris résonnent,
Dans l’ombre des cimes, la nature s’étonne.
Les saisons se heurtent, leurs rythmes désaccordés,
Les fleurs se fanent, les fruits sont égarés.
Un vent de colère souffle sur les rivages,
Les hommes, égarés, cherchent des passages.
Mais à l’horizon, une lueur d’espoir,
Des voix s’élèvent, prêtes à y croire.
Main dans la main, unissons nos forces,
Pour guérir la terre, pour briser les écorces.
Réveillons nos cœurs, écoutons l’appel,
Des rivières qui serpentent, des montagnes en éveil.
Car si nous agissons, ensemble, en beauté,
Nous pourrons redonner à la vie sa clarté.
Inamtom
PostScriptum
Car si nous agissons, ensemble, en beauté,
Nous pourrons redonner à la vie sa clarté.
Enregistré le 26/07/2024
INAMTOM
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Poème en Phonétique
dɑ̃ lə suflə ʃo dε ʒuʁz- ɛ̃sεʁtɛ̃,
la teʁə myʁmyʁə, etufe paʁ lə ʃaɡʁɛ̃.
lε ɡlasje pləʁe, lœʁ laʁməz- ɑ̃ silɑ̃sə,
suz- œ̃ sjεl də fø, u la vi pʁɑ̃ sε distɑ̃sə.
lεz- ɔseɑ̃ dɑ̃se, ɑ̃ fyʁi il selεve,
avalɑ̃ lε plaʒə, lə tɑ̃ ki saʃεvə.
lε fɔʁε sɑ̃bʁaze, lœʁ kʁi ʁezɔne,
dɑ̃ lɔ̃bʁə dε simə, la natyʁə setɔnə.
lε sεzɔ̃ sə œʁte, lœʁ ʁitmə dezakɔʁde,
lε flœʁ sə fane, lε fʁɥi sɔ̃t- eɡaʁe.
œ̃ vɑ̃ də kɔlεʁə suflə syʁ lε ʁivaʒə,
lεz- ɔmə, eɡaʁe, ʃεʁʃe dε pasaʒə.
mεz- a lɔʁizɔ̃, ynə lɥœʁ dεspwaʁ,
dε vwa selεve, pʁεtəz- a i kʁwaʁə.
mɛ̃ dɑ̃ la mɛ̃, ynisɔ̃ no fɔʁsə,
puʁ ɡeʁiʁ la teʁə, puʁ bʁize lεz- ekɔʁsə.
ʁevεjɔ̃ no kœʁ, ekutɔ̃ lapεl,
dε ʁivjεʁə ki sεʁpɑ̃te, dε mɔ̃taɲəz- ɑ̃n- evεj.
kaʁ si nuz- aʒisɔ̃, ɑ̃sɑ̃blə, ɑ̃ bote,
nu puʁʁɔ̃ ʁədɔne a la vi sa klaʁte.
la teʁə myʁmyʁə, etufe paʁ lə ʃaɡʁɛ̃.
lε ɡlasje pləʁe, lœʁ laʁməz- ɑ̃ silɑ̃sə,
suz- œ̃ sjεl də fø, u la vi pʁɑ̃ sε distɑ̃sə.
lεz- ɔseɑ̃ dɑ̃se, ɑ̃ fyʁi il selεve,
avalɑ̃ lε plaʒə, lə tɑ̃ ki saʃεvə.
lε fɔʁε sɑ̃bʁaze, lœʁ kʁi ʁezɔne,
dɑ̃ lɔ̃bʁə dε simə, la natyʁə setɔnə.
lε sεzɔ̃ sə œʁte, lœʁ ʁitmə dezakɔʁde,
lε flœʁ sə fane, lε fʁɥi sɔ̃t- eɡaʁe.
œ̃ vɑ̃ də kɔlεʁə suflə syʁ lε ʁivaʒə,
lεz- ɔmə, eɡaʁe, ʃεʁʃe dε pasaʒə.
mεz- a lɔʁizɔ̃, ynə lɥœʁ dεspwaʁ,
dε vwa selεve, pʁεtəz- a i kʁwaʁə.
mɛ̃ dɑ̃ la mɛ̃, ynisɔ̃ no fɔʁsə,
puʁ ɡeʁiʁ la teʁə, puʁ bʁize lεz- ekɔʁsə.
ʁevεjɔ̃ no kœʁ, ekutɔ̃ lapεl,
dε ʁivjεʁə ki sεʁpɑ̃te, dε mɔ̃taɲəz- ɑ̃n- evεj.
kaʁ si nuz- aʒisɔ̃, ɑ̃sɑ̃blə, ɑ̃ bote,
nu puʁʁɔ̃ ʁədɔne a la vi sa klaʁte.