Poème:Olympiades.

Sous le ciel uni des anneaux entrelacés,
Pierre de Coubertin, en visionnaire, a pensé
Un symbole puissant, aux couleurs éclatantes,
Unissant les continents en une danse vibrante.

Le bleu de l’Europe, à l’histoire si riche,
Le noir de l’Afrique, au cœur ardent et fier,
Le rouge des Amériques, terres de promesse,
Le jaune de l’Asie, soleil levant en liesse,
Le vert de l’Océanie, îles de lumière.

Ces cinq anneaux, en harmonie entrelacés,
Comme les cœurs des athlètes, battant à l’unisson,
Portent en leurs cercles l’espoir d’une humanité,
Où chaque nation trouve sa juste raison.

Sur le fond blanc d’un drapeau universel,
Les couleurs se mêlent en un pacte solennel,
Chaque nuance, chaque teinte, chaque éclat,
Rappelle au monde entier que l’unité est là.

Aux Jeux Olympiques, ces anneaux sacrés,
Évoquent la paix, l’effort partagé,
Et sous leur regard bienveillant et serein,
Les athlètes s’élancent, main dans la main.

Qu’importe le continent, qu’importe la frontière,
Dans ce cercle de vie, chaque rêve est lumière,
Et les nations, unies dans la diversité,
S’élèvent ensemble pour l’éternité.