Texte : Une Heure, Un Été.
A Propos
Un poème.
Une Heure, Un Été.
La lumière luit, puis s’éteint,
la nuit succède au jour,
l’hiver à l’été, soudain,
la haine à l’amour.
Les braves gens
vivent simplement,
ils regardent les oiseaux voler,
ils les entendent chanter.
Ils sentent le délicat parfum des roses,
et sur les belles fleurs colorées,
leur doux regard se pose.
Ils sont toujours là pour vous aider.
Et puis un jour ils meurent,
les doigts sur le torse croisés.
C’est un jour, c’est une heure,
en été.
la nuit succède au jour,
l’hiver à l’été, soudain,
la haine à l’amour.
Les braves gens
vivent simplement,
ils regardent les oiseaux voler,
ils les entendent chanter.
Ils sentent le délicat parfum des roses,
et sur les belles fleurs colorées,
leur doux regard se pose.
Ils sont toujours là pour vous aider.
Et puis un jour ils meurent,
les doigts sur le torse croisés.
C’est un jour, c’est une heure,
en été.
Poldereaux
PostScriptum
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Poème en Phonétique
la lymjεʁə lɥi, pɥi setɛ̃,
la nɥi syksεdə o ʒuʁ,
livεʁ a lete, sudɛ̃,
la-εnə a lamuʁ.
lε bʁavə ʒɑ̃
vive sɛ̃pləmɑ̃,
il ʁəɡaʁde lεz- wazo vɔle,
il lεz- ɑ̃tɑ̃de ʃɑ̃te.
il sɑ̃te lə delika paʁfœ̃ dε ʁozə,
e syʁ lε bεllə flœʁ kɔlɔʁe,
lœʁ du ʁəɡaʁ sə pozə.
il sɔ̃ tuʒuʁ la puʁ vuz- εde.
e pɥiz- œ̃ ʒuʁ il məʁe,
lε dwa syʁ lə tɔʁsə kʁwaze.
sεt- œ̃ ʒuʁ, sεt- ynə œʁ,
ɑ̃n- ete.
la nɥi syksεdə o ʒuʁ,
livεʁ a lete, sudɛ̃,
la-εnə a lamuʁ.
lε bʁavə ʒɑ̃
vive sɛ̃pləmɑ̃,
il ʁəɡaʁde lεz- wazo vɔle,
il lεz- ɑ̃tɑ̃de ʃɑ̃te.
il sɑ̃te lə delika paʁfœ̃ dε ʁozə,
e syʁ lε bεllə flœʁ kɔlɔʁe,
lœʁ du ʁəɡaʁ sə pozə.
il sɔ̃ tuʒuʁ la puʁ vuz- εde.
e pɥiz- œ̃ ʒuʁ il məʁe,
lε dwa syʁ lə tɔʁsə kʁwaze.
sεt- œ̃ ʒuʁ, sεt- ynə œʁ,
ɑ̃n- ete.