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Poeme : Renaissance



Renaissance

J’ai souvent, larmes aux yeux, écris,
Seule dans ma chambre sinistre, noire,
Les mots et les cris d’un cœur meurtri,
Perdu parmi les chemins du désespoir.

J’ai souvent recherché dans mes pensées,
Une image de joie, un bout de bonheur,
Mais toujours la même vision me hantait,
Celles qui chantaient la mort, les malheurs.

J’ai souvent imaginé, un monde de paix,
Ou les sourires et le bonheur seraient Roi,
J’ai souvent imaginé, rêvant les yeux fermés,
Un monde de lumière ou la reine serait Moi.

J’ai souvent attendu, qu’emporte le vent,
Les souvenirs du jour ou la mort t’a pris,
J’ai longtemps attendu de renaître au vent,
Jusqu’au jour de printemps ou j’ai repris vie.
Laviedelamort

PostScriptum

Il faut toujours y croire, ne jamais baisser les bras… Avance sans ce retourner, n’oubliez pas que la vie s’appelle : Futur


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Poème en Phonétique

ʒε suvɑ̃, laʁməz- oz- iø, ekʁi,
sələ dɑ̃ ma ʃɑ̃bʁə sinistʁə, nwaʁə,
lε moz- e lε kʁi dœ̃ kœʁ məʁtʁi,
pεʁdy paʁmi lε ʃəmɛ̃ dy dezεspwaʁ.

ʒε suvɑ̃ ʁəʃεʁʃe dɑ̃ mε pɑ̃se,
ynə imaʒə də ʒwa, œ̃ bu də bɔnœʁ,
mε tuʒuʁ la mεmə vizjɔ̃ mə-ɑ̃tε,
sεllə ki ʃɑ̃tε la mɔʁ, lε malœʁ.

ʒε suvɑ̃ imaʒine, œ̃ mɔ̃də də pε,
u lε suʁiʁəz- e lə bɔnœʁ səʁε ʁwa,
ʒε suvɑ̃ imaʒine, ʁεvɑ̃ lεz- iø fεʁme,
œ̃ mɔ̃də də lymjεʁə u la ʁεnə səʁε mwa.

ʒε suvɑ̃ atɑ̃dy, kɑ̃pɔʁtə lə vɑ̃,
lε suvəniʁ dy ʒuʁ u la mɔʁ ta pʁi,
ʒε lɔ̃tɑ̃z- atɑ̃dy də ʁənεtʁə o vɑ̃,
ʒysko ʒuʁ də pʁɛ̃tɑ̃z- u ʒε ʁəpʁi vi.