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Poeme : 166253 - Sans Titre



166253 - Sans Titre

Ma copine la solitude
Pourtant je n’épluchais pas d’oignons
En ce jour s’octobre super- ensoleillé
Moi je broyais du noir, avec ma compagne,
Miss solitude, on ne ce dispute jamais
Mais qu’est- ce qu’on s’emmerde,
Pourtant je n’épluchais pas d’oignons
Mais mes yeux ce voilaient et scintillaient
Je sentais sur mes joues les larmes couler
En ce samedi, le soleil faisait sortir les gens
Enlacés, sur ils ne se disent pas merde
Pourtant je n’épluchais pas d’oignons
Putain de cœur, pas solide et en plus sensible
A travers le bruit des voitures j’entends au loin
Des enfants chanter, crier, pleurer, rire, vivre quoi !
Ils jouent, sur, ils ne s’emmerdent pas.
Il fais beau, mais les nuits se rafraîchissent vite
Mon cœur me fait très mal, mais faut plus me lamenter
Prendre mon courage a deux main, et lever mon séant
Je n’ai plus d’oignons, et ce soir moi et ma solitude

On va pas s’emmerder et ce faire une bonne soupe a l’oignons
Pierre-Roger
10/10/2015
Pierrot12548

PostScriptum

Ma copine la solitude
Pourtant je n’épluchais pas d’oignons
En ce jour s’octobre super- ensoleillé
Moi je broyais du noir, avec ma compagne,
Miss solitude, on ne ce dispute jamais
Mais qu’est- ce qu’on s’emmerde,
Pourtant je n’épluchais pas d’oignons
Mais mes yeux ce voilaient et scintillaient
Je sentais sur mes joues les larmes couler
En ce samedi, le soleil faisait sortir les gens
Enlacés, sur ils ne se disent pas merde
Pourtant je n’épluchais pas d’oignons
Putain de coeur, pas solide et en plus sensible
A travers le bruit des voitures j’entends au loin
Des enfants chanter, crier, pleurer, rire, vivre quoi !
Ils jouent, sur, ils ne s’emmerdent pas.
Il fais beau, mais les nuits se rafraîchissent vite
Mon coeur me fait très mal, mais faut plus me lamenter
Prendre mon courage a deux main, et lever mon séant
Je n’ai plus d’oignons, et ce soir moi et ma solitude

On va pas s’emmerder et ce faire une bonne soupe a l’oignons
Pierre-Roger
10/10/2015


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Poème en Phonétique

ma kɔpinə la sɔlitydə
puʁtɑ̃ ʒə neplyʃε pa dɔɲɔ̃
ɑ̃ sə ʒuʁ sɔktɔbʁə sype ɑ̃sɔlεje
mwa ʒə bʁwajε dy nwaʁ, avεk ma kɔ̃paɲə,
mis sɔlitydə, ɔ̃ nə sə dispytə ʒamε
mε kε sə kɔ̃ samεʁdə,
puʁtɑ̃ ʒə neplyʃε pa dɔɲɔ̃
mε mεz- iø sə vwalε e sɛ̃tijε
ʒə sɑ̃tε syʁ mε ʒu lε laʁmə- kule
ɑ̃ sə samədi, lə sɔlεj fəzε sɔʁtiʁ lε ʒɑ̃
ɑ̃lase, syʁ il nə sə dize pa mεʁdə
puʁtɑ̃ ʒə neplyʃε pa dɔɲɔ̃
pytɛ̃ də kœʁ, pa sɔlidə e ɑ̃ plys sɑ̃siblə
a tʁavεʁ lə bʁɥi dε vwatyʁə ʒɑ̃tɑ̃z- o lwɛ̃
dεz- ɑ̃fɑ̃ ʃɑ̃te, kʁje, pləʁe, ʁiʁə, vivʁə kwa !
il ʒue, syʁ, il nə samεʁde pa.
il fε bo, mε lε nɥi sə ʁafʁεʃise vitə
mɔ̃ kœʁ mə fε tʁε mal, mε fo plys mə lamɑ̃te
pʁɑ̃dʁə mɔ̃ kuʁaʒə a dø mɛ̃, e ləve mɔ̃ seɑ̃
ʒə nε plys dɔɲɔ̃, e sə swaʁ mwa e ma sɔlitydə

ɔ̃ va pa samεʁde e sə fεʁə ynə bɔnə supə a lɔɲɔ̃
pjeʁə ʁɔʒe
di- slaʃ di- slaʃ dø milə kɛ̃zə