Poème:Les Grandes Forges

On court pour notre lard, sacrée dollars
Sans prendre de temps pour notre art

Je suce cette auréole qui entoure ton téton
Si bien, a l’abri, au creux de tes melons

Sur aucunes autres planètes,
On ne peu toucher ta peau

Je cache mon nez dans ta petite fleur
Pour m’enivrer de ton odeur

Seulement sur la terre
On peu sentir les parterres

Tendrement tu chante
Malicieusement tu me glisse dans ta fente

Dans la matière sur cette boule bleue
Cette vie terrestre, avant d’être feu

Des liquides me parlent de ton plaisir
Et me saoul de désir

On nage, on plane, on vole
Comme des anges, après les pôles

Dans ta matrice, je sens ton âme
Dans ce moment je voudrai que coulent mes larmes

Dans le ciel on s’aime aussi, mais comme une prière
C’est fait de lumière

Cintrant nos fesses fermes
Épiderme contre épiderme

Ici nos émotions prennent des couleurs
Pour la bas, voyager sans peur

Tous ces sens exciter, nos cœurs s’assemblent
Nous débordons ensemble…

Présent, ici, imtemporelle plus haut
Notre âme sera sans fourreau

Collé sur ton corps, encore relier
J’écoute ta paix, siffler