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Poeme : Un Extrait De Mon Journal Intime



Un Extrait De Mon Journal Intime

Il y a une soirée dont je me rappellerais toute ma vie. La soiré du 23 septembre 2005. Je suis arrivée là avec une amie. J’ai vu que Vincent étais assis à la table. J’étais loin de lui aux tables mais on arrêtais pas de se regarder puis peu à peu, en changeant de place on s’est retrouvés un en face de l’autre. Nos jambes se collaient en dessous de la table. J’avais des frissons qui parcouraient mon corps entier tellement que je l’aimais et j’imaginais que lui aussi.
Ensuite vers la fin de la soirée tout le monde partais. Vince je l’aimais vraiment et il me laissais croire que lui aussi. Rien que la façon qu’on avais de se regarder en disais long sur nos pensées. J’étais sur que nous deux ça allais marcher. À la fin de la soirée il restait que moi, Vince et de autres amis, Genevière et Éric. Ganeviève voulait nous amener dans un bar. Et on y est allés. Vincent allait veiller pour la première fois de sa vie. On a réussis à entrer et on est restés pendant peut-être une heure. On a bu une bierre et on a dansés un petit bout de temps.
Après on est sortis du bar et Éric et Geneviève nous ont offert de nous reconduire en auto mais moi j’ai refusé je voulais y aller à pied avec Vince, ils ont offert de rammener Vince mais il a refusé aussi. On a commencés à marcher… Une fois rendus à la route qui nous séparait il m’a offert de me raccompagner et j’ai accepté. On a vu un petit restaurant et on a décidé d’aller manger quelque chose. C’était vraiment comme dans un film comme ça, en tête à tête… On était tellement beaux à voir même la serveuse nous regardais avec des yeux pétillants. On a mangé dans la même assiette il racontais des blagues pas drôles mais je les risais quand même car j’étais très fatiguée. Ensuite, c’est moi qui ai payé.
On a marché et il faisais très froid et j’avais tellement le gout de me coller contre lui mais j’avais peur de voir sa réaction. Une fois rendus devant chez moi il m’a donné 6$ car j’avais payé le restaurant et il se sentais mal. J’ai vraiment trouvé ça cute. J’ai refusé l’argent plusieurs fois mais il insistais. On est restés une demi heure devant chez moi n’osant rien faire. Je voulais l’embrasser pour finir notre soirée. J’étais tellement gênée mais je devais rentrer pour minuit et il était déjà 1 heure. J’avais hâte de finir de poiroter devant la maison. Alors j’ai ouvert mes bras pour lui donner un calin et il m’a serré très fort dans ses bras. Il faisais noir et on s’est un peu décollés et il a doucement déposé ses lèvres sur les miennes. Je me sentais comme dans les nuages, comme dans un rêve, c’était fou… Ça n’a pas duré très longtemps mais c’était trop beau, il m’aimais aussi.
Là il es partis quand je suis rentré mon père m’a chialé un peu parce que j’étais rentrée tarder mais moi je m’en foutais. JE SORTAIS AVEC VINCENT ! J’étais dans un rêve, c’était mon vrai premier amour que j’ai réellement aimée. Je suis monté à l’étage et je me suis regardé dans le miroir, je me sentais belle et heureuse. Vincent m’aimait et je l’aimais aussi. C’était le 23 septembre 2005 à 1 heure du matin alors le 24 septembre. Je m’en rappellerais toute ma vie. Je me sentais aux anges. Je l’ai raconté à ma sœur et à ma mere. TOute la fin de semaine j’ai pensé à lui.
Il s’est connecté le dimanche sur msn et il m’as dis qu’il avais pensé a moi et que je lui manquais. Le lendemain il est venu me voir à l’école. C’était trop beau ! Tout le monde nous félicitais et à la fin quand la cloche a sonnée il m’a embrassé pour de vrai cette fois (si vous voyez se que je veux dire lol) . Je l’aimais tellement, tellement, TELLEMENT j’en tremblais. On a passé la semaine à s’embrasser, parler, se coller… Tout de suite, le lundi, il m’a dis’’je t’aime’’. Je trouvais qu’il allait trop vite pour dire’’je t’aime’’ car quand on aime vrm on a un peu de misère à le dire non ? Son ex voulais le ravoir dans ses bras et pleurais quand elle nous voyais tout les deux. Et me haissais. Mais j’étais aux anges avec Vince et je m’en foutais de son ex. Il a passé la semaine à me dire’’je t’aime’’ et moi je disais juste’’moi aussi’’ car j’ai de la misère à dire je t’aime. Une semaine qu’on a passés ensemble, la plus belle de ma vie. Le vendredi il m’a dis’’est qu’on fais quelque chose ensemble en fin de semaine ? ’’
Finalement le dimanche le 1 octobre on est allés au cinéma. C’était une des plus belles soirées de ma vie. On a passés tout le film à s’embrasser, rire, se chuchotter des mots doux dans l’oreille et il me disais’’tu est belle, je t’aime… je t’aime’’ C’était tellement beau. Pour retourner à la maison on a passés pars un petit passage dans le boix sombre et on s’arrêtait à chaque mètre pour s’embrasser. J’ai commencé à l’embrasser dans le cou et il a aimé ça dans le sens d’en bas loll je l’ai senti quand il m’a serré dans ses bras. On s’es embrassés je sais pas combien de fois et il me serrait très fort dans ses bras comme s’il ne voulais pas me laisser partir. Ce soir là j’ai eu de la misère à dormir car je pensais trop à lui.
Le lendemain on s’es revus à l’école et comme d’habitude tout se passais bien. On s’aimais ! Le lendemain mardi le 4 octobre 2005 il m’a laissé. Il a mis fin à notre relation. Il m’a dis qu’il aimait mieux quand on étais amis. J’étais sur qu’il aimais encore son ex. Je l’ai pris dans mes bras en pleurant et il es partis avec ses amis. Deux de mes amies sont venues me consoler dans les toilettes. Je tremblais, je voulais m’arracher les cheveux, et j’avais le mot SUICIDE dans la tête. Le soir j’ai demandé à lui parler et il est venu. Je lui ai demandé de s’expliquer car je ne comprenais pas. Il ma dis que toutes les fois où il m’a dis’’je t’aime’’ il ne le pensais pas réellement et qu’il était tout mélangé dans sa tête. QUEL TRAITRE ! C’était le pir moment de ma vie. Je le regardais et je me disais que je ne pouvais plus jamais sentir ses lèvres contre les miennes, son corps contre le mien, sentir son odeur et entendre ses je t’aime même s’il étaient faux. Je ne pouvais plus jamais être à lui même si c’était ce que je desirais le plus au monde en se moment là. Il ne m’aimait pas.
En se moment où j’écris ça je verse mes larmes et il ne les vois pas, il n’est pas la pour les essuyer. J’écris ces mots avec toute mon âme et ma sincerité. JE LE HAIS ! JE LE HAIS ! … oh mon dieux JE L’AIME ! Je ne sais plus lequel des deux, l’amour ou la haine est le plus fort. On dis qu’entre la haine et l’amour il n’y a qu’un seul pat.
J’ai passé deux semaines à pleurer. Quelques semaines plus tard je l’ai vu embrasser son ex. Il se sont remis et sont encore ensemble aujourd’hui. Je savais que c’est pour cette raison qu’il m’avais laissé.
Ces derniers temps je suis une autre, j’ai vu ce que c’était de réllement aimer de toute notre âme. Mais ça m’a appris des choses dans la vie. Je vais toujours me rappeller de Vincent, mon premier amour, le VRAI ! En quelque part j’espère encore qu’il regrette son choix et qu’il me revienne. Qu’il m’aime mais je me dis que si Vincent pis Anick (son ex) sont fait pour aller ensemble je n’y peux rien c’est le destin. Je me trouverais quelqu’un qui m’aime, me mérite et m’aime sincérement. Je m’y ferais pas reprendre deux fois. Ce sont des petites leçons de la vie qui me serviront et rien que pour ça : MERCI VINCENT ! merci car je ne referais pas la même erreur deux fois, tu t’est servis de moi pour rendre jalouse Anick. Peut-être que tu m’a aimé, sans en être conscient réellement mais si jamais tu me revient je te dirais non car tu as trop fait de cicatrices qui ne guérissent plus. Je vais toujours t’aimer d’un côté mais sans resentir de peine mais juste me rappeller les merveilleux souvenirs qu’on a vécus.
Voilà j’ai écris avec mes larmes…
Kokinne
Pour vous prouver que ça n’arrive pas qu’à vous…
Kokinne

PostScriptum

18 novembre 2005. Extrait de mon journal intime. . . Si vous avez le courage de lire jusqu’a la fin merci je suis conciente que c’est très long à lire. J’ai toujours voulou écrire des histoires, devenir une écrivaine et écrire ma vie dans un livre lorsque


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Poème en Phonétique

il i a ynə swaʁe dɔ̃ ʒə mə ʁapεllʁε tutə ma vi. la swaʁe dy vɛ̃t- tʁwa sεptɑ̃bʁə dø milə sɛ̃k. ʒə sɥiz- aʁive la avεk ynə ami. ʒε vy kə vɛ̃sɑ̃ etεz- asiz- a la tablə. ʒetε lwɛ̃ də lɥi o tablə mεz- ɔ̃n- aʁεtε pa də sə ʁəɡaʁde pɥi pø a pø, ɑ̃ ʃɑ̃ʒɑ̃ də plasə ɔ̃ sε ʁətʁuvez- œ̃n- ɑ̃ fasə də lotʁə. no ʒɑ̃bə sə kɔlε ɑ̃ dəsu də la tablə. ʒavε dε fʁisɔ̃ ki paʁkuʁε mɔ̃ kɔʁz- ɑ̃tje tεllmɑ̃ kə ʒə lεmεz- e ʒimaʒinε kə lɥi osi.
ɑ̃sɥitə vεʁ la fɛ̃ də la swaʁe tu lə mɔ̃də paʁtε. vɛ̃sə ʒə lεmε vʁεmɑ̃ e il mə lεsε kʁwaʁə kə lɥi osi. ʁjɛ̃ kə la fasɔ̃ kɔ̃n- avε də sə ʁəɡaʁde ɑ̃ dizε lɔ̃ syʁ no pɑ̃se. ʒetε syʁ kə nu dø sa alε maʁʃe. a la fɛ̃ də la swaʁe il ʁεstε kə mwa, vɛ̃sə e də otʁəz- ami, ʒənəvjεʁə e eʁik. ɡanəvjεvə vulε nuz- aməne dɑ̃z- œ̃ baʁ. e ɔ̃n- i εt- ale. vɛ̃sɑ̃ alε vεje puʁ la pʁəmjεʁə fwa də sa vi. ɔ̃n- a ʁeysiz- a ɑ̃tʁe e ɔ̃n- ε ʁεste pɑ̃dɑ̃ pø tεtʁə ynə œʁ. ɔ̃n- a by ynə bjeʁə e ɔ̃n- a dɑ̃sez- œ̃ pəti bu də tɑ̃.
apʁεz- ɔ̃n- ε sɔʁti dy baʁ e eʁik e ʒənəvjεvə nuz- ɔ̃ ɔfεʁ də nu ʁəkɔ̃dɥiʁə ɑ̃n- oto mε mwa ʒε ʁəfyze ʒə vulεz- i ale a pje avεk vɛ̃sə, ilz- ɔ̃ ɔfεʁ də ʁaməne vɛ̃sə mεz- il a ʁəfyze osi. ɔ̃n- a kɔmɑ̃sez- a maʁʃe… ynə fwa ʁɑ̃dysz- a la ʁutə ki nu sepaʁε il ma ɔfεʁ də mə ʁakɔ̃paɲe e ʒε aksεpte. ɔ̃n- a vy œ̃ pəti ʁεstoʁɑ̃ e ɔ̃n- a deside dale mɑ̃ʒe kεlkə ʃozə. setε vʁεmɑ̃ kɔmə dɑ̃z- œ̃ film kɔmə sa, ɑ̃ tεtə a tεtə… ɔ̃n- etε tεllmɑ̃ boz- a vwaʁ mεmə la sεʁvøzə nu ʁəɡaʁdεz- avεk dεz- iø petijɑ̃. ɔ̃n- a mɑ̃ʒe dɑ̃ la mεmə asjεtə il ʁakɔ̃tε dε blaɡ pa dʁolə mε ʒə lε ʁizε kɑ̃ mεmə kaʁ ʒetε tʁε fatiɡe. ɑ̃sɥitə, sε mwa ki ε pεje.
ɔ̃n- a maʁʃe e il fəzε tʁε fʁwa e ʒavε tεllmɑ̃ lə ɡu də mə kɔle kɔ̃tʁə lɥi mε ʒavε pœʁ də vwaʁ sa ʁeaksjɔ̃. ynə fwa ʁɑ̃dys dəvɑ̃ ʃe mwa il ma dɔne si- dɔlaʁ kaʁ ʒavε pεje lə ʁεstoʁɑ̃ e il sə sɑ̃tε mal. ʒε vʁεmɑ̃ tʁuve sa kytə. ʒε ʁəfyze laʁʒe plyzjœʁ fwa mεz- il ɛ̃sistε. ɔ̃n- ε ʁεstez- ynə dəmi œʁ dəvɑ̃ ʃe mwa nozɑ̃ ʁjɛ̃ fεʁə. ʒə vulε lɑ̃bʁase puʁ finiʁ nɔtʁə swaʁe. ʒetε tεllmɑ̃ ʒεne mε ʒə dəvε ʁɑ̃tʁe puʁ minɥi e il etε deʒa œ̃n- œʁ. ʒavεz- atə də finiʁ də pwaʁɔte dəvɑ̃ la mεzɔ̃. alɔʁ ʒε uvεʁ mε bʁa puʁ lɥi dɔne œ̃ kalɛ̃ e il ma seʁe tʁε fɔʁ dɑ̃ sε bʁa. il fəzε nwaʁ e ɔ̃ sεt- œ̃ pø dekɔlez- e il a dusəmɑ̃ depoze sε lεvʁə- syʁ lε mjεnə. ʒə mə sɑ̃tε kɔmə dɑ̃ lε nɥaʒə, kɔmə dɑ̃z- œ̃ ʁεvə, setε fu… sa na pa dyʁe tʁε lɔ̃tɑ̃ mε setε tʁo bo, il mεmεz- osi.
la il ε paʁti kɑ̃ ʒə sɥi ʁɑ̃tʁe mɔ̃ pεʁə ma ʃjale œ̃ pø paʁsə kə ʒetε ʁɑ̃tʁe taʁde mε mwa ʒə mɑ̃ futε. ʒə sɔʁtεz- avεk vɛ̃sɑ̃ ! ʒetε dɑ̃z- œ̃ ʁεvə, setε mɔ̃ vʁε pʁəmje amuʁ kə ʒε ʁeεllmɑ̃ εme. ʒə sɥi mɔ̃te a letaʒə e ʒə mə sɥi ʁəɡaʁde dɑ̃ lə miʁwaʁ, ʒə mə sɑ̃tε bεllə e œʁøzə. vɛ̃sɑ̃ mεmε e ʒə lεmεz- osi. setε lə vɛ̃t- tʁwa sεptɑ̃bʁə dø milə sɛ̃k a œ̃n- œʁ dy matɛ̃ alɔʁ lə vɛ̃t- katʁə sεptɑ̃bʁə. ʒə mɑ̃ ʁapεllʁε tutə ma vi. ʒə mə sɑ̃tεz- oz- ɑ̃ʒə. ʒə lε ʁakɔ̃te a ma sœʁ e a ma məʁə. tutə la fɛ̃ də səmεnə ʒε pɑ̃se a lɥi.
il sε kɔnεkte lə dimɑ̃ʃə syʁ εm εs εn e il ma di kil avε pɑ̃se a mwa e kə ʒə lɥi mɑ̃kε. lə lɑ̃dəmɛ̃ il ε vəny mə vwaʁ a lekɔlə. setε tʁo bo ! tu lə mɔ̃də nu felisitεz- e a la fɛ̃ kɑ̃ la kloʃə a sɔne il ma ɑ̃bʁase puʁ də vʁε sεtə fwas (si vu vwaje sə kə ʒə vø diʁə lɔl) . ʒə lεmε tεllmɑ̃, tεllmɑ̃, tεllmɑ̃ ʒɑ̃ tʁɑ̃blε. ɔ̃n- a pase la səmεnə a sɑ̃bʁase, paʁle, sə kɔle… tu də sɥitə, lə lœ̃di, il ma disʒə tεmə. ʒə tʁuvε kil alε tʁo vitə puʁ diʁəʒə tεməkaʁ kɑ̃t- ɔ̃n- εmə ve εʁ εm ɔ̃n- a œ̃ pø də mizεʁə a lə diʁə nɔ̃ ? sɔ̃n- εks vulε lə ʁavwaʁ dɑ̃ sε bʁaz- e pləʁε kɑ̃t- εllə nu vwajε tu lε dø. e mə-εsε. mε ʒetεz- oz- ɑ̃ʒəz- avεk vɛ̃sə e ʒə mɑ̃ futε də sɔ̃n- εks. il a pase la səmεnə a mə diʁəʒə tεməe mwa ʒə dizε ʒystəmwa osikaʁ ʒε də la mizεʁə a diʁə ʒə tεmə. ynə səmεnə kɔ̃n- a pasez- ɑ̃sɑ̃blə, la plys bεllə də ma vi. lə vɑ̃dʁədi il ma disε kɔ̃ fε kεlkə ʃozə ɑ̃sɑ̃blə ɑ̃ fɛ̃ də səmεnə ?
finaləmɑ̃ lə dimɑ̃ʃə lə œ̃n- ɔktɔbʁə ɔ̃n- εt- alez- o sinema. setε ynə dε plys bεllə swaʁe də ma vi. ɔ̃n- a pase tu lə film a sɑ̃bʁase, ʁiʁə, sə ʃyʃɔte dε mo du dɑ̃ lɔʁεjə e il mə dizεsty ε bεllə, ʒə tεmə… ʒə tεməsetε tεllmɑ̃ bo. puʁ ʁətuʁne a la mεzɔ̃ ɔ̃n- a pase paʁz- œ̃ pəti pasaʒə dɑ̃ lə bwa sɔ̃bʁə e ɔ̃ saʁεtε a ʃakə mεtʁə puʁ sɑ̃bʁase. ʒε kɔmɑ̃se a lɑ̃bʁase dɑ̃ lə ku e il a εme sa dɑ̃ lə sɑ̃s dɑ̃ ba lɔl ʒə lε sɑ̃ti kɑ̃t- il ma seʁe dɑ̃ sε bʁa. ɔ̃ sε ɑ̃bʁase ʒə sε pa kɔ̃bjɛ̃ də fwaz- e il mə seʁε tʁε fɔʁ dɑ̃ sε bʁa kɔmə sil nə vulε pa mə lεse paʁtiʁ. sə swaʁ la ʒε y də la mizεʁə a dɔʁmiʁ kaʁ ʒə pɑ̃sε tʁo a lɥi.
lə lɑ̃dəmɛ̃ ɔ̃ sε ʁəvysz- a lekɔlə e kɔmə dabitydə tu sə pasε bjɛ̃. ɔ̃ sεmε ! lə lɑ̃dəmɛ̃ maʁdi lə katʁə ɔktɔbʁə dø milə sɛ̃k il ma lεse. il a mi fɛ̃ a nɔtʁə ʁəlasjɔ̃. il ma di kil εmε mjø kɑ̃t- ɔ̃n- etεz- ami. ʒetε syʁ kil εmεz- ɑ̃kɔʁə sɔ̃n- εks. ʒə lε pʁi dɑ̃ mε bʁaz- ɑ̃ pləʁɑ̃ e il ε paʁtiz- avεk sεz- ami. dø də mεz- ami sɔ̃ vənɥ mə kɔ̃sɔle dɑ̃ lε twalεtə. ʒə tʁɑ̃blε, ʒə vulε maʁaʃe lε ʃəvø, e ʒavε lə mo sɥisidə dɑ̃ la tεtə. lə swaʁ ʒε dəmɑ̃de a lɥi paʁle e il ε vəny. ʒə lɥi ε dəmɑ̃de də sεksplike kaʁ ʒə nə kɔ̃pʁənε pa. il ma di kə tutə lε fwaz- u il ma disʒə tεməil nə lə pɑ̃sε pa ʁeεllmɑ̃ e kil etε tu melɑ̃ʒe dɑ̃ sa tεtə. kεl tʁεtʁə ! setε lə piʁ mɔmɑ̃ də ma vi. ʒə lə ʁəɡaʁdεz- e ʒə mə dizε kə ʒə nə puvε plys ʒamε sɑ̃tiʁ sε lεvʁə- kɔ̃tʁə lε mjεnə, sɔ̃ kɔʁ kɔ̃tʁə lə mjɛ̃, sɑ̃tiʁ sɔ̃n- ɔdœʁ e ɑ̃tɑ̃dʁə sε ʒə tεmə mεmə sil etε fo. ʒə nə puvε plys ʒamεz- εtʁə a lɥi mεmə si setε sə kə ʒə dəziʁε lə plysz- o mɔ̃də ɑ̃ sə mɔmɑ̃ la. il nə mεmε pa.
ɑ̃ sə mɔmɑ̃ u ʒekʁi sa ʒə vεʁsə mε laʁməz- e il nə lε vwa pa, il nε pa la puʁ lεz- esyie. ʒekʁi sε moz- avεk tutə mɔ̃n- amə e ma sɛ̃səʁite. ʒə lə-ε ! ʒə lə-ε ! … ɔ mɔ̃ djø ʒə lεmə ! ʒə nə sε plys ləkεl dε dø, lamuʁ u la-εnə ε lə plys fɔʁ. ɔ̃ di kɑ̃tʁə la-εnə e lamuʁ il ni a kœ̃ səl pa.
ʒε pase dø səmεnəz- a pləʁe. kεlk səmεnə plys taʁ ʒə lε vy ɑ̃bʁase sɔ̃n- εks. il sə sɔ̃ ʁəmiz- e sɔ̃t- ɑ̃kɔʁə ɑ̃sɑ̃blə oʒuʁdɥi. ʒə savε kə sε puʁ sεtə ʁεzɔ̃ kil mavε lεse.
sε dεʁnje tɑ̃ ʒə sɥiz- ynə otʁə, ʒε vy sə kə setε də ʁelmɑ̃ εme də tutə nɔtʁə amə. mε sa ma apʁi dε ʃozə dɑ̃ la vi. ʒə vε tuʒuʁ mə ʁapεlle də vɛ̃sɑ̃, mɔ̃ pʁəmje amuʁ, lə vʁε ! ɑ̃ kεlkə paʁ ʒεspεʁə ɑ̃kɔʁə kil ʁəɡʁεtə sɔ̃ ʃwa e kil mə ʁəvjεnə. kil mεmə mε ʒə mə di kə si vɛ̃sɑ̃ pi anik (sɔ̃ εks) sɔ̃ fε puʁ ale ɑ̃sɑ̃blə ʒə ni pø ʁjɛ̃ sε lə dεstɛ̃. ʒə mə tʁuvəʁε kεlkœ̃ ki mεmə, mə meʁitə e mεmə sɛ̃seʁəmɑ̃. ʒə mi fəʁε pa ʁəpʁɑ̃dʁə dø fwa. sə sɔ̃ dε pətitə ləsɔ̃ də la vi ki mə sεʁviʁɔ̃ e ʁjɛ̃ kə puʁ sa : mεʁsi vɛ̃sɑ̃ ! mεʁsi kaʁ ʒə nə ʁəfəʁε pa la mεmə eʁœʁ dø fwa, ty tε sεʁvi də mwa puʁ ʁɑ̃dʁə ʒaluzə anik. pø tεtʁə kə ty ma εme, sɑ̃z- ɑ̃n- εtʁə kɔ̃sjɑ̃ ʁeεllmɑ̃ mε si ʒamε ty mə ʁəvjɛ̃ ʒə tə diʁε nɔ̃ kaʁ ty a tʁo fε də sikatʁisə ki nə ɡeʁise plys. ʒə vε tuʒuʁ tεme dœ̃ kote mε sɑ̃ ʁəsɑ̃tiʁ də pεnə mε ʒystə mə ʁapεlle lε mεʁvεjø suvəniʁ kɔ̃n- a vekys.
vwala ʒε ekʁiz- avεk mε laʁmə…
kɔkinə
puʁ vu pʁuve kə sa naʁivə pa ka vu…