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Poeme : Silence Des Âmes



A Propos

Dans un monde souvent dominé par l’indifférence, il est essentiel de porter un regard attentif et bienveillant envers toutes les formes de vie. « Silence des Âmes » est une réflexion sur la douleur silencieuse des animaux, des êtres sensibles qui partagent notre terre. Ce poème invite à une prise de conscience collective, à un respect profond pour ceux qui, bien que muets, communiquent par leurs souffrances et leurs joies.

Silence Des Âmes

La douleur d’un animal est silencieuse,
Dans l’ombre, elle se tapit, discrète et précieuse.
Un regard égaré, une patte blessée,
Un cœur qui souffre, mais jamais ne se plaint.

Respecter un animal, c’est honorer une vie,
Celle qui bat dans le silence, celle qui aspire à l’infini.
Chaque souffle est un poème, chaque geste une prière,
Pour ceux qui n’ont pas de voix, mais tant de lumière.

Dans les prairies dorées, sous les cieux étoilés,
Leurs âmes errent libres, souvent oubliées.
Un geste tendre, un regard complice,
Peut apaiser leur peine, faire naître l’édifice.

Écoutons leurs murmures, ressentons leur douleur,
Car derrière chaque créature, il y a un cœur, une ardeur.
Ensemble, bâtissons un monde de respect,
Où chaque vie compte, où chaque âme est un reflet.

La douleur d’un animal, bien que souvent cachée,
Est un appel à l’amour, à la paix partagée.
Respectons leur existence, honorons leur chemin,
Car dans ce doux voyage, nous ne faisons qu’un.
Inamtom

PostScriptum

En écrivant ces vers, j’espère toucher les cœurs et éveiller les consciences. Que chaque mot résonne comme un écho de compassion, incitant chacun d’entre nous à agir pour le bien-être de nos compagnons de vie. Ensemble, bâtissons un avenir où chaque créature est honorée et où leurs souffrances ne restent plus dans l’oubli.


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Poème en Phonétique

la dulœʁ dœ̃n- animal ε silɑ̃sjøzə,
dɑ̃ lɔ̃bʁə, εllə sə tapi, diskʁεtə e pʁesjøzə.
œ̃ ʁəɡaʁ eɡaʁe, ynə patə blese,
œ̃ kœʁ ki sufʁə, mε ʒamε nə sə plɛ̃.

ʁεspεkte œ̃n- animal, sε onoʁe ynə vi,
sεllə ki ba dɑ̃ lə silɑ̃sə, sεllə ki aspiʁə a lɛ̃fini.
ʃakə suflə εt- œ̃ pɔεmə, ʃakə ʒεstə ynə pʁjεʁə,
puʁ sø ki nɔ̃ pa də vwa, mε tɑ̃ də lymjεʁə.

dɑ̃ lε pʁεʁi dɔʁe, su lε sjøz- etwale,
lœʁz- aməz- eʁe libʁə, suvɑ̃ ublje.
œ̃ ʒεstə tɑ̃dʁə, œ̃ ʁəɡaʁ kɔ̃plisə,
pø apεze lœʁ pεnə, fεʁə nεtʁə ledifisə.

ekutɔ̃ lœʁ myʁmyʁə, ʁəsɑ̃tɔ̃ lœʁ dulœʁ,
kaʁ dəʁjεʁə ʃakə kʁeatyʁə, il i a œ̃ kœʁ, ynə aʁdœʁ.
ɑ̃sɑ̃blə, batisɔ̃z- œ̃ mɔ̃də də ʁεspε,
u ʃakə vi kɔ̃tə, u ʃakə amə εt- œ̃ ʁəflε.

la dulœʁ dœ̃n- animal, bjɛ̃ kə suvɑ̃ kaʃe,
εt- œ̃n- apεl a lamuʁ, a la pε paʁtaʒe.
ʁεspεktɔ̃ lœʁ εɡzistɑ̃sə, onoʁɔ̃ lœʁ ʃəmɛ̃,
kaʁ dɑ̃ sə du vwajaʒə, nu nə fəzɔ̃ kœ̃.