Poeme : Fossiles Et Solaire
A Propos
Dans un monde où les choix énergétiques façonnent notre avenir, les résonances du passé et les murmures de la nature se mêlent aux dilemmes de notre temps. Cette poésie évoque les luttes silencieuses entre les énergies fossiles, héritage lourd de souvenirs, et l’éclat éphémère des sources renouvelables. À travers ces vers, se dessine une réflexion sur notre rapport à la terre, à l’amour et à l’espoir d’un lendemain.
Fossiles Et Solaire
Les fossiles murmurent des chants d’antan.
Pétrole et charbon se mêlent aux souvenirs,
Le poids des âges passés, des rêves à bâtir.
Mais le soleil s’efface, un éclat trop fugace,
Parmi les ombres d’antan, la douce chaleur se lasse.
Des visages fatigués, des mains qui se battent,
L’écho des pleurs perdus, une lutte qui se craque.
Au cœur des cités, la fumée s’élève,
Comme un voile de tristesse, une lutte sans trêve.
Les rivières se taisent, écrasées par les larmes,
La nature abandonne, étouffée par les drames.
Et pourtant, dans chaque village, l’espoir s’étiole,
Des souvenirs d’amour se mêlent aux paroles.
Les jardins oubliés portent les traces du passé,
Les rêves d’un demain, déchus et effacés.
Dans la brume des matins, un souffle d’hier,
Rappelle les serments faits sous l’azur clair.
Les promesses d’avenir, comme des flocons de neige,
Se perdent dans le vent, ce doux et amer siège.
Unissons nos souffrances et chantons ensemble,
Pour un monde qui se meurt, où le cœur se tremble.
Les énergies ternies, une danse en noir et blanc,
Célébrons ce qu’il reste, un amour d’autrefois, lent.
PostScriptum
Je vous remercie sincèrement pour votre attention et votre confiance. Que cette réflexion sur nos choix énergétiques nous inspire à agir avec sagesse pour préserver notre planète. Ensemble, cultivons l’espoir d’un avenir où l’amour et la nature s’épanouissent en harmonie, illuminant notre chemin vers un demain meilleur.
Finalisé le 26/05/2025
MANIHO
Pour mettre un commentaire
Poème en Phonétique
lε fɔsilə myʁmyʁe dε ʃɑ̃ dɑ̃tɑ̃.
petʁɔlə e ʃaʁbɔ̃ sə mεle o suvəniʁ,
lə pwa dεz- aʒə pase, dε ʁεvəz- a batiʁ.
mε lə sɔlεj sefasə, œ̃n- ekla tʁo fyɡasə,
paʁmi lεz- ɔ̃bʁə- dɑ̃tɑ̃, la dusə ʃalœʁ sə lasə.
dε vizaʒə fatiɡe, dε mɛ̃ ki sə bate,
leʃo dε plœʁ pεʁdys, ynə lytə ki sə kʁakə.
o kœʁ dε site, la fyme selεvə,
kɔmə œ̃ vwalə də tʁistεsə, ynə lytə sɑ̃ tʁεvə.
lε ʁivjεʁə sə tεze, ekʁaze paʁ lε laʁmə,
la natyʁə abɑ̃dɔnə, etufe paʁ lε dʁamə.
e puʁtɑ̃, dɑ̃ ʃakə vilaʒə, lεspwaʁ sesjɔlə,
dε suvəniʁ damuʁ sə mεle o paʁɔlə.
lε ʒaʁdɛ̃z- ublje pɔʁte lε tʁasə dy pase,
lε ʁεvə dœ̃ dəmɛ̃, deʃysz- e efase.
dɑ̃ la bʁymə dε matɛ̃, œ̃ suflə djεʁ,
ʁapεllə lε sεʁmɑ̃ fε su lazyʁ klεʁ.
lε pʁɔmesə davəniʁ, kɔmə dε flɔkɔ̃ də nεʒə,
sə pεʁde dɑ̃ lə vɑ̃, sə duz- e ame sjεʒə.
ynisɔ̃ no sufʁɑ̃səz- e ʃɑ̃tɔ̃z- ɑ̃sɑ̃blə,
puʁ œ̃ mɔ̃də ki sə məʁ, u lə kœʁ sə tʁɑ̃blə.
lεz- enεʁʒi tεʁni, ynə dɑ̃sə ɑ̃ nwaʁ e blɑ̃,
selebʁɔ̃ sə kil ʁεstə, œ̃n- amuʁ dotʁəfwa, lɑ̃.