Texte : Après L’hiver Vient L’été.
A Propos
Un poème d’espoir.
Après L’hiver Vient L’été.
Quand tu es dans le gouffre du désespoir,
ne t’inquiète pas.
Résiste, crois-moi,
car il y a toujours un espoir.
Quand tu broies du noir,
quand tu n’y crois plus,
quand tu as le cafard,
tu auras le dessus.
La vie n’est pas facile,
accroche-toi au bout du fil.
Sur les roses sont les épines,
ne courbe jamais l’échine.
Descends de cette cime,
se suicider est un crime,
un crime contre soi-même.
Il y a toujours quelqu’un qui t’aime.
Vite, oublie tes mauvaises pensées.
Il y a toujours de l’espoir,
un ami quelque part.
À l’hiver succède l’été.
ne t’inquiète pas.
Résiste, crois-moi,
car il y a toujours un espoir.
Quand tu broies du noir,
quand tu n’y crois plus,
quand tu as le cafard,
tu auras le dessus.
La vie n’est pas facile,
accroche-toi au bout du fil.
Sur les roses sont les épines,
ne courbe jamais l’échine.
Descends de cette cime,
se suicider est un crime,
un crime contre soi-même.
Il y a toujours quelqu’un qui t’aime.
Vite, oublie tes mauvaises pensées.
Il y a toujours de l’espoir,
un ami quelque part.
À l’hiver succède l’été.
Poldereaux
PostScriptum
OK.
Pour mettre un commentaire
Poème en Phonétique
kɑ̃ ty ε dɑ̃ lə ɡufʁə dy dezεspwaʁ,
nə tɛ̃kjεtə pa.
ʁezistə, kʁwa mwa,
kaʁ il i a tuʒuʁz- œ̃n- εspwaʁ.
kɑ̃ ty bʁwa dy nwaʁ,
kɑ̃ ty ni kʁwa plys,
kɑ̃ ty a lə kafaʁ,
ty oʁa lə dəsy.
la vi nε pa fasilə,
akʁoʃə twa o bu dy fil.
syʁ lε ʁozə sɔ̃ lεz- epinə,
nə kuʁbə ʒamε leʃinə.
desɑ̃ də sεtə simə,
sə sɥiside εt- œ̃ kʁimə,
œ̃ kʁimə kɔ̃tʁə swa mεmə.
il i a tuʒuʁ kεlkœ̃ ki tεmə.
vitə, ubli tε movεzə pɑ̃se.
il i a tuʒuʁ də lεspwaʁ,
œ̃n- ami kεlkə paʁ.
a livεʁ syksεdə lete.
nə tɛ̃kjεtə pa.
ʁezistə, kʁwa mwa,
kaʁ il i a tuʒuʁz- œ̃n- εspwaʁ.
kɑ̃ ty bʁwa dy nwaʁ,
kɑ̃ ty ni kʁwa plys,
kɑ̃ ty a lə kafaʁ,
ty oʁa lə dəsy.
la vi nε pa fasilə,
akʁoʃə twa o bu dy fil.
syʁ lε ʁozə sɔ̃ lεz- epinə,
nə kuʁbə ʒamε leʃinə.
desɑ̃ də sεtə simə,
sə sɥiside εt- œ̃ kʁimə,
œ̃ kʁimə kɔ̃tʁə swa mεmə.
il i a tuʒuʁ kεlkœ̃ ki tεmə.
vitə, ubli tε movεzə pɑ̃se.
il i a tuʒuʁ də lεspwaʁ,
œ̃n- ami kεlkə paʁ.
a livεʁ syksεdə lete.