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Texte : Inégalité Sociale.



A Propos

Un poème.

Inégalité Sociale.

Cet amour de la vie qui t’anime,
cette joie de vivre, d’aimer,
sont manifestement les signes
d’une excellente santé.

Il suffit d’être bien né,
dans un milieu très favorable.
Des parents aimables,
avoir eu la chance de son côté.

Mais tous les orphelins,
les enfants de la DASS,
tous ceux dont le destin,
ne leur a laissé aucune place ?

Tous ces mendiants dans les rues,
ces gens qui pour cinq euros vous tuent.
Eux, ils n’ont pas eu ta chance,
d’où leur délinquance.

Va vers eux, parle-leur.
C’est un vrai bonheur.
Et puis tu te feras des amis sur le tard,
toi qui reste enfermé dans ta tour d’ivoire.
Poldereaux

PostScriptum

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Poème en Phonétique

sεt amuʁ də la vi ki tanimə,
sεtə ʒwa də vivʁə, dεme,
sɔ̃ manifεstəmɑ̃ lε siɲə
dynə εksεllɑ̃tə sɑ̃te.

il syfi dεtʁə bjɛ̃ ne,
dɑ̃z- œ̃ miljø tʁε favɔʁablə.
dε paʁɑ̃z- εmablə,
avwaʁ y la ʃɑ̃sə də sɔ̃ kote.

mε tus lεz- ɔʁfəlɛ̃,
lεz- ɑ̃fɑ̃ də la das,
tus sø dɔ̃ lə dεstɛ̃,
nə lœʁ a lεse okynə plasə ?

tus sε mɑ̃djɑ̃ dɑ̃ lε ʁy,
sε ʒɑ̃ ki puʁ sɛ̃k əʁo vu tɥe.
ø, il nɔ̃ pa y ta ʃɑ̃sə,
du lœʁ delɛ̃kɑ̃sə.

va vεʁz- ø, paʁlə lœʁ.
sεt- œ̃ vʁε bɔnœʁ.
e pɥi ty tə fəʁa dεz- ami syʁ lə taʁ,
twa ki ʁεstə ɑ̃fεʁme dɑ̃ ta tuʁ divwaʁə.