Poeme : Amitié ? ? ?
Amitié ? ? ?
Des que je pense au futur, le bruit me donne la vaque a l’âme
Mon regard se vaque, ma tête dans les nuages ou nous avons déposé nos armes
Laissant dans mes yeux, échappaient quelques larmes
Des larmes sous formes de papiers utilisant comme plumes nos âmes
Parfois je te sens loin, et cela me fait brûler comme une petite flamme
Je baisse mes armes
Je tombe en me fondant en larme
Ces souvenirs indélébiles dans nos cœurs sont notre inspiration
Tout en émotion
Qui symbolise ma déception
Laissant libre courir mon imagination
Et me laisse avec beaucoup d’hésitation
Réfléchir avec passion
De ce future ou circule une tension
D’amitié ou d’oublie, nous nous se demanderions ?
Il faut écouter se que dit notre cœur
Les paroles les plus pures en sorte même quand on a pleure
Mais je ne me lasse de me figurer comme un penseur
Jetant un coup d’œil vers l’extérieur
Tournant tout au tour essayant de naviguer ton intérieur
En se demandant si on s’oubliera à travers les heures
Ou tu seras vraiment mon âme sœur
Un jour on se réveillera et l’amitié bercera et cédera au bonheur
Ou bien, avalera tous ces souvenirs pour dévoiler un malheur
Seulement attendre ce jour et parfois une horreur
On se hisse et on court et on se fait souvent peur
Malgré j’ai un grand espoir irradiant ma vie d’une lumière aveuglante : ma lueur
Lueur si intense que j’oublie mes peurs et mes pleures !
Il n’y a qu’une seule vérité que grâce a elle on se doit d’exister
C’est le vent qui souffle dans nos voies déchirées
Qui guide nos pas dans les moments les plus incenses
Ou tous les regards sont poses
Tout d’abord j’ai trouve :
Qu’il faut oublier tous nos préjuges
Ensuite garder nos yeux grands ouvert, car parfois il y a de la méchanceté
Pas toujours de l’amitié
Je prierai chaque jour pour ne la jamais trouve brise
Mais il faut savoir prendre des risques tout tenter
Avancer sans jamais se retourner
Tous donner sans jamais hésiter
Sans jamais avoir un moment a regretté
Ne jamais retourner vers les malheurs du passe
Tous ces souvenirs peux tu les oublier ?
Que se soit pour un instant ou pour une éternité
Je ne peux oublier nos rêves et nos réalités
Nos rêves qui me font tant espérer
Mais tellement reculer
Je sais que je ne dois jamais renonce
Sommes nous vraiment amies ? Je me demandais
Mais je sais que pour réponse, seul le futur pourra la dévoilé
Mais ce jour n’est pas encore arrive
Je ne peux nier que tu me blessais
Rien q’un souvenir me fera pleurer
Malgré, au fond de moi je sais
Que sans toi, l’amitié ne peut exister
Franchement je veux seulement te sentir à mes cotes
Combattre vent et marre pour ne plus se séparer
Peut être je possède le doute discret
Peut être je ne sais jamais m’exprimer
En revanche je me demande si je suis tombé
Viens-tu à mes cotes
Essayant de m’aider
L’incertitude me poursuit… comment peux je ne pas se noyer
Comme une sœur je t’ai aimé
Et grâce à toi je me suis trouvé
Dois je continuer a espéré
Mon cœur dis oui mais parfois je m’apprête a te rejette
Je veux simplement qu’on reste amis à jamais
Ces pensées qui me hantent vont-elles devenir du passe ?
Vont-elles s’effacer
Vont-elles s’envoler
Je crois que tous ça m’empêchera de respirer
Peut être tu me dira cesse de paniquer
Mais seras tu la après 10 ans a me rattraper ?
Seras tu la a mes cotés ?
Je ne cesse de penser
Je n’y arrive pas c’est trop dur a supporter
Il y a un plaisir de savoir que de toutes façon il y aura notre amitié
Une amitié avec foi et sincérité
Je préfère ne pas y penser
Je suis sur je ne peux t’oublier
Tu es en moi, tu n’es pas une amitié d’été
Mais plutôt une amitié ressenti, imaginé, rêvé, ressenti, pensé
Connais tu ce proverbe « amitié c’est comme la vaisselle c’est toujours a recommencé »
Ah ben c’est vrai
Je ne sais pas de quoi demain est fait
Mais je sais que mon amitié envers toi ne cesse de briller !
Mon regard se vaque, ma tête dans les nuages ou nous avons déposé nos armes
Laissant dans mes yeux, échappaient quelques larmes
Des larmes sous formes de papiers utilisant comme plumes nos âmes
Parfois je te sens loin, et cela me fait brûler comme une petite flamme
Je baisse mes armes
Je tombe en me fondant en larme
Ces souvenirs indélébiles dans nos cœurs sont notre inspiration
Tout en émotion
Qui symbolise ma déception
Laissant libre courir mon imagination
Et me laisse avec beaucoup d’hésitation
Réfléchir avec passion
De ce future ou circule une tension
D’amitié ou d’oublie, nous nous se demanderions ?
Il faut écouter se que dit notre cœur
Les paroles les plus pures en sorte même quand on a pleure
Mais je ne me lasse de me figurer comme un penseur
Jetant un coup d’œil vers l’extérieur
Tournant tout au tour essayant de naviguer ton intérieur
En se demandant si on s’oubliera à travers les heures
Ou tu seras vraiment mon âme sœur
Un jour on se réveillera et l’amitié bercera et cédera au bonheur
Ou bien, avalera tous ces souvenirs pour dévoiler un malheur
Seulement attendre ce jour et parfois une horreur
On se hisse et on court et on se fait souvent peur
Malgré j’ai un grand espoir irradiant ma vie d’une lumière aveuglante : ma lueur
Lueur si intense que j’oublie mes peurs et mes pleures !
Il n’y a qu’une seule vérité que grâce a elle on se doit d’exister
C’est le vent qui souffle dans nos voies déchirées
Qui guide nos pas dans les moments les plus incenses
Ou tous les regards sont poses
Tout d’abord j’ai trouve :
Qu’il faut oublier tous nos préjuges
Ensuite garder nos yeux grands ouvert, car parfois il y a de la méchanceté
Pas toujours de l’amitié
Je prierai chaque jour pour ne la jamais trouve brise
Mais il faut savoir prendre des risques tout tenter
Avancer sans jamais se retourner
Tous donner sans jamais hésiter
Sans jamais avoir un moment a regretté
Ne jamais retourner vers les malheurs du passe
Tous ces souvenirs peux tu les oublier ?
Que se soit pour un instant ou pour une éternité
Je ne peux oublier nos rêves et nos réalités
Nos rêves qui me font tant espérer
Mais tellement reculer
Je sais que je ne dois jamais renonce
Sommes nous vraiment amies ? Je me demandais
Mais je sais que pour réponse, seul le futur pourra la dévoilé
Mais ce jour n’est pas encore arrive
Je ne peux nier que tu me blessais
Rien q’un souvenir me fera pleurer
Malgré, au fond de moi je sais
Que sans toi, l’amitié ne peut exister
Franchement je veux seulement te sentir à mes cotes
Combattre vent et marre pour ne plus se séparer
Peut être je possède le doute discret
Peut être je ne sais jamais m’exprimer
En revanche je me demande si je suis tombé
Viens-tu à mes cotes
Essayant de m’aider
L’incertitude me poursuit… comment peux je ne pas se noyer
Comme une sœur je t’ai aimé
Et grâce à toi je me suis trouvé
Dois je continuer a espéré
Mon cœur dis oui mais parfois je m’apprête a te rejette
Je veux simplement qu’on reste amis à jamais
Ces pensées qui me hantent vont-elles devenir du passe ?
Vont-elles s’effacer
Vont-elles s’envoler
Je crois que tous ça m’empêchera de respirer
Peut être tu me dira cesse de paniquer
Mais seras tu la après 10 ans a me rattraper ?
Seras tu la a mes cotés ?
Je ne cesse de penser
Je n’y arrive pas c’est trop dur a supporter
Il y a un plaisir de savoir que de toutes façon il y aura notre amitié
Une amitié avec foi et sincérité
Je préfère ne pas y penser
Je suis sur je ne peux t’oublier
Tu es en moi, tu n’es pas une amitié d’été
Mais plutôt une amitié ressenti, imaginé, rêvé, ressenti, pensé
Connais tu ce proverbe « amitié c’est comme la vaisselle c’est toujours a recommencé »
Ah ben c’est vrai
Je ne sais pas de quoi demain est fait
Mais je sais que mon amitié envers toi ne cesse de briller !
Joanna
PostScriptum
pour ma meilleur amie que je ne comprend vraiment pas !
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Poème en Phonétique
dε kə ʒə pɑ̃sə o fytyʁ, lə bʁɥi mə dɔnə la vakə a lamə
mɔ̃ ʁəɡaʁ sə vakə, ma tεtə dɑ̃ lε nɥaʒəz- u nuz- avɔ̃ depoze noz- aʁmə
lεsɑ̃ dɑ̃ mεz- iø, eʃapε kεlk laʁmə
dε laʁmə- su fɔʁmə- də papjez- ytilizɑ̃ kɔmə plymə noz- amə
paʁfwa ʒə tə sɑ̃s lwɛ̃, e səla mə fε bʁyle kɔmə ynə pətitə flamə
ʒə bεsə mεz- aʁmə
ʒə tɔ̃bə ɑ̃ mə fɔ̃dɑ̃ ɑ̃ laʁmə
sε suvəniʁz- ɛ̃delebilə dɑ̃ no kœʁ sɔ̃ nɔtʁə ɛ̃spiʁasjɔ̃
tut- ɑ̃n- emɔsjɔ̃
ki sɛ̃bɔlizə ma desεpsjɔ̃
lεsɑ̃ libʁə kuʁiʁ mɔ̃n- imaʒinasjɔ̃
e mə lεsə avεk boku dezitasjɔ̃
ʁefleʃiʁ avεk pasjɔ̃
də sə fytyʁə u siʁkylə ynə tɑ̃sjɔ̃
damitje u dubli, nu nu sə dəmɑ̃dəʁjɔ̃ ?
il fo ekute sə kə di nɔtʁə kœʁ
lε paʁɔlə lε plys pyʁəz- ɑ̃ sɔʁtə mεmə kɑ̃t- ɔ̃n- a plœʁə
mε ʒə nə mə lasə də mə fiɡyʁe kɔmə œ̃ pɑ̃sœʁ
ʒətɑ̃ œ̃ ku dœj vεʁ lεksteʁjœʁ
tuʁnɑ̃ tut- o tuʁ esεjɑ̃ də naviɡe tɔ̃n- ɛ̃teʁjœʁ
ɑ̃ sə dəmɑ̃dɑ̃ si ɔ̃ subljəʁa a tʁavεʁ lεz- œʁ
u ty səʁa vʁεmɑ̃ mɔ̃n- amə sœʁ
œ̃ ʒuʁ ɔ̃ sə ʁevεjʁa e lamitje bεʁsəʁa e sedəʁa o bɔnœʁ
u bjɛ̃, avaləʁa tus sε suvəniʁ puʁ devwale œ̃ malœʁ
sələmɑ̃ atɑ̃dʁə sə ʒuʁ e paʁfwaz- ynə ɔʁœʁ
ɔ̃ sə isə e ɔ̃ kuʁ e ɔ̃ sə fε suvɑ̃ pœʁ
malɡʁe ʒε œ̃ ɡʁɑ̃t- εspwaʁ iʁadjɑ̃ ma vi dynə lymjεʁə avøɡlɑ̃tə : ma lɥœʁ
lɥœʁ si ɛ̃tɑ̃sə kə ʒubli mε pœʁz- e mε plœʁə !
il ni a kynə sələ veʁite kə ɡʁasə a εllə ɔ̃ sə dwa dεɡziste
sε lə vɑ̃ ki suflə dɑ̃ no vwa deʃiʁe
ki ɡidə no pa dɑ̃ lε mɔmɑ̃ lε plysz- ɛ̃sɑ̃sə
u tus lε ʁəɡaʁd sɔ̃ pozə
tu dabɔʁ ʒε tʁuvə :
kil fo ublje tus no pʁeʒyʒə
ɑ̃sɥitə ɡaʁde noz- iø ɡʁɑ̃z- uvεʁ, kaʁ paʁfwaz- il i a də la meʃɑ̃səte
pa tuʒuʁ də lamitje
ʒə pʁjəʁε ʃakə ʒuʁ puʁ nə la ʒamε tʁuvə bʁizə
mεz- il fo savwaʁ pʁɑ̃dʁə dε ʁisk tu tɑ̃te
avɑ̃se sɑ̃ ʒamε sə ʁətuʁne
tus dɔne sɑ̃ ʒamεz- ezite
sɑ̃ ʒamεz- avwaʁ œ̃ mɔmɑ̃ a ʁəɡʁεte
nə ʒamε ʁətuʁne vεʁ lε malœʁ dy pasə
tus sε suvəniʁ pø ty lεz- ublje ?
kə sə swa puʁ œ̃n- ɛ̃stɑ̃ u puʁ ynə etεʁnite
ʒə nə pøz- ublje no ʁεvəz- e no ʁealite
no ʁεvə ki mə fɔ̃ tɑ̃ εspeʁe
mε tεllmɑ̃ ʁəkyle
ʒə sε kə ʒə nə dwa ʒamε ʁənɔ̃sə
sɔmə nu vʁεmɑ̃ ami ? ʒə mə dəmɑ̃dε
mε ʒə sε kə puʁ ʁepɔ̃sə, səl lə fytyʁ puʁʁa la devwale
mε sə ʒuʁ nε pa ɑ̃kɔʁə aʁivə
ʒə nə pø nje kə ty mə blesε
ʁjɛ̃ kœ̃ suvəniʁ mə fəʁa pləʁe
malɡʁe, o fɔ̃ də mwa ʒə sε
kə sɑ̃ twa, lamitje nə pø εɡziste
fʁɑ̃ʃəmɑ̃ ʒə vø sələmɑ̃ tə sɑ̃tiʁ a mε kɔtə
kɔ̃batʁə vɑ̃ e maʁə puʁ nə plys sə sepaʁe
pø εtʁə ʒə pɔsεdə lə dutə diskʁε
pø εtʁə ʒə nə sε ʒamε mεkspʁime
ɑ̃ ʁəvɑ̃ʃə ʒə mə dəmɑ̃də si ʒə sɥi tɔ̃be
vjɛ̃ ty a mε kɔtə
esεjɑ̃ də mεde
lɛ̃sεʁtitydə mə puʁsɥi… kɔmɑ̃ pø ʒə nə pa sə nwaje
kɔmə ynə sœʁ ʒə tε εme
e ɡʁasə a twa ʒə mə sɥi tʁuve
dwa ʒə kɔ̃tinɥe a εspeʁe
mɔ̃ kœʁ di ui mε paʁfwa ʒə mapʁεtə a tə ʁəʒεtə
ʒə vø sɛ̃pləmɑ̃ kɔ̃ ʁεstə amiz- a ʒamε
sε pɑ̃se ki mə-ɑ̃te vɔ̃ tεllə dəvəniʁ dy pasə ?
vɔ̃ tεllə sefase
vɔ̃ tεllə sɑ̃vɔle
ʒə kʁwa kə tus sa mɑ̃pεʃəʁa də ʁεspiʁe
pø εtʁə ty mə diʁa sεsə də panike
mε səʁa ty la apʁε diz- ɑ̃ a mə ʁatʁape ?
səʁa ty la a mε kɔte ?
ʒə nə sεsə də pɑ̃se
ʒə ni aʁivə pa sε tʁo dyʁ a sypɔʁte
il i a œ̃ plεziʁ də savwaʁ kə də tutə fasɔ̃ il i oʁa nɔtʁə amitje
ynə amitje avεk fwa e sɛ̃seʁite
ʒə pʁefεʁə nə pa i pɑ̃se
ʒə sɥi syʁ ʒə nə pø tublje
ty ε ɑ̃ mwa, ty nε pa ynə amitje dete
mε plyto ynə amitje ʁəsɑ̃ti, imaʒine, ʁεve, ʁəsɑ̃ti, pɑ̃se
kɔnε ty sə pʁɔvεʁbə « amitje sε kɔmə la vεsεllə sε tuʒuʁz- a ʁəkɔmɑ̃se »
a bεn sε vʁε
ʒə nə sε pa də kwa dəmɛ̃ ε fε
mε ʒə sε kə mɔ̃n- amitje ɑ̃vεʁ twa nə sεsə də bʁije !
mɔ̃ ʁəɡaʁ sə vakə, ma tεtə dɑ̃ lε nɥaʒəz- u nuz- avɔ̃ depoze noz- aʁmə
lεsɑ̃ dɑ̃ mεz- iø, eʃapε kεlk laʁmə
dε laʁmə- su fɔʁmə- də papjez- ytilizɑ̃ kɔmə plymə noz- amə
paʁfwa ʒə tə sɑ̃s lwɛ̃, e səla mə fε bʁyle kɔmə ynə pətitə flamə
ʒə bεsə mεz- aʁmə
ʒə tɔ̃bə ɑ̃ mə fɔ̃dɑ̃ ɑ̃ laʁmə
sε suvəniʁz- ɛ̃delebilə dɑ̃ no kœʁ sɔ̃ nɔtʁə ɛ̃spiʁasjɔ̃
tut- ɑ̃n- emɔsjɔ̃
ki sɛ̃bɔlizə ma desεpsjɔ̃
lεsɑ̃ libʁə kuʁiʁ mɔ̃n- imaʒinasjɔ̃
e mə lεsə avεk boku dezitasjɔ̃
ʁefleʃiʁ avεk pasjɔ̃
də sə fytyʁə u siʁkylə ynə tɑ̃sjɔ̃
damitje u dubli, nu nu sə dəmɑ̃dəʁjɔ̃ ?
il fo ekute sə kə di nɔtʁə kœʁ
lε paʁɔlə lε plys pyʁəz- ɑ̃ sɔʁtə mεmə kɑ̃t- ɔ̃n- a plœʁə
mε ʒə nə mə lasə də mə fiɡyʁe kɔmə œ̃ pɑ̃sœʁ
ʒətɑ̃ œ̃ ku dœj vεʁ lεksteʁjœʁ
tuʁnɑ̃ tut- o tuʁ esεjɑ̃ də naviɡe tɔ̃n- ɛ̃teʁjœʁ
ɑ̃ sə dəmɑ̃dɑ̃ si ɔ̃ subljəʁa a tʁavεʁ lεz- œʁ
u ty səʁa vʁεmɑ̃ mɔ̃n- amə sœʁ
œ̃ ʒuʁ ɔ̃ sə ʁevεjʁa e lamitje bεʁsəʁa e sedəʁa o bɔnœʁ
u bjɛ̃, avaləʁa tus sε suvəniʁ puʁ devwale œ̃ malœʁ
sələmɑ̃ atɑ̃dʁə sə ʒuʁ e paʁfwaz- ynə ɔʁœʁ
ɔ̃ sə isə e ɔ̃ kuʁ e ɔ̃ sə fε suvɑ̃ pœʁ
malɡʁe ʒε œ̃ ɡʁɑ̃t- εspwaʁ iʁadjɑ̃ ma vi dynə lymjεʁə avøɡlɑ̃tə : ma lɥœʁ
lɥœʁ si ɛ̃tɑ̃sə kə ʒubli mε pœʁz- e mε plœʁə !
il ni a kynə sələ veʁite kə ɡʁasə a εllə ɔ̃ sə dwa dεɡziste
sε lə vɑ̃ ki suflə dɑ̃ no vwa deʃiʁe
ki ɡidə no pa dɑ̃ lε mɔmɑ̃ lε plysz- ɛ̃sɑ̃sə
u tus lε ʁəɡaʁd sɔ̃ pozə
tu dabɔʁ ʒε tʁuvə :
kil fo ublje tus no pʁeʒyʒə
ɑ̃sɥitə ɡaʁde noz- iø ɡʁɑ̃z- uvεʁ, kaʁ paʁfwaz- il i a də la meʃɑ̃səte
pa tuʒuʁ də lamitje
ʒə pʁjəʁε ʃakə ʒuʁ puʁ nə la ʒamε tʁuvə bʁizə
mεz- il fo savwaʁ pʁɑ̃dʁə dε ʁisk tu tɑ̃te
avɑ̃se sɑ̃ ʒamε sə ʁətuʁne
tus dɔne sɑ̃ ʒamεz- ezite
sɑ̃ ʒamεz- avwaʁ œ̃ mɔmɑ̃ a ʁəɡʁεte
nə ʒamε ʁətuʁne vεʁ lε malœʁ dy pasə
tus sε suvəniʁ pø ty lεz- ublje ?
kə sə swa puʁ œ̃n- ɛ̃stɑ̃ u puʁ ynə etεʁnite
ʒə nə pøz- ublje no ʁεvəz- e no ʁealite
no ʁεvə ki mə fɔ̃ tɑ̃ εspeʁe
mε tεllmɑ̃ ʁəkyle
ʒə sε kə ʒə nə dwa ʒamε ʁənɔ̃sə
sɔmə nu vʁεmɑ̃ ami ? ʒə mə dəmɑ̃dε
mε ʒə sε kə puʁ ʁepɔ̃sə, səl lə fytyʁ puʁʁa la devwale
mε sə ʒuʁ nε pa ɑ̃kɔʁə aʁivə
ʒə nə pø nje kə ty mə blesε
ʁjɛ̃ kœ̃ suvəniʁ mə fəʁa pləʁe
malɡʁe, o fɔ̃ də mwa ʒə sε
kə sɑ̃ twa, lamitje nə pø εɡziste
fʁɑ̃ʃəmɑ̃ ʒə vø sələmɑ̃ tə sɑ̃tiʁ a mε kɔtə
kɔ̃batʁə vɑ̃ e maʁə puʁ nə plys sə sepaʁe
pø εtʁə ʒə pɔsεdə lə dutə diskʁε
pø εtʁə ʒə nə sε ʒamε mεkspʁime
ɑ̃ ʁəvɑ̃ʃə ʒə mə dəmɑ̃də si ʒə sɥi tɔ̃be
vjɛ̃ ty a mε kɔtə
esεjɑ̃ də mεde
lɛ̃sεʁtitydə mə puʁsɥi… kɔmɑ̃ pø ʒə nə pa sə nwaje
kɔmə ynə sœʁ ʒə tε εme
e ɡʁasə a twa ʒə mə sɥi tʁuve
dwa ʒə kɔ̃tinɥe a εspeʁe
mɔ̃ kœʁ di ui mε paʁfwa ʒə mapʁεtə a tə ʁəʒεtə
ʒə vø sɛ̃pləmɑ̃ kɔ̃ ʁεstə amiz- a ʒamε
sε pɑ̃se ki mə-ɑ̃te vɔ̃ tεllə dəvəniʁ dy pasə ?
vɔ̃ tεllə sefase
vɔ̃ tεllə sɑ̃vɔle
ʒə kʁwa kə tus sa mɑ̃pεʃəʁa də ʁεspiʁe
pø εtʁə ty mə diʁa sεsə də panike
mε səʁa ty la apʁε diz- ɑ̃ a mə ʁatʁape ?
səʁa ty la a mε kɔte ?
ʒə nə sεsə də pɑ̃se
ʒə ni aʁivə pa sε tʁo dyʁ a sypɔʁte
il i a œ̃ plεziʁ də savwaʁ kə də tutə fasɔ̃ il i oʁa nɔtʁə amitje
ynə amitje avεk fwa e sɛ̃seʁite
ʒə pʁefεʁə nə pa i pɑ̃se
ʒə sɥi syʁ ʒə nə pø tublje
ty ε ɑ̃ mwa, ty nε pa ynə amitje dete
mε plyto ynə amitje ʁəsɑ̃ti, imaʒine, ʁεve, ʁəsɑ̃ti, pɑ̃se
kɔnε ty sə pʁɔvεʁbə « amitje sε kɔmə la vεsεllə sε tuʒuʁz- a ʁəkɔmɑ̃se »
a bεn sε vʁε
ʒə nə sε pa də kwa dəmɛ̃ ε fε
mε ʒə sε kə mɔ̃n- amitje ɑ̃vεʁ twa nə sεsə də bʁije !