Poeme : Sullivan
Sullivan
Sous le ciel d’orient, j’emporte ton image,
Un amour éternel en un moment conçu.
Là j’ai retrouvé et l’espoir et l’amour,
Les parfums de la fleur et ceux de l’encensoir.
Il n’est plus de nuits, il n’est plus de jours
Vague objet de mes voeux, où je m’élance jusqu’a toi,
Ailleurs, bien loin d’ici. Trop tard ! jamais peut etre !
Ne te reverrai-je aussi beau ?
Un amour éternel en un moment conçu.
Là j’ai retrouvé et l’espoir et l’amour,
Les parfums de la fleur et ceux de l’encensoir.
Il n’est plus de nuits, il n’est plus de jours
Vague objet de mes voeux, où je m’élance jusqu’a toi,
Ailleurs, bien loin d’ici. Trop tard ! jamais peut etre !
Ne te reverrai-je aussi beau ?
Margolagoe
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Poème en Phonétique
su lə sjεl dɔʁje, ʒɑ̃pɔʁtə tɔ̃n- imaʒə,
œ̃n- amuʁ etεʁnεl ɑ̃n- œ̃ mɔmɑ̃ kɔ̃sy.
la ʒε ʁətʁuve e lεspwaʁ e lamuʁ,
lε paʁfœ̃ də la flœʁ e sø də lɑ̃sɑ̃swaʁ.
il nε plys də nɥi, il nε plys də ʒuʁ
vaɡ ɔbʒε də mε vø, u ʒə melɑ̃sə ʒyska twa,
ajœʁ, bjɛ̃ lwɛ̃ disi. tʁo taʁ ! ʒamε pø εtʁə !
nə tə ʁəveʁε ʒə osi bo ?
œ̃n- amuʁ etεʁnεl ɑ̃n- œ̃ mɔmɑ̃ kɔ̃sy.
la ʒε ʁətʁuve e lεspwaʁ e lamuʁ,
lε paʁfœ̃ də la flœʁ e sø də lɑ̃sɑ̃swaʁ.
il nε plys də nɥi, il nε plys də ʒuʁ
vaɡ ɔbʒε də mε vø, u ʒə melɑ̃sə ʒyska twa,
ajœʁ, bjɛ̃ lwɛ̃ disi. tʁo taʁ ! ʒamε pø εtʁə !
nə tə ʁəveʁε ʒə osi bo ?