Poeme : Aimer
Aimer
Sur les forêts d’ordis, que hérissent les rameaux
Noués en cépées, accrochés aux rayons,
Tout à coup,
Un superbe rejet ne pourra s’oublier.
Le doute devient frondaison.
Regarder briller le drageon élude la question.
Alors aimer… Et la sève seule,
En cicatrisant ma mémoire, me fait dire le réel.
Noués en cépées, accrochés aux rayons,
Tout à coup,
Un superbe rejet ne pourra s’oublier.
Le doute devient frondaison.
Regarder briller le drageon élude la question.
Alors aimer… Et la sève seule,
En cicatrisant ma mémoire, me fait dire le réel.
Mortimer
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Poème en Phonétique
syʁ lε fɔʁε dɔʁdi, kə eʁise lε ʁamo
nuez- ɑ̃ sepe, akʁoʃez- o ʁεjɔ̃,
tut- a ku,
œ̃ sypεʁbə ʁəʒε nə puʁʁa sublje.
lə dutə dəvjɛ̃ fʁɔ̃dεzɔ̃.
ʁəɡaʁde bʁije lə dʁaʒɔ̃ elydə la kεstjɔ̃.
alɔʁz- εme… e la sεvə sələ,
ɑ̃ sikatʁizɑ̃ ma memwaʁə, mə fε diʁə lə ʁeεl.
nuez- ɑ̃ sepe, akʁoʃez- o ʁεjɔ̃,
tut- a ku,
œ̃ sypεʁbə ʁəʒε nə puʁʁa sublje.
lə dutə dəvjɛ̃ fʁɔ̃dεzɔ̃.
ʁəɡaʁde bʁije lə dʁaʒɔ̃ elydə la kεstjɔ̃.
alɔʁz- εme… e la sεvə sələ,
ɑ̃ sikatʁizɑ̃ ma memwaʁə, mə fε diʁə lə ʁeεl.