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Poeme : La Mer



La Mer

Au profond de ses yeux, je distingue la mer
Un regard malheureux, berçant dans l’univers
Les vagues de son âme, l’océan de ses pleures,
Se fracassent sur les grands rivages de mon cœur.

Je me suis en allée, il y a bien longtemps,
Sur les plages, a la couleur argent.
Je n’aurais cru sentir l’air de l’éternité,
En marchant, la douceur du sable sous mes pieds.

D’entendre aux son des vagues la douleur de l’âme…

A l’horizon se couche un soleil rougeoiant
Que le chant des baleines appaise depuis longtemps.
Il reviendra bientôt, dans un silence profond,
Tout les deux enlacés a en perdre la raison.

Il sera auprès de lui durant une journée
Pour que quand la nuit vienne, leur deux âmes présentées,
Soient emportées par l’immence vague de l’océan,
Dans un gouffre noir parsemé de feux ardents.

S’aimer aux sons des vagues, la douleur à l’âme…
Luniva

PostScriptum

la mer. . . pour moi un gouffre de souvenir. . . d’où la conparaison avec un être qui m’est très cher. . .


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Poème en Phonétique

o pʁɔfɔ̃ də sεz- iø, ʒə distɛ̃ɡ la mεʁ
œ̃ ʁəɡaʁ maləʁø, bεʁsɑ̃ dɑ̃ lynive
lε vaɡ də sɔ̃n- amə, lɔseɑ̃ də sε plœʁə,
sə fʁakase syʁ lε ɡʁɑ̃ ʁivaʒə də mɔ̃ kœʁ.

ʒə mə sɥiz- ɑ̃n- ale, il i a bjɛ̃ lɔ̃tɑ̃,
syʁ lε plaʒə, a la kulœʁ aʁʒe.
ʒə noʁε kʁy sɑ̃tiʁ lεʁ də letεʁnite,
ɑ̃ maʁʃɑ̃, la dusœʁ dy sablə su mε pje.

dɑ̃tɑ̃dʁə o sɔ̃ dε vaɡ la dulœʁ də lamə…

a lɔʁizɔ̃ sə kuʃə œ̃ sɔlεj ʁuʒwaɑ̃
kə lə ʃɑ̃ dε balεnəz- apεzə dəpɥi lɔ̃tɑ̃.
il ʁəvjɛ̃dʁa bjɛ̃to, dɑ̃z- œ̃ silɑ̃sə pʁɔfɔ̃,
tu lε døz- ɑ̃lasez- a ɑ̃ pεʁdʁə la ʁεzɔ̃.

il səʁa opʁε də lɥi dyʁɑ̃ ynə ʒuʁne
puʁ kə kɑ̃ la nɥi vjεnə, lœʁ døz- amə pʁezɑ̃te,
swae ɑ̃pɔʁte paʁ limɑ̃sə vaɡ də lɔseɑ̃,
dɑ̃z- œ̃ ɡufʁə nwaʁ paʁsəme də føz- aʁdɑ̃.

sεme o sɔ̃ dε vaɡ, la dulœʁ a lamə…