Poeme : Les Roses
Les Roses
Lorsque les roses fleuriront mon amour ;
Je me résignerai à t’avouer ;
L’amour qui peupla ces jours ;
Je cesserai d’espérer.
Lorsque les roses seront fanées ;
Je ne penserai plus à toi ;
Je m’efforcerai d’être lassée ;
De ces idées sans loi.
Lorsqu’elles seront tombées ;
Au cimetière de l’amour, mes sentiments ;
Six pieds sous terre seront laissés ;
Et ta voix que j’entends.
Les roses ont fleuri mon amour ;
Mais rien n’est effacé ;
Mon esprit chante toujours ;
Les désirs inavoués.
Les roses se sont fanées ;
Je ne puis raisonner ;
Mes pensées entêtées ;
Qui ne peuvent s’entretuer ;
Les roses sont tombées mon amour ;
J’ai brûlé la pelle et n’ai point creusé ;
Vois-tu je t’aime toujours ;
Le temps n’a rien élagué.
Les rosiers du jardin ;
Dépouillés rient de moi ;
De ces histoires sans fin ;
Qui vivent sans foi ni loi.
Face à la Lune je rie ;
Avec eux je chante la stupidité ;
De ces détours d’une vie ;
Envies désabusées.
Je me résignerai à t’avouer ;
L’amour qui peupla ces jours ;
Je cesserai d’espérer.
Lorsque les roses seront fanées ;
Je ne penserai plus à toi ;
Je m’efforcerai d’être lassée ;
De ces idées sans loi.
Lorsqu’elles seront tombées ;
Au cimetière de l’amour, mes sentiments ;
Six pieds sous terre seront laissés ;
Et ta voix que j’entends.
Les roses ont fleuri mon amour ;
Mais rien n’est effacé ;
Mon esprit chante toujours ;
Les désirs inavoués.
Les roses se sont fanées ;
Je ne puis raisonner ;
Mes pensées entêtées ;
Qui ne peuvent s’entretuer ;
Les roses sont tombées mon amour ;
J’ai brûlé la pelle et n’ai point creusé ;
Vois-tu je t’aime toujours ;
Le temps n’a rien élagué.
Les rosiers du jardin ;
Dépouillés rient de moi ;
De ces histoires sans fin ;
Qui vivent sans foi ni loi.
Face à la Lune je rie ;
Avec eux je chante la stupidité ;
De ces détours d’une vie ;
Envies désabusées.
Madgirl
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Poème en Phonétique
lɔʁskə lε ʁozə fləʁiʁɔ̃ mɔ̃n- amuʁ,
ʒə mə ʁeziɲəʁε a tavue,
lamuʁ ki pəpla sε ʒuʁ,
ʒə sesəʁε dεspeʁe.
lɔʁskə lε ʁozə səʁɔ̃ fane,
ʒə nə pɑ̃səʁε plysz- a twa,
ʒə mefɔʁsəʁε dεtʁə lase,
də sεz- ide sɑ̃ lwa.
lɔʁskεllə səʁɔ̃ tɔ̃be,
o simətjεʁə də lamuʁ, mε sɑ̃timɑ̃,
si- pje su teʁə səʁɔ̃ lεse,
e ta vwa kə ʒɑ̃tɑ̃.
lε ʁozəz- ɔ̃ fləʁi mɔ̃n- amuʁ,
mε ʁjɛ̃ nεt- efase,
mɔ̃n- εspʁi ʃɑ̃tə tuʒuʁ,
lε deziʁz- inavue.
lε ʁozə sə sɔ̃ fane,
ʒə nə pɥi ʁεzɔne,
mε pɑ̃sez- ɑ̃tεte,
ki nə pəve sɑ̃tʁətɥe,
lε ʁozə sɔ̃ tɔ̃be mɔ̃n- amuʁ,
ʒε bʁyle la pεllə e nε pwɛ̃ kʁøze,
vwa ty ʒə tεmə tuʒuʁ,
lə tɑ̃ na ʁjɛ̃ elaɡe.
lε ʁozje dy ʒaʁdɛ̃,
depuje ʁje də mwa,
də sεz- istwaʁə sɑ̃ fɛ̃,
ki vive sɑ̃ fwa ni lwa.
fasə a la lynə ʒə ʁi,
avεk ø ʒə ʃɑ̃tə la stypidite,
də sε detuʁ dynə vi,
ɑ̃vi dezabyze.
ʒə mə ʁeziɲəʁε a tavue,
lamuʁ ki pəpla sε ʒuʁ,
ʒə sesəʁε dεspeʁe.
lɔʁskə lε ʁozə səʁɔ̃ fane,
ʒə nə pɑ̃səʁε plysz- a twa,
ʒə mefɔʁsəʁε dεtʁə lase,
də sεz- ide sɑ̃ lwa.
lɔʁskεllə səʁɔ̃ tɔ̃be,
o simətjεʁə də lamuʁ, mε sɑ̃timɑ̃,
si- pje su teʁə səʁɔ̃ lεse,
e ta vwa kə ʒɑ̃tɑ̃.
lε ʁozəz- ɔ̃ fləʁi mɔ̃n- amuʁ,
mε ʁjɛ̃ nεt- efase,
mɔ̃n- εspʁi ʃɑ̃tə tuʒuʁ,
lε deziʁz- inavue.
lε ʁozə sə sɔ̃ fane,
ʒə nə pɥi ʁεzɔne,
mε pɑ̃sez- ɑ̃tεte,
ki nə pəve sɑ̃tʁətɥe,
lε ʁozə sɔ̃ tɔ̃be mɔ̃n- amuʁ,
ʒε bʁyle la pεllə e nε pwɛ̃ kʁøze,
vwa ty ʒə tεmə tuʒuʁ,
lə tɑ̃ na ʁjɛ̃ elaɡe.
lε ʁozje dy ʒaʁdɛ̃,
depuje ʁje də mwa,
də sεz- istwaʁə sɑ̃ fɛ̃,
ki vive sɑ̃ fwa ni lwa.
fasə a la lynə ʒə ʁi,
avεk ø ʒə ʃɑ̃tə la stypidite,
də sε detuʁ dynə vi,
ɑ̃vi dezabyze.