Poeme : Cruel Incendie

C’est une vraie désolation.
Les champs sont tout noirs et grillés
L’air chaud hâta la combustion.
La nature est toute brûlée.

Le feu s’est vite propagé.
Les habitants s’enfuient en larmes.
De leurs maisons tout en fumée.
Plus rien n’est résistant aux flammes.

Le feu à été très violent.
Les pompiers luttaient sans relâche.
Les brasiers brûlaient ardemment.
Rendant très pénibles leurs tâches.

Éteindre des flammes violentes.
S’avère vraiment difficile.
Lorsque l’ampleur est dominante.
Et surtout très inaccessible.

À travers ce cruel incendie.
Malheureusement ingérable.
Certains y ont laissé leurs vies.
Dans ce brasier immaîtrisable.

Saint-André, le 28 septembre 2021
Marie Nicaise LARTIN

sεt- ynə vʁε dezɔlasjɔ̃.
lε ʃɑ̃ sɔ̃ tu nwaʁz- e ɡʁije
lεʁ ʃo ata la kɔ̃bystjɔ̃.
la natyʁə ε tutə bʁyle.

lə fø sε vitə pʁɔpaʒe.
lεz- abitɑ̃ sɑ̃fɥje ɑ̃ laʁmə.
də lœʁ mεzɔ̃ tut- ɑ̃ fyme.
plys ʁjɛ̃ nε ʁezistɑ̃ o flamə.

lə fø a ete tʁε vjɔle.
lε pɔ̃pje lytε sɑ̃ ʁəlaʃə.
lε bʁazje bʁylε aʁdamɑ̃.
ʁɑ̃dɑ̃ tʁε peniblə lœʁ taʃə.

etɛ̃dʁə dε flamə vjɔlɑ̃tə.
savεʁə vʁεmɑ̃ difisilə.
lɔʁskə lɑ̃plœʁ ε dɔminɑ̃tə.
e syʁtu tʁεz- inaksesiblə.

a tʁavεʁ sə kʁyεl ɛ̃sɑ̃di.
maləʁøzəmɑ̃ ɛ̃ʒeʁablə.
sεʁtɛ̃z- i ɔ̃ lεse lœʁ vi.
dɑ̃ sə bʁazje imεtʁizablə.

sɛ̃ tɑ̃dʁe, lə vɛ̃t- ɥi sεptɑ̃bʁə dø milə vɛ̃t- e œ̃
maʁi nikεzə laʁtɛ̃