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Poeme : 17 Novembre



A Propos

Mal à gauche, mal au centre, mal à droite
La France n’avance plus en ligne droite
L’hexagone zigzague et divague
Jaune est la couleur de la vague

Au départ bon enfant, un mouvement contre la fermeté du gouvernement
Tout le monde uni pour une baisse du coût de la vie
Le 17 novembre, tous « en marche » pour un grand rassemblement
Afin d’ouvrir les yeux à ces tiroirs caisses au grand train de vie

Toute une population qui a besoin de considération
D’écoute et de respect et non d’être rabaisser au rang de « sans dent »
Face à des politiques de plus en plus condescendants
Envers toutes ces générations qui ont perdu leurs illusions

Des parlementaires avec leurs paroles en l’air
Un pour tous, tous pourris, un état qui tousse
Qui devient malade et appelle à la rescousse
Ne sachant plus comment faire face à cette colère

Mais malheureusement la violence à pris le dessus sur la liberté
Certains se sont crus en 68 en lançant des pavés
En répondant à l’appel d un certain eric Drouet, qui voulait marcher sur l’Elysée
Il faut surtout prendre conscience que les idées extrêmes peuvent mener aux pires extrémités

D’autres se sont pris pour le Che en voulant faire leur révolution
En refusant toute proposition de négociation
À vouloir un bank run qui n’amenera qu’à la banqueroute
Avec ces idées là c est sur le pays fera fausse route

Cette folie a pris tellement d’ampleur
Que des milliers de personnes soutiennent un boxeur
Cognant sur les forces de l’ordre
Qui ne font que respecter les ordres

La voie de la violence ne connaît aucune porte de sortie
Ou sont passé Mandela, Luther King ou bien Gandhi
Pourtant il faudra bien trouver une issue de secours
Avant les élections du 1 er tour

17 Novembre

Mal à gauche, mal au centre, mal à droite
La France n’avance plus en ligne droite
L’hexagone zigzague et divague
Jaune est la couleur de la vague

Au départ bon enfant, un mouvement contre la fermeté du gouvernement
Tout le monde uni pour une baisse du coût de la vie
Le 17 novembre, tous « en marche » pour un grand rassemblement
Afin d’ouvrir les yeux à ces tiroirs caisses au grand train de vie

Toute une population qui a besoin de considération
D’écoute et de respect et non d’être rabaisser au rang de « sans dent »
Face à des politiques de plus en plus condescendants
Envers toutes ces générations qui ont perdu leurs illusions

Des parlementaires avec leurs paroles en l’air
Un pour tous, tous pourris, un état qui tousse
Qui devient malade et appelle à la rescousse
Ne sachant plus comment faire face à cette colère

Mais malheureusement la violence à pris le dessus sur la liberté
Certains se sont crus en 68 en lançant des pavés
En répondant à l’appel d un certain eric Drouet, qui voulait marcher sur l’Elysée
Il faut surtout prendre conscience que les idées extrêmes peuvent mener aux pires extrémités

D’autres se sont pris pour le Che en voulant faire leur révolution
En refusant toute proposition de négociation
À vouloir 1 bank run qui n’amenera qu’à la banqueroute
Avec ces idées là c est sur le pays fera fausse route

Cette folie a pris tellement d’ampleur
Que des milliers de personnes soutiennent un boxeur
Cognant sur les forces de l’ordre
Qui ne font que respecter les ordres

La voie de la violence ne connaît aucune porte de sortie
Ou sont passé Mandela, Luther King ou bien Gandhi
Pourtant il faudra bien trouver une issue de secours
Avant les élections du 1 er tour
Marie27

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Poème en Phonétique

mal a ɡoʃə, mal o sɑ̃tʁə, mal a dʁwatə
la fʁɑ̃sə navɑ̃sə plysz- ɑ̃ liɲə dʁwatə
lεksaɡɔnə ziɡzaɡ e divaɡ
ʒonə ε la kulœʁ də la vaɡ

o depaʁ bɔ̃ ɑ̃fɑ̃, œ̃ muvəmɑ̃ kɔ̃tʁə la fεʁməte dy ɡuvεʁnəmɑ̃
tu lə mɔ̃də yni puʁ ynə bεsə dy ku də la vi
lə di- sεt nɔvɑ̃bʁə, tus « εn maʁʃə » puʁ œ̃ ɡʁɑ̃ ʁasɑ̃bləmɑ̃
afɛ̃ duvʁiʁ lεz- iøz- a sε tiʁwaʁ kεsəz- o ɡʁɑ̃ tʁɛ̃ də vi

tutə ynə pɔpylasjɔ̃ ki a bəzwɛ̃ də kɔ̃sideʁasjɔ̃
dekutə e də ʁεspε e nɔ̃ dεtʁə ʁabεse o ʁɑ̃ də « sɑ̃ dεnt »
fasə a dε pɔlitik də plysz- ɑ̃ plys kɔ̃desɑ̃dɑ̃
ɑ̃vεʁ tutə sε ʒeneʁasjɔ̃ ki ɔ̃ pεʁdy lœʁz- ilyzjɔ̃

dε paʁləmɑ̃tεʁəz- avεk lœʁ paʁɔləz- ɑ̃ lεʁ
œ̃ puʁ tus, tus puʁʁi, œ̃n- eta ki tusə
ki dəvjɛ̃ maladə e apεllə a la ʁεskusə
nə saʃɑ̃ plys kɔmɑ̃ fεʁə fasə a sεtə kɔlεʁə

mε maləʁøzəmɑ̃ la vjɔlɑ̃sə a pʁi lə dəsy syʁ la libεʁte
sεʁtɛ̃ sə sɔ̃ kʁysz- ɑ̃ swasɑ̃tə ɥit ɑ̃ lɑ̃sɑ̃ dε pave
ɑ̃ ʁepɔ̃dɑ̃ a lapεl de œ̃ sεʁtɛ̃ əʁik dʁuε, ki vulε maʁʃe syʁ ləlize
il fo syʁtu pʁɑ̃dʁə kɔ̃sjɑ̃sə kə lεz- idez- εkstʁεmə pəve məne o piʁəz- εkstʁemite

dotʁə- sə sɔ̃ pʁi puʁ lə ʃə ɑ̃ vulɑ̃ fεʁə lœʁ ʁevɔlysjɔ̃
ɑ̃ ʁəfyzɑ̃ tutə pʁɔpozisjɔ̃ də neɡɔsjasjɔ̃
a vulwaʁ œ̃ bɑ̃k ʁœ̃ ki namənəʁa ka la bɑ̃kəʁutə
avεk sεz- ide la se ε syʁ lə pεi fəʁa fosə ʁutə

sεtə fɔli a pʁi tεllmɑ̃ dɑ̃plœʁ
kə dε milje də pεʁsɔnə sutjεne œ̃ bɔksœʁ
kɔɲɑ̃ syʁ lε fɔʁsə- də lɔʁdʁə
ki nə fɔ̃ kə ʁεspεkte lεz- ɔʁdʁə

la vwa də la vjɔlɑ̃sə nə kɔnε okynə pɔʁtə də sɔʁti
u sɔ̃ pase mɑ̃dəla, lytœʁ kiŋ u bjɛ̃ ɡɑ̃di
puʁtɑ̃ il fodʁa bjɛ̃ tʁuve ynə isɥ də səkuʁ
avɑ̃ lεz- elεksjɔ̃ dy œ̃n- e tuʁ