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Poeme : Les Oiseaux Migrateurs



Les Oiseaux Migrateurs

Doucement, les journées diminuent.
Le soleil est de plus en plus pâle.
L’Automne soudain est revenue,
Le vent souffle en rafales.

La bas, dans le nord,
Le froid sournoisement s’installe.
Des lacs, rivières et fjords,
Partent les oiseaux migrateurs.

Hésitants, volées après volées
Oies, canards, sarcelles et bécassines
Survolants nos paysages si variés,
Chaque année nous fascinent.

Immuables, leurs vols rectilignes,
Tracés dans leurs gênes d’antan,
En « Vé » ou bien en ligne,
Sillonnera le ciel au couchant.

Et après, terres mers et océans,
D’un ultime coup d’aile saccadé,
Les oiseaux par milliers rescapés,
Glissent vers le pays espéré
Patric

PostScriptum

LE VENT EST PASSE A L’EST, LES GRANDES MIGRATIONS DES OISEAUX A COMMENCE
L’HIVER SERA BIENTÔT LA


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Poème en Phonétique

dusəmɑ̃, lε ʒuʁne diminɥe.
lə sɔlεj ε də plysz- ɑ̃ plys palə.
lotɔmnə sudɛ̃ ε ʁəvənɥ,
lə vɑ̃ suflə ɑ̃ ʁafalə.

la ba, dɑ̃ lə nɔʁ,
lə fʁwa suʁnwazəmɑ̃ sɛ̃stalə.
dε lak, ʁivjεʁəz- e fʒɔʁd,
paʁte lεz- wazo miɡʁatœʁ.

ezitɑ̃, vɔlez- apʁε vɔle
wa, kanaʁd, saʁsεlləz- e bekasinə
syʁvɔlɑ̃ no pεizaʒə si vaʁje,
ʃakə ane nu fasine.

imɥablə, lœʁ vɔl ʁεktiliɲə,
tʁase dɑ̃ lœʁ ʒεnə dɑ̃tɑ̃,
ən « ve » u bjɛ̃ ɑ̃ liɲə,
sijɔnəʁa lə sjεl o kuʃɑ̃.

e apʁε, teʁə- mεʁz- e ɔseɑ̃,
dœ̃n- yltimə ku dεlə sakade,
lεz- wazo paʁ milje ʁεskape,
ɡlise vεʁ lə pεiz- εspeʁe