Poeme : Leon
Leon
Complètement camée le leon, dans sont pantalon trop grand
Le slip apparent
Et son bonnet aux couleurs de la jamaique
Comme un peu saoul il avance plein de tique,
Le leon
Un vrai lion
Sa tignasse crasseuse
Et son sac de niaiseuse
Sa main le tien au mur
Pendant que l autre tien son petit zizi pour uriner droit, en homme mure
Camé le leon
Il est lion
Trop dans c est brume
Pas d ici, ça se hume
Les semelles plates
Presque disparut, elle suive c’est pattes
On peu voir la force qu il a dans les bras
Quand il sert la main des pleins aux as !
Dans ce bonnet vert jaune rouge, tous ripoux
Quand il l enlève pour gratter c est poux !
Des poux d orient, des poux d Afrique
Qui on la trique !
De quoi faire pisser d effroi l’amérique !
Et peu être réconcilier l est et l ouest, qui tourne en bourrique,
Dans les brumes oui
Dans la brume de cette herbes, qui lui donnerait tous le temps envie
Envie de continuer à courir après ce corsaire
Pas trop patibulaire
C est dans un vieux journal tout chiffonné de l époque
Ou il servait de jeune dame, qui n’avaient l’air de loquent
En bon savon de miel et parfumerie, dans son magasin pour « plaire »
Qu il avait connu le corsaire
Une annonce pas bien méchante
Un peu nonchalante
« Cherche une imagination et du rire
Un homme libre d’esprit et qui aime les plaisirs »
Après avoir fait lentement les numéros
Du telephon, leon joua les héros,
Lisait des poèmes à la flibustiere
Les poemes que son cœur ne pouvait direà toutes ses belles menagères
Le corsaire qui connaissait la mer
Écoutait chaques jours les poèmes, sans goût amer
Tantôt il se baladai dans les étoiles,
Tantôt il surfait sur des vagues bleus, en mettant les voiles…
Tantôt riait, de leurs bêtises qu ils échangeaient
Tantôt ils pleuraient
Leon dans la fumée
Le flibustier un peu camé
Leon fermait à clé son magasin a la fin d’un printemps magnifique,
Regardait le poteau téléphonique
Qu il suivit pendant des jours et des jours
S aretant dans une cabine, pour dire bonjour
Fumée et raconter au corsaire
Un poeme de cœur qui prend l air
Un poème maladroit mais si plein de couleur
Ou ils voyageaient avec leon dans les îles, sans malheur
Un deux feuilles au bec leon chantai
Un deux feuilles au bec leon racontait
De feuille en feuille leon arriva devant le voilier
Beau comme un roi, laver à l eau de mer, un peu moins fermier
Il tapas du poing sur la cabine du corsaire
Rien ne bougeait et espérait lui plaire
Boum boum boum !
Es que ce corsaire est sourd ?
Boum boum boum
Es que ce corsaire est sourd ?
C est leon le camée ! ! !
Boum boum boum !
C est le froid du métal sur son oreille qui le crispai
Dans la position ou il se trouvai
A regarder par le trou de la serrure
Il entendit un clic, sure !
Et une voie de femme lui dire
Que fait tu à regarder par le trou de la serrure vieux sauvage, bon à maudire
Pas d histoire que fait tu la
Le deux feuilles pendouilla
Le caméléon viras couleur ciame
Juste suivi la ligne madame
La ligne de téléphone
Je suis leon, sainte madone
La femme piqua le deux feuilles de leon
Je t avais dit de jamais venir leon
Camé leon ne bougeai plus l’œil toujours dans la serrure
L’oreille glacer par le froid du métal
Le dos douloureux par la position
Les neurones bloquer, par ce drôle de mission
La situation n’était pas compréhensible pour leon
Se frottant le menton
Le bout du deux feuilles rougissait à chaque inspiration du corsaire
Leon n’avait pas prévu ce genre de poème, penché comme un dromadaire
Le corsaire et lui en aurait pleuré d un poème pareil
Peu être le corsaire était il prisonnier d’une pirate,
Peu être était il mort déjà, mort quel malheur
Ou enchaîner dans les fonds de cale du friday star, il avait peur
Furieux leon devint rouge se tourna d’un coup, en héros
Vers la pirate en faisant voler le pistolero
Une lutte infernal s’enchaîna entre leon et la pirate
Les coups pleuvaient, ils sans filaient, dans les visages, dans la rate
La pirate et leon hurlai des cries de douleur
La porte de la cabine volait en éclats, et pour leurs malheur
Ils roulaient dans l’escalier en ce frappant
De grand coup de poing et de genoux, démolissant
La pirate les ongles en avant lacerait le dos de leon
Chaque tour de leur corps qui descendaient l’escalier
Le mégot du deux feuilles coince entre leur deux ventre
Les brûlai à sang, jusque dans leurs antres
Tous explosaient sur leur passage
Leurs dents serrer crachaient des mots pas sage,
C a peu être le coup qu il reçu à la tête qui remit les neurones
De caméléon dans l histoire ou le corsaire était la pirate, sainte Madones
Ou les yeux qu il croisa dans la fumée de la poussière
La pirate le flibustier et le corsaire c était cette femme, misere
Alors il se mit à la lécher furieusement,
Sauvagement
La corsaire, la flibustiere et la femme
Caressait de la langues la peau de leon, les doigts écrivant je t’aime
Leurs baves coulaient sur leurs peaux comme un onguent
Un onguent que long trouve que dans les poèmes de leon,
Longtemps après le début de la moisson
Leon et la femme remontait le long des cloisons,
Des musiques de danse de félon
La cuisse du corsaire prise dans une main de leon
Comme ouverte en deux la flibustiere coulait ! dans les fonds de la coque, elle le voulait
Les voiles prenaient le vent et sa toison mouillé dessinai des huit dans l’air
Leon prit des ris dans la chemise, sans en avoir l’air
Continuant de lécher le cou de la femme, haletant
Les deux corps se tendirent ensemble, transpirant
Sauvage mais sensuelle
Leur corps en visuelle
Pour prendre le temps de profiter
Des dernières vibration
Complètement camée leon
Il aimai le corsaire
Il adorai la flibustiere
Il serrait la roturière
Complètement camée leon
Il est
Il est
Le slip apparent
Et son bonnet aux couleurs de la jamaique
Comme un peu saoul il avance plein de tique,
Le leon
Un vrai lion
Sa tignasse crasseuse
Et son sac de niaiseuse
Sa main le tien au mur
Pendant que l autre tien son petit zizi pour uriner droit, en homme mure
Camé le leon
Il est lion
Trop dans c est brume
Pas d ici, ça se hume
Les semelles plates
Presque disparut, elle suive c’est pattes
On peu voir la force qu il a dans les bras
Quand il sert la main des pleins aux as !
Dans ce bonnet vert jaune rouge, tous ripoux
Quand il l enlève pour gratter c est poux !
Des poux d orient, des poux d Afrique
Qui on la trique !
De quoi faire pisser d effroi l’amérique !
Et peu être réconcilier l est et l ouest, qui tourne en bourrique,
Dans les brumes oui
Dans la brume de cette herbes, qui lui donnerait tous le temps envie
Envie de continuer à courir après ce corsaire
Pas trop patibulaire
C est dans un vieux journal tout chiffonné de l époque
Ou il servait de jeune dame, qui n’avaient l’air de loquent
En bon savon de miel et parfumerie, dans son magasin pour « plaire »
Qu il avait connu le corsaire
Une annonce pas bien méchante
Un peu nonchalante
« Cherche une imagination et du rire
Un homme libre d’esprit et qui aime les plaisirs »
Après avoir fait lentement les numéros
Du telephon, leon joua les héros,
Lisait des poèmes à la flibustiere
Les poemes que son cœur ne pouvait direà toutes ses belles menagères
Le corsaire qui connaissait la mer
Écoutait chaques jours les poèmes, sans goût amer
Tantôt il se baladai dans les étoiles,
Tantôt il surfait sur des vagues bleus, en mettant les voiles…
Tantôt riait, de leurs bêtises qu ils échangeaient
Tantôt ils pleuraient
Leon dans la fumée
Le flibustier un peu camé
Leon fermait à clé son magasin a la fin d’un printemps magnifique,
Regardait le poteau téléphonique
Qu il suivit pendant des jours et des jours
S aretant dans une cabine, pour dire bonjour
Fumée et raconter au corsaire
Un poeme de cœur qui prend l air
Un poème maladroit mais si plein de couleur
Ou ils voyageaient avec leon dans les îles, sans malheur
Un deux feuilles au bec leon chantai
Un deux feuilles au bec leon racontait
De feuille en feuille leon arriva devant le voilier
Beau comme un roi, laver à l eau de mer, un peu moins fermier
Il tapas du poing sur la cabine du corsaire
Rien ne bougeait et espérait lui plaire
Boum boum boum !
Es que ce corsaire est sourd ?
Boum boum boum
Es que ce corsaire est sourd ?
C est leon le camée ! ! !
Boum boum boum !
C est le froid du métal sur son oreille qui le crispai
Dans la position ou il se trouvai
A regarder par le trou de la serrure
Il entendit un clic, sure !
Et une voie de femme lui dire
Que fait tu à regarder par le trou de la serrure vieux sauvage, bon à maudire
Pas d histoire que fait tu la
Le deux feuilles pendouilla
Le caméléon viras couleur ciame
Juste suivi la ligne madame
La ligne de téléphone
Je suis leon, sainte madone
La femme piqua le deux feuilles de leon
Je t avais dit de jamais venir leon
Camé leon ne bougeai plus l’œil toujours dans la serrure
L’oreille glacer par le froid du métal
Le dos douloureux par la position
Les neurones bloquer, par ce drôle de mission
La situation n’était pas compréhensible pour leon
Se frottant le menton
Le bout du deux feuilles rougissait à chaque inspiration du corsaire
Leon n’avait pas prévu ce genre de poème, penché comme un dromadaire
Le corsaire et lui en aurait pleuré d un poème pareil
Peu être le corsaire était il prisonnier d’une pirate,
Peu être était il mort déjà, mort quel malheur
Ou enchaîner dans les fonds de cale du friday star, il avait peur
Furieux leon devint rouge se tourna d’un coup, en héros
Vers la pirate en faisant voler le pistolero
Une lutte infernal s’enchaîna entre leon et la pirate
Les coups pleuvaient, ils sans filaient, dans les visages, dans la rate
La pirate et leon hurlai des cries de douleur
La porte de la cabine volait en éclats, et pour leurs malheur
Ils roulaient dans l’escalier en ce frappant
De grand coup de poing et de genoux, démolissant
La pirate les ongles en avant lacerait le dos de leon
Chaque tour de leur corps qui descendaient l’escalier
Le mégot du deux feuilles coince entre leur deux ventre
Les brûlai à sang, jusque dans leurs antres
Tous explosaient sur leur passage
Leurs dents serrer crachaient des mots pas sage,
C a peu être le coup qu il reçu à la tête qui remit les neurones
De caméléon dans l histoire ou le corsaire était la pirate, sainte Madones
Ou les yeux qu il croisa dans la fumée de la poussière
La pirate le flibustier et le corsaire c était cette femme, misere
Alors il se mit à la lécher furieusement,
Sauvagement
La corsaire, la flibustiere et la femme
Caressait de la langues la peau de leon, les doigts écrivant je t’aime
Leurs baves coulaient sur leurs peaux comme un onguent
Un onguent que long trouve que dans les poèmes de leon,
Longtemps après le début de la moisson
Leon et la femme remontait le long des cloisons,
Des musiques de danse de félon
La cuisse du corsaire prise dans une main de leon
Comme ouverte en deux la flibustiere coulait ! dans les fonds de la coque, elle le voulait
Les voiles prenaient le vent et sa toison mouillé dessinai des huit dans l’air
Leon prit des ris dans la chemise, sans en avoir l’air
Continuant de lécher le cou de la femme, haletant
Les deux corps se tendirent ensemble, transpirant
Sauvage mais sensuelle
Leur corps en visuelle
Pour prendre le temps de profiter
Des dernières vibration
Complètement camée leon
Il aimai le corsaire
Il adorai la flibustiere
Il serrait la roturière
Complètement camée leon
Il est
Il est
Marins77
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Poème en Phonétique
kɔ̃plεtəmɑ̃ kame lə ləɔ̃, dɑ̃ sɔ̃ pɑ̃talɔ̃ tʁo ɡʁɑ̃
lə slip apaʁɑ̃
e sɔ̃ bɔnε o kulœʁ də la ʒamεkə
kɔmə œ̃ pø saul il avɑ̃sə plɛ̃ də tikə,
lə ləɔ̃
œ̃ vʁε ljɔ̃
sa tiɲasə kʁasøzə
e sɔ̃ sak də njεzøzə
sa mɛ̃ lə tjɛ̃ o myʁ
pɑ̃dɑ̃ kə εl otʁə tjɛ̃ sɔ̃ pəti zizi puʁ yʁine dʁwa, ɑ̃n- ɔmə myʁə
kame lə ləɔ̃
il ε ljɔ̃
tʁo dɑ̃ se ε bʁymə
pa de isi, sa sə ymə
lε səmεllə platə
pʁεskə dispaʁy, εllə sɥivə sε patə
ɔ̃ pø vwaʁ la fɔʁsə k il a dɑ̃ lε bʁa
kɑ̃t- il sεʁ la mɛ̃ dε plɛ̃z- oz- a !
dɑ̃ sə bɔnε vεʁ ʒonə ʁuʒə, tus ʁipu
kɑ̃t- il εl ɑ̃lεvə puʁ ɡʁate se ε pu !
dε pu de ɔʁje, dε pu de afʁikə
ki ɔ̃ la tʁikə !
də kwa fεʁə pise de efʁwa lameʁikə !
e pø εtʁə ʁekɔ̃silje εl εt- e εl uεst, ki tuʁnə ɑ̃ buʁʁikə,
dɑ̃ lε bʁyməz- ui
dɑ̃ la bʁymə də sεtə εʁbə, ki lɥi dɔnəʁε tus lə tɑ̃z- ɑ̃vi
ɑ̃vi də kɔ̃tinɥe a kuʁiʁ apʁε sə kɔʁsεʁə
pa tʁo patibylεʁə
se ε dɑ̃z- œ̃ vjø ʒuʁnal tu ʃifɔne də εl epɔkə
u il sεʁvε də ʒənə damə, ki navε lεʁ də lɔke
ɑ̃ bɔ̃ savɔ̃ də mjεl e paʁfyməʁi, dɑ̃ sɔ̃ maɡazɛ̃ puʁ « plεʁə »
k il avε kɔny lə kɔʁsεʁə
ynə anɔ̃sə pa bjɛ̃ meʃɑ̃tə
œ̃ pø nɔ̃ʃalɑ̃tə
« ʃεʁʃə ynə imaʒinasjɔ̃ e dy ʁiʁə
œ̃n- ɔmə libʁə dεspʁi e ki εmə lε plεziʁs »
apʁεz- avwaʁ fε lɑ̃təmɑ̃ lε nymeʁo
dy təlεfɔ̃, ləɔ̃ ʒua lεz- eʁo,
lizε dε pɔεməz- a la flibystjəʁə
lε poəmə kə sɔ̃ kœʁ nə puvε diʁəa tutə sε bεllə mənaʒεʁə
lə kɔʁsεʁə ki kɔnεsε la mεʁ
ekutε ʃak ʒuʁ lε pɔεmə, sɑ̃ ɡu ame
tɑ̃to il sə baladε dɑ̃ lεz- etwalə,
tɑ̃to il syʁfε syʁ dε vaɡ bløs, ɑ̃ mεtɑ̃ lε vwalə…
tɑ̃to ʁjε, də lœʁ bεtizə k ilz- eʃɑ̃ʒε
tɑ̃to il pləʁε
ləɔ̃ dɑ̃ la fyme
lə flibystje œ̃ pø kame
ləɔ̃ fεʁmε a kle sɔ̃ maɡazɛ̃ a la fɛ̃ dœ̃ pʁɛ̃tɑ̃ maɲifikə,
ʁəɡaʁdε lə pɔto telefɔnikə
k il sɥivi pɑ̃dɑ̃ dε ʒuʁz- e dε ʒuʁ
εs aʁətɑ̃ dɑ̃z- ynə kabinə, puʁ diʁə bɔ̃ʒuʁ
fyme e ʁakɔ̃te o kɔʁsεʁə
œ̃ poəmə də kœʁ ki pʁɑ̃ εl εʁ
œ̃ pɔεmə maladʁwa mε si plɛ̃ də kulœʁ
u il vwajaʒε avεk ləɔ̃ dɑ̃ lεz- ilə, sɑ̃ malœʁ
œ̃ dø fœjəz- o bεk ləɔ̃ ʃɑ̃tε
œ̃ dø fœjəz- o bεk ləɔ̃ ʁakɔ̃tε
də fœjə ɑ̃ fœjə ləɔ̃ aʁiva dəvɑ̃ lə vwalje
bo kɔmə œ̃ ʁwa, lave a εl o də mεʁ, œ̃ pø mwɛ̃ fεʁmje
il tapa dy puiŋ syʁ la kabinə dy kɔʁsεʁə
ʁjɛ̃ nə buʒε e εspeʁε lɥi plεʁə
bum bum bum !
ε kə sə kɔʁsεʁə ε suʁ ?
bum bum bum
ε kə sə kɔʁsεʁə ε suʁ ?
se ε ləɔ̃ lə kame ! ! !
bum bum bum !
se ε lə fʁwa dy metal syʁ sɔ̃n- ɔʁεjə ki lə kʁispε
dɑ̃ la pozisjɔ̃ u il sə tʁuvε
a ʁəɡaʁde paʁ lə tʁu də la seʁyʁə
il ɑ̃tɑ̃di œ̃ klik, syʁə !
e ynə vwa də famə lɥi diʁə
kə fε ty a ʁəɡaʁde paʁ lə tʁu də la seʁyʁə vjø sovaʒə, bɔ̃ a modiʁə
pa de istwaʁə kə fε ty la
lə dø fœjə pɑ̃duja
lə kameleɔ̃ viʁa kulœʁ sjamə
ʒystə sɥivi la liɲə madamə
la liɲə də telefɔnə
ʒə sɥi ləɔ̃, sɛ̃tə madɔnə
la famə pika lə dø fœjə də ləɔ̃
ʒə te avε di də ʒamε vəniʁ ləɔ̃
kame ləɔ̃ nə buʒε plys lœj tuʒuʁ dɑ̃ la seʁyʁə
lɔʁεjə ɡlase paʁ lə fʁwa dy metal
lə do duluʁø paʁ la pozisjɔ̃
lε nəʁɔnə blɔke, paʁ sə dʁolə də misjɔ̃
la sitɥasjɔ̃ netε pa kɔ̃pʁeɑ̃siblə puʁ ləɔ̃
sə fʁɔtɑ̃ lə mɑ̃tɔ̃
lə bu dy dø fœjə ʁuʒisε a ʃakə ɛ̃spiʁasjɔ̃ dy kɔʁsεʁə
ləɔ̃ navε pa pʁevy sə ʒɑ̃ʁə də pɔεmə, pɑ̃ʃe kɔmə œ̃ dʁɔmadεʁə
lə kɔʁsεʁə e lɥi ɑ̃n- oʁε pləʁe de œ̃ pɔεmə paʁεj
pø εtʁə lə kɔʁsεʁə etε il pʁizɔnje dynə piʁatə,
pø εtʁə etε il mɔʁ deʒa, mɔʁ kεl malœʁ
u ɑ̃ʃεne dɑ̃ lε fɔ̃ də kalə dy fʁidε staʁ, il avε pœʁ
fyʁjø ləɔ̃ dəvɛ̃ ʁuʒə sə tuʁna dœ̃ ku, ɑ̃n- eʁo
vεʁ la piʁatə ɑ̃ fəzɑ̃ vɔle lə pistɔləʁo
ynə lytə ɛ̃fεʁnal sɑ̃ʃεna ɑ̃tʁə ləɔ̃ e la piʁatə
lε ku pləvε, il sɑ̃ filε, dɑ̃ lε vizaʒə, dɑ̃ la ʁatə
la piʁatə e ləɔ̃ yʁlε dε kʁi də dulœʁ
la pɔʁtə də la kabinə vɔlε ɑ̃n- ekla, e puʁ lœʁ malœʁ
il ʁulε dɑ̃ lεskalje ɑ̃ sə fʁapɑ̃
də ɡʁɑ̃ ku də puiŋ e də ʒənu, demɔlisɑ̃
la piʁatə lεz- ɔ̃ɡləz- ɑ̃n- avɑ̃ lasəʁε lə do də ləɔ̃
ʃakə tuʁ də lœʁ kɔʁ ki desɑ̃dε lεskalje
lə meɡo dy dø fœjə kwɛ̃sə ɑ̃tʁə lœʁ dø vɑ̃tʁə
lε bʁylε a sɑ̃, ʒyskə dɑ̃ lœʁz- ɑ̃tʁə
tusz- εksplozε syʁ lœʁ pasaʒə
lœʁ dɑ̃ seʁe kʁaʃε dε mo pa saʒə,
se a pø εtʁə lə ku k il ʁəsy a la tεtə ki ʁəmi lε nəʁɔnə
də kameleɔ̃ dɑ̃ εl istwaʁə u lə kɔʁsεʁə etε la piʁatə, sɛ̃tə madɔnə
u lεz- iø k il kʁwaza dɑ̃ la fyme də la pusjεʁə
la piʁatə lə flibystje e lə kɔʁsεʁə se etε sεtə famə, mizəʁə
alɔʁz- il sə mit a la leʃe fyʁjøzəmɑ̃,
sovaʒəmɑ̃
la kɔʁsεʁə, la flibystjəʁə e la famə
kaʁesε də la lɑ̃ɡ la po də ləɔ̃, lε dwaz- ekʁivɑ̃ ʒə tεmə
lœʁ bavə kulε syʁ lœʁ po kɔmə œ̃n- ɔ̃ɡe
œ̃n- ɔ̃ɡe kə lɔ̃ tʁuvə kə dɑ̃ lε pɔεmə də ləɔ̃,
lɔ̃tɑ̃z- apʁε lə deby də la mwasɔ̃
ləɔ̃ e la famə ʁəmɔ̃tε lə lɔ̃ dε klwazɔ̃,
dε myzik də dɑ̃sə də felɔ̃
la kɥisə dy kɔʁsεʁə pʁizə dɑ̃z- ynə mɛ̃ də ləɔ̃
kɔmə uvεʁtə ɑ̃ dø la flibystjəʁə kulε ! dɑ̃ lε fɔ̃ də la kɔkə, εllə lə vulε
lε vwalə pʁənε lə vɑ̃ e sa twazɔ̃ muje desinε dεz- ɥi dɑ̃ lεʁ
ləɔ̃ pʁi dε ʁis dɑ̃ la ʃəmizə, sɑ̃z- ɑ̃n- avwaʁ lεʁ
kɔ̃tinɥɑ̃ də leʃe lə ku də la famə, alətɑ̃
lε dø kɔʁ sə tɑ̃diʁe ɑ̃sɑ̃blə, tʁɑ̃spiʁɑ̃
sovaʒə mε sɑ̃sɥεllə
lœʁ kɔʁz- ɑ̃ vizɥεllə
puʁ pʁɑ̃dʁə lə tɑ̃ də pʁɔfite
dε dεʁnjεʁə vibʁasjɔ̃
kɔ̃plεtəmɑ̃ kame ləɔ̃
il εmε lə kɔʁsεʁə
il adɔʁε la flibystjəʁə
il seʁε la ʁɔtyʁjεʁə
kɔ̃plεtəmɑ̃ kame ləɔ̃
il ε
il ε
lə slip apaʁɑ̃
e sɔ̃ bɔnε o kulœʁ də la ʒamεkə
kɔmə œ̃ pø saul il avɑ̃sə plɛ̃ də tikə,
lə ləɔ̃
œ̃ vʁε ljɔ̃
sa tiɲasə kʁasøzə
e sɔ̃ sak də njεzøzə
sa mɛ̃ lə tjɛ̃ o myʁ
pɑ̃dɑ̃ kə εl otʁə tjɛ̃ sɔ̃ pəti zizi puʁ yʁine dʁwa, ɑ̃n- ɔmə myʁə
kame lə ləɔ̃
il ε ljɔ̃
tʁo dɑ̃ se ε bʁymə
pa de isi, sa sə ymə
lε səmεllə platə
pʁεskə dispaʁy, εllə sɥivə sε patə
ɔ̃ pø vwaʁ la fɔʁsə k il a dɑ̃ lε bʁa
kɑ̃t- il sεʁ la mɛ̃ dε plɛ̃z- oz- a !
dɑ̃ sə bɔnε vεʁ ʒonə ʁuʒə, tus ʁipu
kɑ̃t- il εl ɑ̃lεvə puʁ ɡʁate se ε pu !
dε pu de ɔʁje, dε pu de afʁikə
ki ɔ̃ la tʁikə !
də kwa fεʁə pise de efʁwa lameʁikə !
e pø εtʁə ʁekɔ̃silje εl εt- e εl uεst, ki tuʁnə ɑ̃ buʁʁikə,
dɑ̃ lε bʁyməz- ui
dɑ̃ la bʁymə də sεtə εʁbə, ki lɥi dɔnəʁε tus lə tɑ̃z- ɑ̃vi
ɑ̃vi də kɔ̃tinɥe a kuʁiʁ apʁε sə kɔʁsεʁə
pa tʁo patibylεʁə
se ε dɑ̃z- œ̃ vjø ʒuʁnal tu ʃifɔne də εl epɔkə
u il sεʁvε də ʒənə damə, ki navε lεʁ də lɔke
ɑ̃ bɔ̃ savɔ̃ də mjεl e paʁfyməʁi, dɑ̃ sɔ̃ maɡazɛ̃ puʁ « plεʁə »
k il avε kɔny lə kɔʁsεʁə
ynə anɔ̃sə pa bjɛ̃ meʃɑ̃tə
œ̃ pø nɔ̃ʃalɑ̃tə
« ʃεʁʃə ynə imaʒinasjɔ̃ e dy ʁiʁə
œ̃n- ɔmə libʁə dεspʁi e ki εmə lε plεziʁs »
apʁεz- avwaʁ fε lɑ̃təmɑ̃ lε nymeʁo
dy təlεfɔ̃, ləɔ̃ ʒua lεz- eʁo,
lizε dε pɔεməz- a la flibystjəʁə
lε poəmə kə sɔ̃ kœʁ nə puvε diʁəa tutə sε bεllə mənaʒεʁə
lə kɔʁsεʁə ki kɔnεsε la mεʁ
ekutε ʃak ʒuʁ lε pɔεmə, sɑ̃ ɡu ame
tɑ̃to il sə baladε dɑ̃ lεz- etwalə,
tɑ̃to il syʁfε syʁ dε vaɡ bløs, ɑ̃ mεtɑ̃ lε vwalə…
tɑ̃to ʁjε, də lœʁ bεtizə k ilz- eʃɑ̃ʒε
tɑ̃to il pləʁε
ləɔ̃ dɑ̃ la fyme
lə flibystje œ̃ pø kame
ləɔ̃ fεʁmε a kle sɔ̃ maɡazɛ̃ a la fɛ̃ dœ̃ pʁɛ̃tɑ̃ maɲifikə,
ʁəɡaʁdε lə pɔto telefɔnikə
k il sɥivi pɑ̃dɑ̃ dε ʒuʁz- e dε ʒuʁ
εs aʁətɑ̃ dɑ̃z- ynə kabinə, puʁ diʁə bɔ̃ʒuʁ
fyme e ʁakɔ̃te o kɔʁsεʁə
œ̃ poəmə də kœʁ ki pʁɑ̃ εl εʁ
œ̃ pɔεmə maladʁwa mε si plɛ̃ də kulœʁ
u il vwajaʒε avεk ləɔ̃ dɑ̃ lεz- ilə, sɑ̃ malœʁ
œ̃ dø fœjəz- o bεk ləɔ̃ ʃɑ̃tε
œ̃ dø fœjəz- o bεk ləɔ̃ ʁakɔ̃tε
də fœjə ɑ̃ fœjə ləɔ̃ aʁiva dəvɑ̃ lə vwalje
bo kɔmə œ̃ ʁwa, lave a εl o də mεʁ, œ̃ pø mwɛ̃ fεʁmje
il tapa dy puiŋ syʁ la kabinə dy kɔʁsεʁə
ʁjɛ̃ nə buʒε e εspeʁε lɥi plεʁə
bum bum bum !
ε kə sə kɔʁsεʁə ε suʁ ?
bum bum bum
ε kə sə kɔʁsεʁə ε suʁ ?
se ε ləɔ̃ lə kame ! ! !
bum bum bum !
se ε lə fʁwa dy metal syʁ sɔ̃n- ɔʁεjə ki lə kʁispε
dɑ̃ la pozisjɔ̃ u il sə tʁuvε
a ʁəɡaʁde paʁ lə tʁu də la seʁyʁə
il ɑ̃tɑ̃di œ̃ klik, syʁə !
e ynə vwa də famə lɥi diʁə
kə fε ty a ʁəɡaʁde paʁ lə tʁu də la seʁyʁə vjø sovaʒə, bɔ̃ a modiʁə
pa de istwaʁə kə fε ty la
lə dø fœjə pɑ̃duja
lə kameleɔ̃ viʁa kulœʁ sjamə
ʒystə sɥivi la liɲə madamə
la liɲə də telefɔnə
ʒə sɥi ləɔ̃, sɛ̃tə madɔnə
la famə pika lə dø fœjə də ləɔ̃
ʒə te avε di də ʒamε vəniʁ ləɔ̃
kame ləɔ̃ nə buʒε plys lœj tuʒuʁ dɑ̃ la seʁyʁə
lɔʁεjə ɡlase paʁ lə fʁwa dy metal
lə do duluʁø paʁ la pozisjɔ̃
lε nəʁɔnə blɔke, paʁ sə dʁolə də misjɔ̃
la sitɥasjɔ̃ netε pa kɔ̃pʁeɑ̃siblə puʁ ləɔ̃
sə fʁɔtɑ̃ lə mɑ̃tɔ̃
lə bu dy dø fœjə ʁuʒisε a ʃakə ɛ̃spiʁasjɔ̃ dy kɔʁsεʁə
ləɔ̃ navε pa pʁevy sə ʒɑ̃ʁə də pɔεmə, pɑ̃ʃe kɔmə œ̃ dʁɔmadεʁə
lə kɔʁsεʁə e lɥi ɑ̃n- oʁε pləʁe de œ̃ pɔεmə paʁεj
pø εtʁə lə kɔʁsεʁə etε il pʁizɔnje dynə piʁatə,
pø εtʁə etε il mɔʁ deʒa, mɔʁ kεl malœʁ
u ɑ̃ʃεne dɑ̃ lε fɔ̃ də kalə dy fʁidε staʁ, il avε pœʁ
fyʁjø ləɔ̃ dəvɛ̃ ʁuʒə sə tuʁna dœ̃ ku, ɑ̃n- eʁo
vεʁ la piʁatə ɑ̃ fəzɑ̃ vɔle lə pistɔləʁo
ynə lytə ɛ̃fεʁnal sɑ̃ʃεna ɑ̃tʁə ləɔ̃ e la piʁatə
lε ku pləvε, il sɑ̃ filε, dɑ̃ lε vizaʒə, dɑ̃ la ʁatə
la piʁatə e ləɔ̃ yʁlε dε kʁi də dulœʁ
la pɔʁtə də la kabinə vɔlε ɑ̃n- ekla, e puʁ lœʁ malœʁ
il ʁulε dɑ̃ lεskalje ɑ̃ sə fʁapɑ̃
də ɡʁɑ̃ ku də puiŋ e də ʒənu, demɔlisɑ̃
la piʁatə lεz- ɔ̃ɡləz- ɑ̃n- avɑ̃ lasəʁε lə do də ləɔ̃
ʃakə tuʁ də lœʁ kɔʁ ki desɑ̃dε lεskalje
lə meɡo dy dø fœjə kwɛ̃sə ɑ̃tʁə lœʁ dø vɑ̃tʁə
lε bʁylε a sɑ̃, ʒyskə dɑ̃ lœʁz- ɑ̃tʁə
tusz- εksplozε syʁ lœʁ pasaʒə
lœʁ dɑ̃ seʁe kʁaʃε dε mo pa saʒə,
se a pø εtʁə lə ku k il ʁəsy a la tεtə ki ʁəmi lε nəʁɔnə
də kameleɔ̃ dɑ̃ εl istwaʁə u lə kɔʁsεʁə etε la piʁatə, sɛ̃tə madɔnə
u lεz- iø k il kʁwaza dɑ̃ la fyme də la pusjεʁə
la piʁatə lə flibystje e lə kɔʁsεʁə se etε sεtə famə, mizəʁə
alɔʁz- il sə mit a la leʃe fyʁjøzəmɑ̃,
sovaʒəmɑ̃
la kɔʁsεʁə, la flibystjəʁə e la famə
kaʁesε də la lɑ̃ɡ la po də ləɔ̃, lε dwaz- ekʁivɑ̃ ʒə tεmə
lœʁ bavə kulε syʁ lœʁ po kɔmə œ̃n- ɔ̃ɡe
œ̃n- ɔ̃ɡe kə lɔ̃ tʁuvə kə dɑ̃ lε pɔεmə də ləɔ̃,
lɔ̃tɑ̃z- apʁε lə deby də la mwasɔ̃
ləɔ̃ e la famə ʁəmɔ̃tε lə lɔ̃ dε klwazɔ̃,
dε myzik də dɑ̃sə də felɔ̃
la kɥisə dy kɔʁsεʁə pʁizə dɑ̃z- ynə mɛ̃ də ləɔ̃
kɔmə uvεʁtə ɑ̃ dø la flibystjəʁə kulε ! dɑ̃ lε fɔ̃ də la kɔkə, εllə lə vulε
lε vwalə pʁənε lə vɑ̃ e sa twazɔ̃ muje desinε dεz- ɥi dɑ̃ lεʁ
ləɔ̃ pʁi dε ʁis dɑ̃ la ʃəmizə, sɑ̃z- ɑ̃n- avwaʁ lεʁ
kɔ̃tinɥɑ̃ də leʃe lə ku də la famə, alətɑ̃
lε dø kɔʁ sə tɑ̃diʁe ɑ̃sɑ̃blə, tʁɑ̃spiʁɑ̃
sovaʒə mε sɑ̃sɥεllə
lœʁ kɔʁz- ɑ̃ vizɥεllə
puʁ pʁɑ̃dʁə lə tɑ̃ də pʁɔfite
dε dεʁnjεʁə vibʁasjɔ̃
kɔ̃plεtəmɑ̃ kame ləɔ̃
il εmε lə kɔʁsεʁə
il adɔʁε la flibystjəʁə
il seʁε la ʁɔtyʁjεʁə
kɔ̃plεtəmɑ̃ kame ləɔ̃
il ε
il ε