Poeme : Une Hirondelle

Baiser de fièvre.
D’un soleil sur tes lèvres.
Mon regard scintille.
Mon cœur s’élève.

J’enlacerait ta peau.
D’un jolie ramage.
Advint mon oiseau,
Je deviendrai ton plumage.

On partiras au déclin d’une rose.
Tel un voyageur ailé,
On deviendra hirondelle
Et au déploiement de nos ailes.
On partira, s’enivrer d’un baiser du soleil.
Deux oiseaux bénit au cœur volage.
Voguant, vers un amour passionnel.
Charmé par la douce mélopée, de ces oiseaux fidèles.

bεze də fjεvʁə.
dœ̃ sɔlεj syʁ tε lεvʁə.
mɔ̃ ʁəɡaʁ sɛ̃tijə.
mɔ̃ kœʁ selεvə.

ʒɑ̃lasəʁε ta po.
dœ̃ ʒɔli ʁamaʒə.
advɛ̃ mɔ̃n- wazo,
ʒə dəvjɛ̃dʁε tɔ̃ plymaʒə.

ɔ̃ paʁtiʁaz- o deklɛ̃ dynə ʁozə.
tεl œ̃ vwajaʒœʁ εle,
ɔ̃ dəvjɛ̃dʁa iʁɔ̃dεllə
e o deplwaəmɑ̃ də noz- εlə.
ɔ̃ paʁtiʁa, sɑ̃nivʁe dœ̃ bεze dy sɔlεj.
døz- wazo beni o kœʁ vɔlaʒə.
vɔɡɑ̃, vεʁz- œ̃n- amuʁ pasjɔnεl.
ʃaʁme paʁ la dusə melɔpe, də sεz- wazo fidεlə.