Poeme : Lumière Des Nuits !
Lumière Des Nuits !
Mais Dieu ! Que se passe-t-Il ?
Plus de Lumière dans la Belle Ville !
On entend là un Chant de Désespoir.
Approchez-Vous ! On pleure près d’un Square…
Un étrange Cortège, en Rond, se tient la Main :
Pierrots, Poètes, Chats Noirs et Pantins !
Des Ames inconnues sont venues de si Loin
Pour soutenir la Ville dans son Chagrin !
On s’interroge. On cherche. On veut savoir… !
On apprend, étonné : « Dame, Elle n’est plus ce Soir… ! »
Mais dites vite ! Qui donc ? Pourquoi ce Rassemblement ?
« Ah ! Si Vous saviez ! Nous ne sommes plus Rien, maintenant ! »
« Nos Amis Pierrots allaient gaiement dîner.
Nos Pantins danser, Poètes écrire et rêver.
Tant qu’aux Chats, dans les Ruelles se faufiler
Quand tout à coup, Nous la trouvâmes… cassée !
Oui ! Cassée ! Brisée ! Notre si Belle Lune !
Notre Ange des Nuits, notre Dentelle de Fortune !
Nos Etoiles en ont perdu leur Brillance
Et Nous, sommes Seuls dans notre Souffrance ! »
Un Silence se fit. La Ville est voilée de Noir !
Oh ! mais voici un Lutin ! Magie : une Fée apporte l’Espoir !
On s’active alors, dans les Quartiers, les Boulevards.
Des Murmures s’élèvent dans un joyeux Tintamarre.
Puis des Mains d’Enfants dessinent avec Ardeur
Une Grande LUNE et en son Sein, un Joli Cœur
Qui se met à Battre ! Si ! J’assure ! Avec Frénésie !
Et Tous, s’agenouillent en criant : Mille MERCIS !
Pantins et Pierrots hissent l’Echelle dans le Ciel.
On accroche la « Belle » ! De son Sourire de Miel
Elle illumine toute la Ville. Cela étincèle sans pareil !
Joies ! Dame Lune vit, brille… Quelle Merveille !
La Ville-Lumière retrouva son Charme d’Antan,
Et naquit un Lac ! La Lune s’y mirait longuement.
Toutes les Nuits, en Lieu et Place du Petit Square,
Se retrouvèrent Pierrots, Poètes, Pantins et Chats Noirs !
( (A Jef ! Avec ma Gratitude - 2007) )
Plus de Lumière dans la Belle Ville !
On entend là un Chant de Désespoir.
Approchez-Vous ! On pleure près d’un Square…
Un étrange Cortège, en Rond, se tient la Main :
Pierrots, Poètes, Chats Noirs et Pantins !
Des Ames inconnues sont venues de si Loin
Pour soutenir la Ville dans son Chagrin !
On s’interroge. On cherche. On veut savoir… !
On apprend, étonné : « Dame, Elle n’est plus ce Soir… ! »
Mais dites vite ! Qui donc ? Pourquoi ce Rassemblement ?
« Ah ! Si Vous saviez ! Nous ne sommes plus Rien, maintenant ! »
« Nos Amis Pierrots allaient gaiement dîner.
Nos Pantins danser, Poètes écrire et rêver.
Tant qu’aux Chats, dans les Ruelles se faufiler
Quand tout à coup, Nous la trouvâmes… cassée !
Oui ! Cassée ! Brisée ! Notre si Belle Lune !
Notre Ange des Nuits, notre Dentelle de Fortune !
Nos Etoiles en ont perdu leur Brillance
Et Nous, sommes Seuls dans notre Souffrance ! »
Un Silence se fit. La Ville est voilée de Noir !
Oh ! mais voici un Lutin ! Magie : une Fée apporte l’Espoir !
On s’active alors, dans les Quartiers, les Boulevards.
Des Murmures s’élèvent dans un joyeux Tintamarre.
Puis des Mains d’Enfants dessinent avec Ardeur
Une Grande LUNE et en son Sein, un Joli Cœur
Qui se met à Battre ! Si ! J’assure ! Avec Frénésie !
Et Tous, s’agenouillent en criant : Mille MERCIS !
Pantins et Pierrots hissent l’Echelle dans le Ciel.
On accroche la « Belle » ! De son Sourire de Miel
Elle illumine toute la Ville. Cela étincèle sans pareil !
Joies ! Dame Lune vit, brille… Quelle Merveille !
La Ville-Lumière retrouva son Charme d’Antan,
Et naquit un Lac ! La Lune s’y mirait longuement.
Toutes les Nuits, en Lieu et Place du Petit Square,
Se retrouvèrent Pierrots, Poètes, Pantins et Chats Noirs !
( (A Jef ! Avec ma Gratitude - 2007) )
Lyse-Claire
PostScriptum
Un poète rencontré sur un Site où j’étais avant, m’avait fait connaitre par voie mail des musiques. . et un Jour, j’ai écouté une qu’il aimait bien des Frères Jacques ! cette Chanson m’a inspiré cette Histoire et de faire Hommage en même Temps à la Ville Lumière de ce Poète : Lyon !
Bonne Lecture à Vous, Chers Amis !
Lyse.
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Poème en Phonétique
mε djø ! kə sə pasə til ?
plys də lymjεʁə dɑ̃ la bεllə vilə !
ɔ̃n- ɑ̃tɑ̃ la œ̃ ʃɑ̃ də dezεspwaʁ.
apʁoʃe vu ! ɔ̃ plœʁə pʁε dœ̃ skaʁə…
œ̃n- etʁɑ̃ʒə kɔʁtεʒə, ɑ̃ ʁɔ̃, sə tjɛ̃ la mɛ̃ :
pjeʁo, pɔεtə, ʃa nwaʁz- e pɑ̃tɛ̃ !
dεz- aməz- ɛ̃kɔnɥ sɔ̃ vənɥ də si lwɛ̃
puʁ sutəniʁ la vilə dɑ̃ sɔ̃ ʃaɡʁɛ̃ !
ɔ̃ sɛ̃teʁɔʒə. ɔ̃ ʃεʁʃə. ɔ̃ vø savwaʁ… !
ɔ̃n- apʁɑ̃, etɔne : « damə, εllə nε plys sə swaʁ… ! »
mε ditə vitə ! ki dɔ̃k ? puʁkwa sə ʁasɑ̃bləmɑ̃ ?
« a ! si vu savje ! nu nə sɔmə plys ʁjɛ̃, mɛ̃tənɑ̃ ! »
« nos ami pjeʁoz- alε ɡεmɑ̃ dine.
no pɑ̃tɛ̃ dɑ̃se, pɔεtəz- ekʁiʁə e ʁεve.
tɑ̃ ko ʃa, dɑ̃ lε ʁyεllə sə fofile
kɑ̃ tut- a ku, nu la tʁuvamə… kase !
ui ! kase ! bʁize ! nɔtʁə si bεllə lynə !
nɔtʁə ɑ̃ʒə dε nɥi, nɔtʁə dɑ̃tεllə də fɔʁtynə !
noz- ətwaləz- ɑ̃n- ɔ̃ pεʁdy lœʁ bʁijɑ̃sə
e nu, sɔmə səl dɑ̃ nɔtʁə sufʁɑ̃sə ! »
œ̃ silɑ̃sə sə fi. la vilə ε vwale də nwaʁ !
ɔ ! mε vwasi œ̃ lytɛ̃ ! maʒi : ynə fe apɔʁtə lεspwaʁ !
ɔ̃ saktivə alɔʁ, dɑ̃ lε kaʁtje, lε buləvaʁd.
dε myʁmyʁə selεve dɑ̃z- œ̃ ʒwajø tɛ̃tamaʁə.
pɥi dε mɛ̃ dɑ̃fɑ̃ desine avεk aʁdœʁ
ynə ɡʁɑ̃də lynə e ɑ̃ sɔ̃ sɛ̃, œ̃ ʒɔli kœʁ
ki sə mεt a batʁə ! si ! ʒasyʁə ! avεk fʁenezi !
e tus, saʒənuje ɑ̃ kʁjɑ̃ : milə mεʁsi !
pɑ̃tɛ̃z- e pjeʁoz- ise lεʃεllə dɑ̃ lə sjεl.
ɔ̃n- akʁoʃə la « bεllə » ! də sɔ̃ suʁiʁə də mjεl
εllə ilyminə tutə la vilə. səla etɛ̃sεlə sɑ̃ paʁεj !
ʒwa ! damə lynə vit, bʁijə… kεllə mεʁvεjə !
la vilə lymjεʁə ʁətʁuva sɔ̃ ʃaʁmə dɑ̃tɑ̃,
e naki œ̃ lak ! la lynə si miʁε lɔ̃ɡəmɑ̃.
tutə lε nɥi, ɑ̃ ljø e plasə dy pəti skaʁə,
sə ʁətʁuvεʁe pjeʁo, pɔεtə, pɑ̃tɛ̃z- e ʃa nwaʁ !
( (a ʒεf ! avεk ma ɡʁatitydə dø milə sεpt) )
plys də lymjεʁə dɑ̃ la bεllə vilə !
ɔ̃n- ɑ̃tɑ̃ la œ̃ ʃɑ̃ də dezεspwaʁ.
apʁoʃe vu ! ɔ̃ plœʁə pʁε dœ̃ skaʁə…
œ̃n- etʁɑ̃ʒə kɔʁtεʒə, ɑ̃ ʁɔ̃, sə tjɛ̃ la mɛ̃ :
pjeʁo, pɔεtə, ʃa nwaʁz- e pɑ̃tɛ̃ !
dεz- aməz- ɛ̃kɔnɥ sɔ̃ vənɥ də si lwɛ̃
puʁ sutəniʁ la vilə dɑ̃ sɔ̃ ʃaɡʁɛ̃ !
ɔ̃ sɛ̃teʁɔʒə. ɔ̃ ʃεʁʃə. ɔ̃ vø savwaʁ… !
ɔ̃n- apʁɑ̃, etɔne : « damə, εllə nε plys sə swaʁ… ! »
mε ditə vitə ! ki dɔ̃k ? puʁkwa sə ʁasɑ̃bləmɑ̃ ?
« a ! si vu savje ! nu nə sɔmə plys ʁjɛ̃, mɛ̃tənɑ̃ ! »
« nos ami pjeʁoz- alε ɡεmɑ̃ dine.
no pɑ̃tɛ̃ dɑ̃se, pɔεtəz- ekʁiʁə e ʁεve.
tɑ̃ ko ʃa, dɑ̃ lε ʁyεllə sə fofile
kɑ̃ tut- a ku, nu la tʁuvamə… kase !
ui ! kase ! bʁize ! nɔtʁə si bεllə lynə !
nɔtʁə ɑ̃ʒə dε nɥi, nɔtʁə dɑ̃tεllə də fɔʁtynə !
noz- ətwaləz- ɑ̃n- ɔ̃ pεʁdy lœʁ bʁijɑ̃sə
e nu, sɔmə səl dɑ̃ nɔtʁə sufʁɑ̃sə ! »
œ̃ silɑ̃sə sə fi. la vilə ε vwale də nwaʁ !
ɔ ! mε vwasi œ̃ lytɛ̃ ! maʒi : ynə fe apɔʁtə lεspwaʁ !
ɔ̃ saktivə alɔʁ, dɑ̃ lε kaʁtje, lε buləvaʁd.
dε myʁmyʁə selεve dɑ̃z- œ̃ ʒwajø tɛ̃tamaʁə.
pɥi dε mɛ̃ dɑ̃fɑ̃ desine avεk aʁdœʁ
ynə ɡʁɑ̃də lynə e ɑ̃ sɔ̃ sɛ̃, œ̃ ʒɔli kœʁ
ki sə mεt a batʁə ! si ! ʒasyʁə ! avεk fʁenezi !
e tus, saʒənuje ɑ̃ kʁjɑ̃ : milə mεʁsi !
pɑ̃tɛ̃z- e pjeʁoz- ise lεʃεllə dɑ̃ lə sjεl.
ɔ̃n- akʁoʃə la « bεllə » ! də sɔ̃ suʁiʁə də mjεl
εllə ilyminə tutə la vilə. səla etɛ̃sεlə sɑ̃ paʁεj !
ʒwa ! damə lynə vit, bʁijə… kεllə mεʁvεjə !
la vilə lymjεʁə ʁətʁuva sɔ̃ ʃaʁmə dɑ̃tɑ̃,
e naki œ̃ lak ! la lynə si miʁε lɔ̃ɡəmɑ̃.
tutə lε nɥi, ɑ̃ ljø e plasə dy pəti skaʁə,
sə ʁətʁuvεʁe pjeʁo, pɔεtə, pɑ̃tɛ̃z- e ʃa nwaʁ !
( (a ʒεf ! avεk ma ɡʁatitydə dø milə sεpt) )