Chanson : Dans Un Moment De Contemplation Onirique,
Dans Un Moment De Contemplation Onirique,
Dans un moment de contemplation onirique, perdue au plus profond de mon âme et dans les rêveries angéliques de mon être.
Une inspiration sublime me submerge, refusant de me quitter.
Elle caresse mon esprit dans des instants poétiques de vie, incitant ma plume et le papier à l’inscrire sur la toile de l’existence.
En vérité, quels mots restent tus dans la vie ?
Avons-nous vraiment vécu pour les mots ? Et les mots ont-ils vécu pour nous ?
Écrire de manière créative, c’est tracer un chemin de vie, transformer les mots en vie, faire de nos vies un temple des mots, un autel des mots.
des mots sacrés descendus du ciel, des mots puissants qui ont traversé les âges, des mots intemporels renaissant à chaque époque.
Quel symbolisme la vie recèle-t-elle sans les mots ? Quelle immortalité peut-elle atteindre sans les mots ?
L’inspiration se pose sur le papier et la plume, les trouvant toujours présents, prêts à être consignés. J’aspire à écrire des phrases inédites, à m’exprimer d’une manière jamais vue, à composer des poèmes jamais prononcés.
C’est la folie de la poésie. Il cherche l’essence de la vie. Il a vécu immortellement, qu’il soit écrivain ou poète, en consacrant sa vie à l’écriture.
La poésie et l’amour font naître la vie.
Les mots et la mer, dans leur immensité, cherchent un havre de paix pour la vie.
Dans un moment de contemplation rêveuse, perdu au plus profond de mon âme et dans les rêveries angéliques de mon esprit, une inspiration merveilleuse me submerge, refusant de me quitter. Elle caresse mon esprit dans ces instants poétiques de la vie, incitant ma plume et mon papier à l’inscrire sur la toile de l’existence. En vérité, quels mots restent tus dans la vie ? Avons-nous vraiment vécu pour les mots ? Et les mots ont-ils vécu pour nous ? Écrire de manière créative, c’est tracer un chemin de vie, transformer les mots en vie, faire de nos vies un temple des mots, un autel des mots – des mots sacrés descendus du ciel, des mots percutants qui ont traversé les âges, des mots immortels qui renaissent à chaque époque. Quel symbolisme la vie recèle-t-elle sans les mots ? Quelle immortalité peut-elle atteindre sans eux ? L’inspiration se pose sur le papier et la plume, les trouvant toujours présents, prêts à être consignés. J’aspire à écrire des phrases inédites, à m’exprimer d’une manière jamais vue, à composer des poèmes jamais prononcés. C’est la folie de la poésie. Il cherche l’essence de la vie.
Il a vécu immortellement, écrivain ou poète, en consacrant sa vie à l’écriture.
La poésie et l’amour font naître la vie.
Les mots et la mer, dans leur immensité,
Cherchent un havre de paix pour la vie.
L’inspiration est un sentiment spirituel qui traduit les pulsations de la vie en mots.
Le véritable isolement, c’est de ne rien écrire sur la vie, de rester prisonnier des murs du silence, de l’émerveillement et du doute.
Sans créativité, sans distinction, sans gloire.
Le regard de la vie vous scrute : pourquoi vous offre-t-elle de l’amour, de la nourriture et un refuge ?
Si nous n’exprimons pas la beauté de la vie, alors pourquoi sommes-nous vivants ?
L’inspiration me surprend par des mots enchanteurs que je n’ai lus dans aucun recueil de poésie ; je les note aussitôt sur le papier, décrivant la magie de la vie.
Des peintres ont créé des tableaux immortels.
Des sculpteurs ont façonné des statues qui glorifient leur époque.
Des bâtisseurs ont érigé de magnifiques palais.
Chacun, par son art, glorifie la vie.
Et l’inspiration demeure. Les mots les expriment tous avec amour et admiration.
Une inspiration sublime me submerge, refusant de me quitter.
Elle caresse mon esprit dans des instants poétiques de vie, incitant ma plume et le papier à l’inscrire sur la toile de l’existence.
En vérité, quels mots restent tus dans la vie ?
Avons-nous vraiment vécu pour les mots ? Et les mots ont-ils vécu pour nous ?
Écrire de manière créative, c’est tracer un chemin de vie, transformer les mots en vie, faire de nos vies un temple des mots, un autel des mots.
des mots sacrés descendus du ciel, des mots puissants qui ont traversé les âges, des mots intemporels renaissant à chaque époque.
Quel symbolisme la vie recèle-t-elle sans les mots ? Quelle immortalité peut-elle atteindre sans les mots ?
L’inspiration se pose sur le papier et la plume, les trouvant toujours présents, prêts à être consignés. J’aspire à écrire des phrases inédites, à m’exprimer d’une manière jamais vue, à composer des poèmes jamais prononcés.
C’est la folie de la poésie. Il cherche l’essence de la vie. Il a vécu immortellement, qu’il soit écrivain ou poète, en consacrant sa vie à l’écriture.
La poésie et l’amour font naître la vie.
Les mots et la mer, dans leur immensité, cherchent un havre de paix pour la vie.
Dans un moment de contemplation rêveuse, perdu au plus profond de mon âme et dans les rêveries angéliques de mon esprit, une inspiration merveilleuse me submerge, refusant de me quitter. Elle caresse mon esprit dans ces instants poétiques de la vie, incitant ma plume et mon papier à l’inscrire sur la toile de l’existence. En vérité, quels mots restent tus dans la vie ? Avons-nous vraiment vécu pour les mots ? Et les mots ont-ils vécu pour nous ? Écrire de manière créative, c’est tracer un chemin de vie, transformer les mots en vie, faire de nos vies un temple des mots, un autel des mots – des mots sacrés descendus du ciel, des mots percutants qui ont traversé les âges, des mots immortels qui renaissent à chaque époque. Quel symbolisme la vie recèle-t-elle sans les mots ? Quelle immortalité peut-elle atteindre sans eux ? L’inspiration se pose sur le papier et la plume, les trouvant toujours présents, prêts à être consignés. J’aspire à écrire des phrases inédites, à m’exprimer d’une manière jamais vue, à composer des poèmes jamais prononcés. C’est la folie de la poésie. Il cherche l’essence de la vie.
Il a vécu immortellement, écrivain ou poète, en consacrant sa vie à l’écriture.
La poésie et l’amour font naître la vie.
Les mots et la mer, dans leur immensité,
Cherchent un havre de paix pour la vie.
L’inspiration est un sentiment spirituel qui traduit les pulsations de la vie en mots.
Le véritable isolement, c’est de ne rien écrire sur la vie, de rester prisonnier des murs du silence, de l’émerveillement et du doute.
Sans créativité, sans distinction, sans gloire.
Le regard de la vie vous scrute : pourquoi vous offre-t-elle de l’amour, de la nourriture et un refuge ?
Si nous n’exprimons pas la beauté de la vie, alors pourquoi sommes-nous vivants ?
L’inspiration me surprend par des mots enchanteurs que je n’ai lus dans aucun recueil de poésie ; je les note aussitôt sur le papier, décrivant la magie de la vie.
Des peintres ont créé des tableaux immortels.
Des sculpteurs ont façonné des statues qui glorifient leur époque.
Des bâtisseurs ont érigé de magnifiques palais.
Chacun, par son art, glorifie la vie.
Et l’inspiration demeure. Les mots les expriment tous avec amour et admiration.
Julio66
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Poème en Phonétique
dɑ̃z- œ̃ mɔmɑ̃ də kɔ̃tɑ̃plasjɔ̃ ɔniʁikə, pεʁdɥ o plys pʁɔfɔ̃ də mɔ̃n- amə e dɑ̃ lε ʁεvəʁiz- ɑ̃ʒelik də mɔ̃n- εtʁə.
ynə ɛ̃spiʁasjɔ̃ syblimə mə sybmεʁʒə, ʁəfyzɑ̃ də mə kite.
εllə kaʁεsə mɔ̃n- εspʁi dɑ̃ dεz- ɛ̃stɑ̃ pɔetik də vi, ɛ̃sitɑ̃ ma plymə e lə papje a lɛ̃skʁiʁə syʁ la twalə də lεɡzistɑ̃sə.
ɑ̃ veʁite, kεl mo ʁεste tys dɑ̃ la vi ?
avɔ̃ nu vʁεmɑ̃ veky puʁ lε mo ? e lε moz- ɔ̃ til veky puʁ nu ?
ekʁiʁə də manjεʁə kʁeativə, sε tʁase œ̃ ʃəmɛ̃ də vi, tʁɑ̃sfɔʁme lε moz- ɑ̃ vi, fεʁə də no viz- œ̃ tɑ̃plə dε mo, œ̃n- otεl dε mo.
dε mo sakʁe desɑ̃dys dy sjεl, dε mo pɥisɑ̃ ki ɔ̃ tʁavεʁse lεz- aʒə, dε moz- ɛ̃tɑ̃pɔʁεl ʁənεsɑ̃ a ʃakə epɔkə.
kεl sɛ̃bɔlismə la vi ʁəsεlə tεllə sɑ̃ lε mo ? kεllə imɔʁtalite pø tεllə atɛ̃dʁə sɑ̃ lε mo ?
lɛ̃spiʁasjɔ̃ sə pozə syʁ lə papje e la plymə, lε tʁuvɑ̃ tuʒuʁ pʁezɑ̃, pʁεz- a εtʁə kɔ̃siɲe. ʒaspiʁə a ekʁiʁə dε fʁazəz- ineditə, a mεkspʁime dynə manjεʁə ʒamε vɥ, a kɔ̃poze dε pɔεmə ʒamε pʁonɔ̃se.
sε la fɔli də la pɔezi. il ʃεʁʃə lesɑ̃sə də la vi. il a veky imɔʁtεllmɑ̃, kil swa ekʁivɛ̃ u pɔεtə, ɑ̃ kɔ̃sakʁɑ̃ sa vi a lekʁityʁə.
la pɔezi e lamuʁ fɔ̃ nεtʁə la vi.
lε moz- e la mεʁ, dɑ̃ lœʁ imɑ̃site, ʃεʁʃe œ̃-avʁə də pε puʁ la vi.
dɑ̃z- œ̃ mɔmɑ̃ də kɔ̃tɑ̃plasjɔ̃ ʁεvøzə, pεʁdy o plys pʁɔfɔ̃ də mɔ̃n- amə e dɑ̃ lε ʁεvəʁiz- ɑ̃ʒelik də mɔ̃n- εspʁi, ynə ɛ̃spiʁasjɔ̃ mεʁvεjøzə mə sybmεʁʒə, ʁəfyzɑ̃ də mə kite. εllə kaʁεsə mɔ̃n- εspʁi dɑ̃ sεz- ɛ̃stɑ̃ pɔetik də la vi, ɛ̃sitɑ̃ ma plymə e mɔ̃ papje a lɛ̃skʁiʁə syʁ la twalə də lεɡzistɑ̃sə. ɑ̃ veʁite, kεl mo ʁεste tys dɑ̃ la vi ? avɔ̃ nu vʁεmɑ̃ veky puʁ lε mo ? e lε moz- ɔ̃ til veky puʁ nu ? ekʁiʁə də manjεʁə kʁeativə, sε tʁase œ̃ ʃəmɛ̃ də vi, tʁɑ̃sfɔʁme lε moz- ɑ̃ vi, fεʁə də no viz- œ̃ tɑ̃plə dε mo, œ̃n- otεl dε mo dε mo sakʁe desɑ̃dys dy sjεl, dε mo pεʁkytɑ̃ ki ɔ̃ tʁavεʁse lεz- aʒə, dε moz- imɔʁtεl ki ʁənεse a ʃakə epɔkə. kεl sɛ̃bɔlismə la vi ʁəsεlə tεllə sɑ̃ lε mo ? kεllə imɔʁtalite pø tεllə atɛ̃dʁə sɑ̃z- ø ? lɛ̃spiʁasjɔ̃ sə pozə syʁ lə papje e la plymə, lε tʁuvɑ̃ tuʒuʁ pʁezɑ̃, pʁεz- a εtʁə kɔ̃siɲe. ʒaspiʁə a ekʁiʁə dε fʁazəz- ineditə, a mεkspʁime dynə manjεʁə ʒamε vɥ, a kɔ̃poze dε pɔεmə ʒamε pʁonɔ̃se. sε la fɔli də la pɔezi. il ʃεʁʃə lesɑ̃sə də la vi.
il a veky imɔʁtεllmɑ̃, ekʁivɛ̃ u pɔεtə, ɑ̃ kɔ̃sakʁɑ̃ sa vi a lekʁityʁə.
la pɔezi e lamuʁ fɔ̃ nεtʁə la vi.
lε moz- e la mεʁ, dɑ̃ lœʁ imɑ̃site,
ʃεʁʃe œ̃-avʁə də pε puʁ la vi.
lɛ̃spiʁasjɔ̃ εt- œ̃ sɑ̃timɑ̃ spiʁitɥεl ki tʁadɥi lε pylsasjɔ̃ də la vi ɑ̃ mo.
lə veʁitablə izɔləmɑ̃, sε də nə ʁjɛ̃ ekʁiʁə syʁ la vi, də ʁεste pʁizɔnje dε myʁ dy silɑ̃sə, də lemεʁvεjmɑ̃ e dy dutə.
sɑ̃ kʁeativite, sɑ̃ distɛ̃ksjɔ̃, sɑ̃ ɡlwaʁə.
lə ʁəɡaʁ də la vi vu skʁytə : puʁkwa vuz- ɔfʁə tεllə də lamuʁ, də la nuʁʁityʁə e œ̃ ʁəfyʒə ?
si nu nεkspʁimɔ̃ pa la bote də la vi, alɔʁ puʁkwa sɔmə nu vivɑ̃ ?
lɛ̃spiʁasjɔ̃ mə syʁpʁɑ̃ paʁ dε moz- ɑ̃ʃɑ̃tœʁ kə ʒə nε ly dɑ̃z- okœ̃ ʁəkœj də pɔezi, ʒə lε nɔtə osito syʁ lə papje, dekʁivɑ̃ la maʒi də la vi.
dε pɛ̃tʁəz- ɔ̃ kʁee dε tabloz- imɔʁtεl.
dε skylptœʁz- ɔ̃ fasɔne dε statɥ ki ɡlɔʁifje lœʁ epɔkə.
dε batisœʁz- ɔ̃ eʁiʒe də maɲifik palε.
ʃakœ̃, paʁ sɔ̃n- aʁ, ɡlɔʁifi la vi.
e lɛ̃spiʁasjɔ̃ dəməʁə. lε mo lεz- εkspʁime tusz- avεk amuʁ e admiʁasjɔ̃.
ynə ɛ̃spiʁasjɔ̃ syblimə mə sybmεʁʒə, ʁəfyzɑ̃ də mə kite.
εllə kaʁεsə mɔ̃n- εspʁi dɑ̃ dεz- ɛ̃stɑ̃ pɔetik də vi, ɛ̃sitɑ̃ ma plymə e lə papje a lɛ̃skʁiʁə syʁ la twalə də lεɡzistɑ̃sə.
ɑ̃ veʁite, kεl mo ʁεste tys dɑ̃ la vi ?
avɔ̃ nu vʁεmɑ̃ veky puʁ lε mo ? e lε moz- ɔ̃ til veky puʁ nu ?
ekʁiʁə də manjεʁə kʁeativə, sε tʁase œ̃ ʃəmɛ̃ də vi, tʁɑ̃sfɔʁme lε moz- ɑ̃ vi, fεʁə də no viz- œ̃ tɑ̃plə dε mo, œ̃n- otεl dε mo.
dε mo sakʁe desɑ̃dys dy sjεl, dε mo pɥisɑ̃ ki ɔ̃ tʁavεʁse lεz- aʒə, dε moz- ɛ̃tɑ̃pɔʁεl ʁənεsɑ̃ a ʃakə epɔkə.
kεl sɛ̃bɔlismə la vi ʁəsεlə tεllə sɑ̃ lε mo ? kεllə imɔʁtalite pø tεllə atɛ̃dʁə sɑ̃ lε mo ?
lɛ̃spiʁasjɔ̃ sə pozə syʁ lə papje e la plymə, lε tʁuvɑ̃ tuʒuʁ pʁezɑ̃, pʁεz- a εtʁə kɔ̃siɲe. ʒaspiʁə a ekʁiʁə dε fʁazəz- ineditə, a mεkspʁime dynə manjεʁə ʒamε vɥ, a kɔ̃poze dε pɔεmə ʒamε pʁonɔ̃se.
sε la fɔli də la pɔezi. il ʃεʁʃə lesɑ̃sə də la vi. il a veky imɔʁtεllmɑ̃, kil swa ekʁivɛ̃ u pɔεtə, ɑ̃ kɔ̃sakʁɑ̃ sa vi a lekʁityʁə.
la pɔezi e lamuʁ fɔ̃ nεtʁə la vi.
lε moz- e la mεʁ, dɑ̃ lœʁ imɑ̃site, ʃεʁʃe œ̃-avʁə də pε puʁ la vi.
dɑ̃z- œ̃ mɔmɑ̃ də kɔ̃tɑ̃plasjɔ̃ ʁεvøzə, pεʁdy o plys pʁɔfɔ̃ də mɔ̃n- amə e dɑ̃ lε ʁεvəʁiz- ɑ̃ʒelik də mɔ̃n- εspʁi, ynə ɛ̃spiʁasjɔ̃ mεʁvεjøzə mə sybmεʁʒə, ʁəfyzɑ̃ də mə kite. εllə kaʁεsə mɔ̃n- εspʁi dɑ̃ sεz- ɛ̃stɑ̃ pɔetik də la vi, ɛ̃sitɑ̃ ma plymə e mɔ̃ papje a lɛ̃skʁiʁə syʁ la twalə də lεɡzistɑ̃sə. ɑ̃ veʁite, kεl mo ʁεste tys dɑ̃ la vi ? avɔ̃ nu vʁεmɑ̃ veky puʁ lε mo ? e lε moz- ɔ̃ til veky puʁ nu ? ekʁiʁə də manjεʁə kʁeativə, sε tʁase œ̃ ʃəmɛ̃ də vi, tʁɑ̃sfɔʁme lε moz- ɑ̃ vi, fεʁə də no viz- œ̃ tɑ̃plə dε mo, œ̃n- otεl dε mo dε mo sakʁe desɑ̃dys dy sjεl, dε mo pεʁkytɑ̃ ki ɔ̃ tʁavεʁse lεz- aʒə, dε moz- imɔʁtεl ki ʁənεse a ʃakə epɔkə. kεl sɛ̃bɔlismə la vi ʁəsεlə tεllə sɑ̃ lε mo ? kεllə imɔʁtalite pø tεllə atɛ̃dʁə sɑ̃z- ø ? lɛ̃spiʁasjɔ̃ sə pozə syʁ lə papje e la plymə, lε tʁuvɑ̃ tuʒuʁ pʁezɑ̃, pʁεz- a εtʁə kɔ̃siɲe. ʒaspiʁə a ekʁiʁə dε fʁazəz- ineditə, a mεkspʁime dynə manjεʁə ʒamε vɥ, a kɔ̃poze dε pɔεmə ʒamε pʁonɔ̃se. sε la fɔli də la pɔezi. il ʃεʁʃə lesɑ̃sə də la vi.
il a veky imɔʁtεllmɑ̃, ekʁivɛ̃ u pɔεtə, ɑ̃ kɔ̃sakʁɑ̃ sa vi a lekʁityʁə.
la pɔezi e lamuʁ fɔ̃ nεtʁə la vi.
lε moz- e la mεʁ, dɑ̃ lœʁ imɑ̃site,
ʃεʁʃe œ̃-avʁə də pε puʁ la vi.
lɛ̃spiʁasjɔ̃ εt- œ̃ sɑ̃timɑ̃ spiʁitɥεl ki tʁadɥi lε pylsasjɔ̃ də la vi ɑ̃ mo.
lə veʁitablə izɔləmɑ̃, sε də nə ʁjɛ̃ ekʁiʁə syʁ la vi, də ʁεste pʁizɔnje dε myʁ dy silɑ̃sə, də lemεʁvεjmɑ̃ e dy dutə.
sɑ̃ kʁeativite, sɑ̃ distɛ̃ksjɔ̃, sɑ̃ ɡlwaʁə.
lə ʁəɡaʁ də la vi vu skʁytə : puʁkwa vuz- ɔfʁə tεllə də lamuʁ, də la nuʁʁityʁə e œ̃ ʁəfyʒə ?
si nu nεkspʁimɔ̃ pa la bote də la vi, alɔʁ puʁkwa sɔmə nu vivɑ̃ ?
lɛ̃spiʁasjɔ̃ mə syʁpʁɑ̃ paʁ dε moz- ɑ̃ʃɑ̃tœʁ kə ʒə nε ly dɑ̃z- okœ̃ ʁəkœj də pɔezi, ʒə lε nɔtə osito syʁ lə papje, dekʁivɑ̃ la maʒi də la vi.
dε pɛ̃tʁəz- ɔ̃ kʁee dε tabloz- imɔʁtεl.
dε skylptœʁz- ɔ̃ fasɔne dε statɥ ki ɡlɔʁifje lœʁ epɔkə.
dε batisœʁz- ɔ̃ eʁiʒe də maɲifik palε.
ʃakœ̃, paʁ sɔ̃n- aʁ, ɡlɔʁifi la vi.
e lɛ̃spiʁasjɔ̃ dəməʁə. lε mo lεz- εkspʁime tusz- avεk amuʁ e admiʁasjɔ̃.