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Texte : Nostalgie De Jours Heureux



Nostalgie De Jours Heureux

J’étais là, là à l’admirer, là à la dévisager.
Elle m’illuminait,
Tant par sa douceur que sa jovialité,
Tant par ses rires timides que sa beauté.

Elle s’ennuyait,

Derrière ses rires se cachait,
Haine, dégoûts, férocité.

Elle partit, alors j’eus le cœur brisé
comme elle dut en briser tant d’autres,
Elle déesse de la beauté.

Tout s’enchaîne, tout se bouleverse.

Tableau en lambeau, tout est confus,
Les couleurs ne se mélangent plus,
Le noir fait surface et ne part plus.
Maraim

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Poème en Phonétique

ʒetε la, la a ladmiʁe, la a la devizaʒe.
εllə milyminε,
tɑ̃ paʁ sa dusœʁ kə sa ʒɔvjalite,
tɑ̃ paʁ sε ʁiʁə timidə kə sa bote.

εllə sɑ̃nyiε,

dəʁjεʁə sε ʁiʁə sə kaʃε,
εnə, deɡu, feʁɔsite.

εllə paʁti, alɔʁ ʒy lə kœʁ bʁize
kɔmə εllə dy ɑ̃ bʁize tɑ̃ dotʁə,
εllə deεsə də la bote.

tu sɑ̃ʃεnə, tu sə buləvεʁsə.

tablo ɑ̃ lɑ̃bo, tut- ε kɔ̃fy,
lε kulœʁ nə sə melɑ̃ʒe plys,
lə nwaʁ fε syʁfasə e nə paʁ plys.