Poeme : Le Ciel Et La Mer
Le Ciel Et La Mer
Ils étaient assis, dans les yeux, à se regarder
Elle avait les yeux d’un ciel bleu, qui scintillaient
Lui avait les yeux d’un vert de mer, un peu foncé
L’horizon les séparait
Puis doucement, les vagues commencèrent à s’agiter
Le ciel aussi s’y mettait
De grandes vagues, vers le ciel montaient
Le ciel, les caressait
Le ciel et la mer, dans un tourbillon, dansaient
Dans une valse, les deux enlacés
Nos humains ne pouvaient plus respirer
Ils étaient comme deux noyers
Leurs cœurs, très fort battaient
Ils n’avaient plus d’air, bientôt étouffés
Leurs soupirs étaient à une cadence de damnés
Puis la tempête c’est calmé
Nos humains virent Venus et Neptune, dans un dernier baiser
L’horizon lui avait séparé
Nos humains restèrent sans bouger
Dans les yeux, à se regarder
Elle avait les yeux d’un ciel bleu, qui scintillaient
Lui avait les yeux d’un vert de mer, un peu foncé
L’horizon les séparait
Puis doucement, les vagues commencèrent à s’agiter
Le ciel aussi s’y mettait
De grandes vagues, vers le ciel montaient
Le ciel, les caressait
Le ciel et la mer, dans un tourbillon, dansaient
Dans une valse, les deux enlacés
Nos humains ne pouvaient plus respirer
Ils étaient comme deux noyers
Leurs cœurs, très fort battaient
Ils n’avaient plus d’air, bientôt étouffés
Leurs soupirs étaient à une cadence de damnés
Puis la tempête c’est calmé
Nos humains virent Venus et Neptune, dans un dernier baiser
L’horizon lui avait séparé
Nos humains restèrent sans bouger
Dans les yeux, à se regarder
Lesage211
PostScriptum
Neptune vous demande :
Vous les humains êtes vous capable de ressentir
de si forts sentiments ! ! ! ! ! ! !
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Poème en Phonétique
ilz- etε asi, dɑ̃ lεz- iø, a sə ʁəɡaʁde
εllə avε lεz- iø dœ̃ sjεl blø, ki sɛ̃tijε
lɥi avε lεz- iø dœ̃ vεʁ də mεʁ, œ̃ pø fɔ̃se
lɔʁizɔ̃ lε sepaʁε
pɥi dusəmɑ̃, lε vaɡ kɔmɑ̃sεʁe a saʒite
lə sjεl osi si mεtε
də ɡʁɑ̃də vaɡ, vεʁ lə sjεl mɔ̃tε
lə sjεl, lε kaʁesε
lə sjεl e la mεʁ, dɑ̃z- œ̃ tuʁbijɔ̃, dɑ̃sε
dɑ̃z- ynə valsə, lε døz- ɑ̃lase
no ymɛ̃ nə puvε plys ʁεspiʁe
ilz- etε kɔmə dø nwaje
lœʁ kœʁ, tʁε fɔʁ batε
il navε plys dεʁ, bjɛ̃to etufe
lœʁ supiʁz- etε a ynə kadɑ̃sə də damne
pɥi la tɑ̃pεtə sε kalme
no ymɛ̃ viʁe vənysz- e nεptynə, dɑ̃z- œ̃ dεʁnje bεze
lɔʁizɔ̃ lɥi avε sepaʁe
no ymɛ̃ ʁεstεʁe sɑ̃ buʒe
dɑ̃ lεz- iø, a sə ʁəɡaʁde
εllə avε lεz- iø dœ̃ sjεl blø, ki sɛ̃tijε
lɥi avε lεz- iø dœ̃ vεʁ də mεʁ, œ̃ pø fɔ̃se
lɔʁizɔ̃ lε sepaʁε
pɥi dusəmɑ̃, lε vaɡ kɔmɑ̃sεʁe a saʒite
lə sjεl osi si mεtε
də ɡʁɑ̃də vaɡ, vεʁ lə sjεl mɔ̃tε
lə sjεl, lε kaʁesε
lə sjεl e la mεʁ, dɑ̃z- œ̃ tuʁbijɔ̃, dɑ̃sε
dɑ̃z- ynə valsə, lε døz- ɑ̃lase
no ymɛ̃ nə puvε plys ʁεspiʁe
ilz- etε kɔmə dø nwaje
lœʁ kœʁ, tʁε fɔʁ batε
il navε plys dεʁ, bjɛ̃to etufe
lœʁ supiʁz- etε a ynə kadɑ̃sə də damne
pɥi la tɑ̃pεtə sε kalme
no ymɛ̃ viʁe vənysz- e nεptynə, dɑ̃z- œ̃ dεʁnje bεze
lɔʁizɔ̃ lɥi avε sepaʁe
no ymɛ̃ ʁεstεʁe sɑ̃ buʒe
dɑ̃ lεz- iø, a sə ʁəɡaʁde