Texte:Je Suis Le Fuyard
Le Texte
Je suis le fuyard
du temps et de mon être profond.
Sous les éclairs, le tonnerre, la pluie et la tempête déchaînée.
Dans un chemin inconnu.
Brumeux, nuageux, sombre.
Dans les ruelles, sur les côtes et au cœur des villes.
Dans les villages, les hameaux et les montagnes.
Comme un fugitif qui ne sait ni où il se trouve ni où il va.
Une multitude de doutes et de chagrins le continent.
En moi résident l’amour, les malédictions, la colère et la confusion.
Reprochant la vie et les jours.
Un ouragan en moi. Une flamme de rage. De feu.
Des épines me piquent, et des couteaux me transpercent.
Mes pensées me déchirent ; mes obsessions me submergent.
Entouré de toutes parts, portant sur son dos le fardeau de la vie et un enfer de souvenirs, psychologiquement enchaîné, son âme à la dérive dans cette existence, rongé par la douleur, ses yeux apparemment aveugles.
Il craint les tragédies qui le suivront et les chagrins qui l’accompagneront.
Déracinée, désarmée, troublé, brisé.
Mais au fond de moi, il subsistait un peu de courage et de dignité, ainsi qu’une poignée de principes et d’espoirs.
Il est hanté par toutes les passions et les obsessions.
Parfois tantôt courant, tantôt marchant à grands pas.
Et parfois il me paraît que je vole, sur les cendres des années et les gémissements de la vie, malgré tous les risques.
Des voix derrière moi m’appellent et m’effraient.
Le passé, le présent et l’avenir me hantent.
Je cherche refuge
Un véritable compagnon pour le réconforter
Une étreinte aimante
Je tends mes bras vers la vie. Ouvre-moi les tiens, ô vie, embrasse-moi avec passion et affection.
du temps et de mon être profond.
Sous les éclairs, le tonnerre, la pluie et la tempête déchaînée.
Dans un chemin inconnu.
Brumeux, nuageux, sombre.
Dans les ruelles, sur les côtes et au cœur des villes.
Dans les villages, les hameaux et les montagnes.
Comme un fugitif qui ne sait ni où il se trouve ni où il va.
Une multitude de doutes et de chagrins le continent.
En moi résident l’amour, les malédictions, la colère et la confusion.
Reprochant la vie et les jours.
Un ouragan en moi. Une flamme de rage. De feu.
Des épines me piquent, et des couteaux me transpercent.
Mes pensées me déchirent ; mes obsessions me submergent.
Entouré de toutes parts, portant sur son dos le fardeau de la vie et un enfer de souvenirs, psychologiquement enchaîné, son âme à la dérive dans cette existence, rongé par la douleur, ses yeux apparemment aveugles.
Il craint les tragédies qui le suivront et les chagrins qui l’accompagneront.
Déracinée, désarmée, troublé, brisé.
Mais au fond de moi, il subsistait un peu de courage et de dignité, ainsi qu’une poignée de principes et d’espoirs.
Il est hanté par toutes les passions et les obsessions.
Parfois tantôt courant, tantôt marchant à grands pas.
Et parfois il me paraît que je vole, sur les cendres des années et les gémissements de la vie, malgré tous les risques.
Des voix derrière moi m’appellent et m’effraient.
Le passé, le présent et l’avenir me hantent.
Je cherche refuge
Un véritable compagnon pour le réconforter
Une étreinte aimante
Je tends mes bras vers la vie. Ouvre-moi les tiens, ô vie, embrasse-moi avec passion et affection.
PostScriptum
Un homme accablé de soucis voulait échapper à lui-même.
Écrivain Julio66
Julio66 a publié sur le site 14 écrits. Julio66 est membre du site depuis l'année 2021.Lire le profil de l'auteur poète Julio66Syllabation De L'Écrit
Phonétique : Je Suis Le Fuyard
ʒə sɥi lə fyiaʁdy tɑ̃z- e də mɔ̃n- εtʁə pʁɔfɔ̃.
su lεz- eklεʁ, lə tɔneʁə, la plɥi e la tɑ̃pεtə deʃεne.
dɑ̃z- œ̃ ʃəmɛ̃ ɛ̃kɔny.
bʁymø, nɥaʒø, sɔ̃bʁə.
dɑ̃ lε ʁyεllə, syʁ lε kotəz- e o kœʁ dε vilə.
dɑ̃ lε vilaʒə, lεz- amoz- e lε mɔ̃taɲə.
kɔmə œ̃ fyʒitif ki nə sε ni u il sə tʁuvə ni u il va.
ynə myltitydə də dutəz- e də ʃaɡʁɛ̃ lə kɔ̃tine.
ɑ̃ mwa ʁezide lamuʁ, lε malediksjɔ̃, la kɔlεʁə e la kɔ̃fyzjɔ̃.
ʁəpʁoʃɑ̃ la vi e lε ʒuʁ.
œ̃n- uʁaɡɑ̃ ɑ̃ mwa. ynə flamə də ʁaʒə. də fø.
dεz- epinə mə pike, e dε kuto mə tʁɑ̃spεʁse.
mε pɑ̃se mə deʃiʁe, mεz- ɔpsesjɔ̃ mə sybmεʁʒe.
ɑ̃tuʁe də tutə paʁ, pɔʁtɑ̃ syʁ sɔ̃ do lə faʁdo də la vi e œ̃n- ɑ̃fe də suvəniʁ, psikɔlɔʒikəmɑ̃ ɑ̃ʃεne, sɔ̃n- amə a la deʁivə dɑ̃ sεtə εɡzistɑ̃sə, ʁɔ̃ʒe paʁ la dulœʁ, sεz- iøz- apaʁamɑ̃ avøɡlə.
il kʁɛ̃ lε tʁaʒedi ki lə sɥivʁɔ̃ e lε ʃaɡʁɛ̃ ki lakɔ̃paɲəʁɔ̃.
deʁasine, dezaʁme, tʁuble, bʁize.
mεz- o fɔ̃ də mwa, il sybzistε œ̃ pø də kuʁaʒə e də diɲite, ɛ̃si kynə pwaɲe də pʁɛ̃sipəz- e dεspwaʁ.
il ε-ɑ̃te paʁ tutə lε pasjɔ̃z- e lεz- ɔpsesjɔ̃.
paʁfwa tɑ̃to kuʁɑ̃, tɑ̃to maʁʃɑ̃ a ɡʁɑ̃ pa.
e paʁfwaz- il mə paʁε kə ʒə vɔlə, syʁ lε sɑ̃dʁə- dεz- anez- e lε ʒemisəmɑ̃ də la vi, malɡʁe tus lε ʁisk.
dε vwa dəʁjεʁə mwa mapεlle e mefʁε.
lə pase, lə pʁezɑ̃ e lavəniʁ mə-ɑ̃te.
ʒə ʃεʁʃə ʁəfyʒə
œ̃ veʁitablə kɔ̃paɲɔ̃ puʁ lə ʁekɔ̃fɔʁte
ynə etʁɛ̃tə εmɑ̃tə
ʒə tɑ̃ mε bʁa vεʁ la vi. uvʁə mwa lε tjɛ̃, o vi, ɑ̃bʁasə mwa avεk pasjɔ̃ e afεksjɔ̃.
Récompense
Commentaire Sur La Poesie

12/12/2025 15:40Zeugme
on a beau courir,
au bout du chemin
s’arrête l’avenir !
Texte Ennui
Du 12/12/2025 14:34
L'écrit contient 283 mots qui sont répartis dans 1 strophes.