Poeme : Aube
Aube
Lumière. Les estaminets s’ouvrent à la rue du matin.
Les murmures d’arbres
S’évaporent, Je marche
Sur les pavés illuminés, au chant
Noyé.
Lumière. La nuit s’enfuit par les branches de la ville :
-Les toits, balcons, gouttières,
Les câbles et clochers, l’haleine des bosquets
-Et les poteaux électriques
Flottent dans le matin.
Les vapeurs de la rue s’éveillent ;
-Les gens partent
Vers leur quotidien. L’aube
Accompagne ces pensées
Endormies ; –Baume interdit. Lumière.
Les murmures d’arbres
S’évaporent, Je marche
Sur les pavés illuminés, au chant
Noyé.
Lumière. La nuit s’enfuit par les branches de la ville :
-Les toits, balcons, gouttières,
Les câbles et clochers, l’haleine des bosquets
-Et les poteaux électriques
Flottent dans le matin.
Les vapeurs de la rue s’éveillent ;
-Les gens partent
Vers leur quotidien. L’aube
Accompagne ces pensées
Endormies ; –Baume interdit. Lumière.
Mais Où Marche Lâme
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Poème en Phonétique
lymjεʁə. lεz- εstaminε suvʁe a la ʁy dy matɛ̃.
lε myʁmyʁə daʁbʁə
sevapɔʁe, ʒə maʁʃə
syʁ lε pavez- ilymine, o ʃɑ̃
nwaje.
lymjεʁə. la nɥi sɑ̃fɥi paʁ lε bʁɑ̃ʃə də la vilə :
lε twa, balkɔ̃, ɡutjεʁə,
lε kabləz- e kloʃe, lalεnə dε bɔskε
e lε pɔtoz- elεktʁik
flɔte dɑ̃ lə matɛ̃.
lε vapœʁ də la ʁy sevεje,
lε ʒɑ̃ paʁte
vεʁ lœʁ kɔtidjɛ̃. lobə
akɔ̃paɲə sε pɑ̃se
ɑ̃dɔʁmi, bomə ɛ̃tεʁdi. lymjεʁə.
lε myʁmyʁə daʁbʁə
sevapɔʁe, ʒə maʁʃə
syʁ lε pavez- ilymine, o ʃɑ̃
nwaje.
lymjεʁə. la nɥi sɑ̃fɥi paʁ lε bʁɑ̃ʃə də la vilə :
lε twa, balkɔ̃, ɡutjεʁə,
lε kabləz- e kloʃe, lalεnə dε bɔskε
e lε pɔtoz- elεktʁik
flɔte dɑ̃ lə matɛ̃.
lε vapœʁ də la ʁy sevεje,
lε ʒɑ̃ paʁte
vεʁ lœʁ kɔtidjɛ̃. lobə
akɔ̃paɲə sε pɑ̃se
ɑ̃dɔʁmi, bomə ɛ̃tεʁdi. lymjεʁə.