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Poeme : Ils Étaient Des Hommes



Ils Étaient Des Hommes

Ils étaient des hommes
Boulangers, médecins, artisants…
ILs vivaient heureux, jusqu’a l’arrivé d’un homme
Qui avair décider de les exterminer
Parse qu’ils étaient juifs.

Ils étaient entasser par centaines
Dans dés wagons à bestiaux
Durant des jours et des nuits
Sans nouriture ni eau.

Ils étaient des hommes
Boulangers, médecins, artisants…
ILs vivaient heureux, jusqu’a l’arrivé d’un homme
Qui avair décider de les exterminer
Parse qu’ils étaient juifs.

Arrivés dans les camps de concentrations
Acueillis par les chiens policier,
Les femmes, les enfants et les innapte au travaille
Etaient emmenés dans les chambres à gaz
Les hommes, eux, aler servir à la main d’oeuvre.

Ils étaient des hommes
Boulangers, médecins, artisants…
ILs vivaient heureux, jusqu’a l’arrivé d’un homme
Qui avair décider de les exterminer
Parse qu’ils étaient juifs.

Certain on survécu à cette horreure
D’otres sont mort, d’épuisement, de fain ou de maladie.
Ceux qui sont revenus serons marqué a vie
Physiquement et mentalement.

Ils étaient des hommes
Boulangers, médecins, artisants…
ILs vivaient heureux, jusqu’a l’arrivé d’un homme
Qui avair décider de les exterminer
Parse qu’ils étaient juifs.

Moi qui n’est pas vécue ça
J’ai du mal à imaginer
Que les hommes on peut être si cruel.

Ils étaient des hommes
Boulangers, médecins, artisants…
ILs vivaient heureux, jusqu’a l’arrivé d’un homme
Qui avair décider de les exterminer
Parse qu’ils étaient juifs.
Mar De La Vie

PostScriptum

Auq milliers de juif qui ne pouron jaimai oublié ceux kil c passer


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Poème en Phonétique

ilz- etε dεz- ɔmə
bulɑ̃ʒe, medəsɛ̃, aʁtizɑ̃…
il vivε œʁø, ʒyska laʁive dœ̃n- ɔmə
ki avεʁ deside də lεz- εkstεʁmine
paʁsə kilz- etε ʒɥif.

ilz- etε ɑ̃tase paʁ sɑ̃tεnə
dɑ̃ des waɡɔ̃z- a bεstjo
dyʁɑ̃ dε ʒuʁz- e dε nɥi
sɑ̃ nuʁityʁə ni o.

ilz- etε dεz- ɔmə
bulɑ̃ʒe, medəsɛ̃, aʁtizɑ̃…
il vivε œʁø, ʒyska laʁive dœ̃n- ɔmə
ki avεʁ deside də lεz- εkstεʁmine
paʁsə kilz- etε ʒɥif.

aʁive dɑ̃ lε kɑ̃ də kɔ̃sɑ̃tʁasjɔ̃
akœji paʁ lε ʃjɛ̃ pɔlisje,
lε famə, lεz- ɑ̃fɑ̃z- e lεz- inaptə o tʁavajə
ətε aməne dɑ̃ lε ʃɑ̃bʁəz- a ɡaz
lεz- ɔmə, ø, ale sεʁviʁ a la mɛ̃ dœvʁə.

ilz- etε dεz- ɔmə
bulɑ̃ʒe, medəsɛ̃, aʁtizɑ̃…
il vivε œʁø, ʒyska laʁive dœ̃n- ɔmə
ki avεʁ deside də lεz- εkstεʁmine
paʁsə kilz- etε ʒɥif.

sεʁtɛ̃ ɔ̃ syʁveky a sεtə ɔʁəʁə
dɔtʁə- sɔ̃ mɔʁ, depɥizəmɑ̃, də fɛ̃ u də maladi.
sø ki sɔ̃ ʁəvənys səʁɔ̃ maʁke a vi
fizikəmɑ̃ e mɑ̃taləmɑ̃.

ilz- etε dεz- ɔmə
bulɑ̃ʒe, medəsɛ̃, aʁtizɑ̃…
il vivε œʁø, ʒyska laʁive dœ̃n- ɔmə
ki avεʁ deside də lεz- εkstεʁmine
paʁsə kilz- etε ʒɥif.

mwa ki nε pa vekɥ sa
ʒε dy mal a imaʒine
kə lεz- ɔməz- ɔ̃ pø εtʁə si kʁyεl.

ilz- etε dεz- ɔmə
bulɑ̃ʒe, medəsɛ̃, aʁtizɑ̃…
il vivε œʁø, ʒyska laʁive dœ̃n- ɔmə
ki avεʁ deside də lεz- εkstεʁmine
paʁsə kilz- etε ʒɥif.