Poeme : Chemins De Vers.
A Propos
Dans l’art de la poésie, comme dans la construction d’une maison, chaque mot se fraie un chemin, chaque vers s’assemble pour donner vie à un univers unique. Ce poème se veut un hommage à cette architecture délicate, où les émotions et les pensées s’entrelacent pour former un refuge littéraire. À travers ces mots, nous découvrons ensemble les fondations de notre imagination et le jardin de nos rêves.
Chemins De Vers.
Des mots solides, des rimes bien en phase.
Chaque strophe une brique, taillée avec soin,
Pour dresser un édifice, dans l’espace du lien.
Édifions les murs, avec des vers enchevêtrés,
Des images éclatantes, des souvenirs altiers.
Les fenêtres, ouvertes sur des rêves colorés,
Pour laisser entrer la lumière des pensées.
Et le toit, couronnant notre œuvre d’audace,
Un abri de métaphores, une douce caresse.
Riposte aux tempêtes, refuge des passions,
Où chaque mot, en écho, trouve sa raison.
Ouvrons la porte, accueil chaleureux,
Invitons les âmes, en quête de lieux.
Dans cette maison de vers, vivons en harmonie,
Car chaque poème construit est une part de vie.
Autour de la maison, un jardin s’épanouit,
Des fleurs de pensées, en un bouquet d’écrits.
Le parfum des souvenirs, doux et invitant,
Fait vibrer les coeurs, comme un chant émouvant.
Des chemins sinueux, bordés de rêves fous,
Mènent à l’inconnu, à l’étoile, à nous.
Chaque pas résonne, une danse légère,
Dans cette maison de mots, où fleurit la lumière.
PostScriptum
Que ce poème soit une porte ouverte vers d’autres horizons, un appel à explorer les méandres de nos pensées. Comme une maison, la poésie abrite et offre chaleur ; qu’elle vous inspire à bâtir vos propres rêves, à créer vos propres vers, et à partager cet espace intime avec le monde. Chaque lecture transforme cette demeure de mots en un lieu de rencontre, où chacun peut laisser sa trace.
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Poème en Phonétique
dε mo sɔlidə, dε ʁimə bjɛ̃ ɑ̃ fazə.
ʃakə stʁɔfə ynə bʁikə, taje avεk swɛ̃,
puʁ dʁese œ̃n- edifisə, dɑ̃ lεspasə dy ljɛ̃.
edifjɔ̃ lε myʁ, avεk dε vεʁz- ɑ̃ʃəvεtʁe,
dεz- imaʒəz- eklatɑ̃tə, dε suvəniʁz- altje.
lε fənεtʁə, uvεʁtə- syʁ dε ʁεvə kɔlɔʁe,
puʁ lεse ɑ̃tʁe la lymjεʁə dε pɑ̃se.
e lə twa, kuʁɔnɑ̃ nɔtʁə œvʁə dodasə,
œ̃n- abʁi də metafɔʁə, ynə dusə kaʁεsə.
ʁipɔstə o tɑ̃pεtə, ʁəfyʒə dε pasjɔ̃,
u ʃakə mo, ɑ̃n- eʃo, tʁuvə sa ʁεzɔ̃.
uvʁɔ̃ la pɔʁtə, akœj ʃaləʁø,
ɛ̃vitɔ̃ lεz- amə, ɑ̃ kεtə də ljø.
dɑ̃ sεtə mεzɔ̃ də vεʁ, vivɔ̃z- ɑ̃-aʁmɔni,
kaʁ ʃakə pɔεmə kɔ̃stʁɥi εt- ynə paʁ də vi.
otuʁ də la mεzɔ̃, œ̃ ʒaʁdɛ̃ sepanui,
dε flœʁ də pɑ̃se, ɑ̃n- œ̃ bukε dekʁi.
lə paʁfœ̃ dε suvəniʁ, duz- e ɛ̃vitɑ̃,
fε vibʁe lε kœʁ, kɔmə œ̃ ʃɑ̃ emuvɑ̃.
dε ʃəmɛ̃ sinɥø, bɔʁde də ʁεvə fus,
mεne a lɛ̃kɔny, a letwalə, a nu.
ʃakə pa ʁezɔnə, ynə dɑ̃sə leʒεʁə,
dɑ̃ sεtə mεzɔ̃ də mo, u fləʁi la lymjεʁə.