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Poeme : Une Profonde Obscurité.



Une Profonde Obscurité.

A certain moment où rien ne va,
Où tout ce que j’entreprends, me déçois,
Les choix se font à regret.
Il me reste donc, plus que mes yeux pour pleurer.

A chacun de mes choix, suit un remord.
Tout ce que j’entrevois, reflète la mort.
Je ne vis plus pour vivre.
Désormais, je vis pour mourrir.

Si je hais mon univers,
Pourquoi devoir subir l’enfer ?
Pourquoi encore patienter,
Si je n’en vois plus aucun intérêt ?

Je marche dans une profonde obscurité,
Où tout m’est étranger.
Chacun de mes pas, fait naître en moi, la peur,
Puisque je suis hantée par toutes ces frayeurs.
Jtm Malydie

PostScriptum

Voici comment je vois ma vie, à l’heure actuelle. Pas très optimiste, ni joyeux, je le sais bien…


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Poème en Phonétique

a sεʁtɛ̃ mɔmɑ̃ u ʁjɛ̃ nə va,
u tu sə kə ʒɑ̃tʁəpʁɑ̃, mə deswa,
lε ʃwa sə fɔ̃ a ʁəɡʁε.
il mə ʁεstə dɔ̃k, plys kə mεz- iø puʁ pləʁe.

a ʃakœ̃ də mε ʃwa, sɥi œ̃ ʁəmɔʁ.
tu sə kə ʒɑ̃tʁəvwa, ʁəflεtə la mɔʁ.
ʒə nə vis plys puʁ vivʁə.
dezɔʁmε, ʒə vis puʁ muʁʁiʁ.

si ʒə-ε mɔ̃n- ynive,
puʁkwa dəvwaʁ sybiʁ lɑ̃fe ?
puʁkwa ɑ̃kɔʁə pasjɑ̃te,
si ʒə nɑ̃ vwa plysz- okœ̃ ɛ̃teʁε ?

ʒə maʁʃə dɑ̃z- ynə pʁɔfɔ̃də ɔpskyʁite,
u tu mεt- etʁɑ̃ʒe.
ʃakœ̃ də mε pa, fε nεtʁə ɑ̃ mwa, la pœʁ,
pɥiskə ʒə sɥi-ɑ̃te paʁ tutə sε fʁεjœʁ.