Poeme : Les Shadoks
A Propos
Créée en 1968 par Jacques Rouxel, la série Les Shadoks est un dessin animé français qui a
marqué les esprits par son humour absurde et son univers décalé. Elle raconte les aventures
de ces créatures étranges qui pompent sans cesse pour résoudre leurs problèmes, souvent en
conflit avec les Gibis, plus rationnels. La série met en lumière la folie douce de la logique
inversée, le comique des situations absurdes et la persévérance face aux difficultés, offrant
aux spectateurs un mélange unique de rire et de réflexion sur le monde.
Les Shadoks
Dans un monde étrange où tout semble à l’envers,
Les Shadoks pompent, pompent, sans jamais se taire.
Leur logique est folle, leurs idées farfelues,
Et pourtant, ils avancent, toujours imprévus.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
Répètent-ils sans cesse, fiers de leur absurdité.
Les Gibis les regardent, sérieux et rationnels,
Tandis que les Shadoks rient de leurs plans irréels.
Dans le ciel bizarre, des machines s’assemblent,
Des inventions étranges, uniques en leur genre.
Chaque pompe, chaque saut, chaque geste improvisé,
Raconte l’absurde, le drôle et l’imprévu en vérité.
Et malgré tout ce chaos, malgré leurs erreurs,
Les Shadoks persistent, animés par leur humeur.
Dans leur univers fou, ils nous rappellent avec malice,
Que la vie est parfois drôle, même sans prémices.
Les Shadoks pompent, pompent, sans jamais se taire.
Leur logique est folle, leurs idées farfelues,
Et pourtant, ils avancent, toujours imprévus.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
Répètent-ils sans cesse, fiers de leur absurdité.
Les Gibis les regardent, sérieux et rationnels,
Tandis que les Shadoks rient de leurs plans irréels.
Dans le ciel bizarre, des machines s’assemblent,
Des inventions étranges, uniques en leur genre.
Chaque pompe, chaque saut, chaque geste improvisé,
Raconte l’absurde, le drôle et l’imprévu en vérité.
Et malgré tout ce chaos, malgré leurs erreurs,
Les Shadoks persistent, animés par leur humeur.
Dans leur univers fou, ils nous rappellent avec malice,
Que la vie est parfois drôle, même sans prémices.
Kikiau
PostScriptum
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Poème en Phonétique
dɑ̃z- œ̃ mɔ̃də etʁɑ̃ʒə u tu sɑ̃blə a lɑ̃vεʁ,
lε ʃadɔk pɔ̃pe, pɔ̃pe, sɑ̃ ʒamε sə tεʁə.
lœʁ lɔʒikə ε fɔlə, lœʁz- ide faʁfəlɥ,
e puʁtɑ̃, ilz- avɑ̃se, tuʒuʁz- ɛ̃pʁevys.
puʁkwa fεʁə sɛ̃plə kɑ̃t- ɔ̃ pø fεʁə kɔ̃plike ?
ʁepεte til sɑ̃ sεsə, fje də lœʁ absyʁdite.
lε ʒibi lε ʁəɡaʁde, seʁjøz- e ʁasjɔnεl,
tɑ̃di kə lε ʃadɔk ʁje də lœʁ plɑ̃z- iʁeεl.
dɑ̃ lə sjεl bizaʁə, dε maʃinə sasɑ̃ble,
dεz- ɛ̃vɑ̃sjɔ̃z- etʁɑ̃ʒə, ynikz- ɑ̃ lœʁ ʒɑ̃ʁə.
ʃakə pɔ̃pə, ʃakə so, ʃakə ʒεstə ɛ̃pʁɔvize,
ʁakɔ̃tə labsyʁdə, lə dʁolə e lɛ̃pʁevy ɑ̃ veʁite.
e malɡʁe tu sə ʃao, malɡʁe lœʁz- eʁœʁ,
lε ʃadɔk pεʁsiste, anime paʁ lœʁ ymœʁ.
dɑ̃ lœʁ ynive fu, il nu ʁapεlle avεk malisə,
kə la vi ε paʁfwa dʁolə, mεmə sɑ̃ pʁemisə.
lε ʃadɔk pɔ̃pe, pɔ̃pe, sɑ̃ ʒamε sə tεʁə.
lœʁ lɔʒikə ε fɔlə, lœʁz- ide faʁfəlɥ,
e puʁtɑ̃, ilz- avɑ̃se, tuʒuʁz- ɛ̃pʁevys.
puʁkwa fεʁə sɛ̃plə kɑ̃t- ɔ̃ pø fεʁə kɔ̃plike ?
ʁepεte til sɑ̃ sεsə, fje də lœʁ absyʁdite.
lε ʒibi lε ʁəɡaʁde, seʁjøz- e ʁasjɔnεl,
tɑ̃di kə lε ʃadɔk ʁje də lœʁ plɑ̃z- iʁeεl.
dɑ̃ lə sjεl bizaʁə, dε maʃinə sasɑ̃ble,
dεz- ɛ̃vɑ̃sjɔ̃z- etʁɑ̃ʒə, ynikz- ɑ̃ lœʁ ʒɑ̃ʁə.
ʃakə pɔ̃pə, ʃakə so, ʃakə ʒεstə ɛ̃pʁɔvize,
ʁakɔ̃tə labsyʁdə, lə dʁolə e lɛ̃pʁevy ɑ̃ veʁite.
e malɡʁe tu sə ʃao, malɡʁe lœʁz- eʁœʁ,
lε ʃadɔk pεʁsiste, anime paʁ lœʁ ymœʁ.
dɑ̃ lœʁ ynive fu, il nu ʁapεlle avεk malisə,
kə la vi ε paʁfwa dʁolə, mεmə sɑ̃ pʁemisə.