Prose : Tu Es Arrivé Tard.
A Propos
Tu es arrivé tard, en proie à des regrets, et le visage pâle.
Tu as raté toutes les occasions de la vie.
Tu n’as récolté que les cendres de tes jours.
Tu as été trahi par tous les chemins, tous les rêves.
Tu as perdu le contrôle et tu t’es égaré.
Aucun compagnon pour te réconforter, aucune épaule sur laquelle t’appuyer, aucune main à tendre. Hélas, que la vie peut parfois être cruelle ! Et au comble de la douleur, une autre naît.
Se retrouver seul au milieu du tumulte de la vie, en regardant devant soi et derrière soi, à droite et à gauche, sans trouver un amant.
Tu ne vois qu’un éclat de souvenirs, et tes chagrins te traînent, soupirant, d’un pas perdu et las. Combien de drames as-tu vécus ? Combien de femmes as-tu aimées ? Combien d’êtres chers as-tu perdus ? Combien de personnes aimées ont quitté ta vie.
Et ton enfance persistait, caressant tes joues froides ; et tes joues reflétaient la beauté de ton âme et ton innocence.
Mais ce qui est le plus courageux en toi, c’est de ne pas t’être trahie, ni les principes pour lesquels tu t’es sacrifiée, ni ta foi en ta voie,
ni les idéaux pour lesquels tu as vécu, ni ta haute moralité.
Tu as refusé d’accepter l’ère de la médiocrité et ses idées dépassées, teintées de mensonges pernicieux. Et tu as transformé chaque défaite en victoire et chaque impossibilité en possibilité. Elle demeura inébranlable et déterminée.
Ô belle personne, tu n’as pas dévié et tes belles valeurs sont restées intactes.
Tu as résisté de toutes tes forces,
Les fleurs d’espoir qui brûlaient en toi ne se sont jamais fanées,
Ton regard sur la vie est resté optimiste et perspicace.
Je te salue avec fierté et admiration.
Vraiment,
Tu es le héros. Tu es le couronné. Tu es le maître de ton temps.
Pour vivre en héros jusqu’à la fin dans une société qui accepte la défaite, l’humiliation, la honte et la disgrâce, vous paierez inévitablement un prix élevé, mais lorsque vous mourrez, vous mourrez avec la conscience tranquille.
Tu es le vainqueur.
Tu Es Arrivé Tard.
Tu as raté toutes les occasions de la vie.
Tu n’as récolté que les cendres de tes jours.
Tu as été trahi par tous les chemins, tous les rêves.
Tu as perdu le contrôle et tu t’es égaré.
Aucun compagnon pour te réconforter, aucune épaule sur laquelle t’appuyer, aucune main à tendre. Hélas, que la vie peut parfois être cruelle ! Et au comble de la douleur, une autre naît.
Se retrouver seul au milieu du tumulte de la vie, en regardant devant soi et derrière soi, à droite et à gauche, sans trouver un amant.
Tu ne vois qu’un éclat de souvenirs, et tes chagrins te traînent, soupirant, d’un pas perdu et las. Combien de drames as-tu vécus ? Combien de femmes as-tu aimées ? Combien d’êtres chers as-tu perdus ? Combien de personnes aimées ont quitté ta vie.
Et ton enfance persistait, caressant tes joues froides ; et tes joues reflétaient la beauté de ton âme et ton innocence.
Mais ce qui est le plus courageux en toi, c’est de ne pas t’être trahie, ni les principes pour lesquels tu t’es sacrifiée, ni ta foi en ta voie,
ni les idéaux pour lesquels tu as vécu, ni ta haute moralité.
Tu as refusé d’accepter l’ère de la médiocrité et ses idées dépassées, teintées de mensonges pernicieux. Et tu as transformé chaque défaite en victoire et chaque impossibilité en possibilité. Elle demeura inébranlable et déterminée.
Ô belle personne, tu n’as pas dévié et tes belles valeurs sont restées intactes.
Tu as résisté de toutes tes forces,
Les fleurs d’espoir qui brûlaient en toi ne se sont jamais fanées,
Ton regard sur la vie est resté optimiste et perspicace.
Je te salue avec fierté et admiration.
Vraiment,
Tu es le héros. Tu es le couronné. Tu es le maître de ton temps.
Pour vivre en héros jusqu’à la fin dans une société qui accepte la défaite, l’humiliation, la honte et la disgrâce, vous paierez inévitablement un prix élevé, mais lorsque vous mourrez, vous mourrez avec la conscience tranquille.
Tu es le vainqueur.
PostScriptum
un rendez vous rate’ avec la vie.
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Poème en Phonétique
ty a ʁate tutə lεz- ɔkazjɔ̃ də la vi.
ty na ʁekɔlte kə lε sɑ̃dʁə- də tε ʒuʁ.
ty a ete tʁai paʁ tus lε ʃəmɛ̃, tus lε ʁεvə.
ty a pεʁdy lə kɔ̃tʁolə e ty tε eɡaʁe.
okœ̃ kɔ̃paɲɔ̃ puʁ tə ʁekɔ̃fɔʁte, okynə epolə syʁ lakεllə tapyie, okynə mɛ̃ a tɑ̃dʁə. ela, kə la vi pø paʁfwaz- εtʁə kʁyεllə ! e o kɔ̃blə də la dulœʁ, ynə otʁə nε.
sə ʁətʁuve səl o miljø dy tymyltə də la vi, ɑ̃ ʁəɡaʁdɑ̃ dəvɑ̃ swa e dəʁjεʁə swa, a dʁwatə e a ɡoʃə, sɑ̃ tʁuve œ̃n- amɑ̃.
ty nə vwa kœ̃n- ekla də suvəniʁ, e tε ʃaɡʁɛ̃ tə tʁεne, supiʁɑ̃, dœ̃ pa pεʁdy e las. kɔ̃bjɛ̃ də dʁaməz- a ty vekys ? kɔ̃bjɛ̃ də faməz- a ty εme ? kɔ̃bjɛ̃ dεtʁə- ʃεʁz- a ty pεʁdys ? kɔ̃bjɛ̃ də pεʁsɔnəz- εmez- ɔ̃ kite ta vi.
e tɔ̃n- ɑ̃fɑ̃sə pεʁsistε, kaʁesɑ̃ tε ʒu fʁwadə, e tε ʒu ʁəfletε la bote də tɔ̃n- amə e tɔ̃n- inɔsɑ̃sə.
mε sə ki ε lə plys kuʁaʒøz- ɑ̃ twa, sε də nə pa tεtʁə tʁai, ni lε pʁɛ̃sipə puʁ lekεl ty tε sakʁifje, ni ta fwa ɑ̃ ta vwa,
ni lεz- ideo puʁ lekεl ty a veky, ni ta-otə mɔʁalite.
ty a ʁəfyze daksεpte lεʁə də la medjɔkʁite e sεz- ide depase, tɛ̃te də mɑ̃sɔ̃ʒə pεʁnisjø. e ty a tʁɑ̃sfɔʁme ʃakə defεtə ɑ̃ viktwaʁə e ʃakə ɛ̃pɔsibilite ɑ̃ pɔsibilite. εllə dəməʁa inebʁɑ̃lablə e detεʁmine.
o bεllə pεʁsɔnə, ty na pa devje e tε bεllə valœʁ sɔ̃ ʁεstez- ɛ̃taktə.
ty a ʁeziste də tutə tε fɔʁsə,
lε flœʁ dεspwaʁ ki bʁylε ɑ̃ twa nə sə sɔ̃ ʒamε fane,
tɔ̃ ʁəɡaʁ syʁ la vi ε ʁεste ɔptimistə e pεʁspikasə.
ʒə tə salɥ avεk fjεʁte e admiʁasjɔ̃.
vʁεmɑ̃,
ty ε lə eʁo. ty ε lə kuʁɔne. ty ε lə mεtʁə də tɔ̃ tɑ̃.
puʁ vivʁə ɑ̃n- eʁo ʒyska la fɛ̃ dɑ̃z- ynə sɔsjete ki aksεptə la defεtə, lymiljasjɔ̃, la ɔ̃tə e la dizɡʁasə, vu pεəʁez- inevitabləmɑ̃ œ̃ pʁi eləve, mε lɔʁskə vu muʁʁe, vu muʁʁez- avεk la kɔ̃sjɑ̃sə tʁɑ̃kjə.
ty ε lə vɛ̃kœʁ.