Prose : Il Faut Un Debut À Tous
Il Faut Un Debut À Tous
Alors voilà tout commence un vendredi 13 octobre 1989, comme si j’avait pas plus naitre un 12 ou un 14 !
Une enfance classique avec des caprices de gamins, des rires, des pleurs, des noëls, des anniversaires des bougies qui ne s’éteigne pas ! Rien de bien triste jusque là tout aller bien, ca ce complique dès que j’arrive aux collèges. J’ai été au colle Perrot dablancourt, à chalons en champagne mes parents des lors avait visiblement autre chose à foutre que de s’occuper de moi. Alors à 11 ans sortir du contexte familial est être lâcher dans la grande ville moi qui à la base était campagnard vous en conviendrait ca n’a rien d’évidant. Tant pis j’été chez ma grand mère pour ma rentré en 6 Emme elle était gentille mes se préoccuper trop de moi comme toutes les grandes mères. La première journée ne fut pas facile je n’avais pas de repaire et ne connaissait personne mes cela ne me gêner pas plus que ca. Je détester être violent avec les autres collégiens qui se ficher de moi, oui forcement quand on ne rentre pas dans la norme on se prend plein la gueule. Mes bon je détester autant la violence que j’était impulsif j’avoue c’est très paradoxal. . Alors le mercredi de ma première semaine je fut convoqué chez le c p e qui me mis une mise à pied… je trouver ca décision injuste moi qui en avait 11 je me defender contre un garçon de 14 ans et simplement parce que c’est lui qui saigner je fut renvoyer 3 jours lamentable… durant c’est 3 jours j’avait pas mal de haine envers tout ces gens qui me disait d’aller le signaler un problème ou un différent, et sous prétexte que moi j’agissait et pas eux j’avait tord. Le soir même je partis faire une ballade à pied pour découvrir un peut cette grand ville que je n’avait vue simplement que derrière les carreaux de la voitures. Forcement à 11 ans mon père m’ayant quand même assez durement éduqué à ne faire confiance a personnes et taper le première quand il le fallait conseille sur les quelles j’étais entièrement d’accord et que j’appliquer. N’empêche que pour des adultes j’été vulnérable continuant ma marche je suis tombé sur quelques jeunes adultes qui m’appelle aux détours d’un immeuble. Ayant appris à être méfiant je ne répondis pas et continuera mes tout à coup c’est 4 adultes s’approchèrent de moi et commencèrent à me parler calmement. A 11 ans je fessais plus mature que les gamins de mon âge alors au début ca ne ma pas inquiéter je l’es écouter. Le temps passer mes je n’y prêtai pas attention, on été attable au bar d’en face et tout aller bien. Je passai la soirée avec eux et ensuite ils me raconpagniére chez ma grand-mère qui elle se fessait du mourront pour moi. Je lui expliquai l’histoire et elle n’y prêta pas attention.
En fin c est ce que je penser les deux autres jours qui suivit toujours exclut du collège je trainais avec ces jeunes ah oui le plus âgées avait 24 ans et les deux autres avait 22 ans. Je fus étonné de voir le charisme au prés des autres gens de cette citée pas très fréquentable on va dire. Je ne savais pas de ou il vener on parler rarement d’eux, je savais simplement leur âge et leur prénom et qu’il était toujours tout les 3 en général. Ensuite je repris les cours et c’est bête à dire mes ca ce passer bien personne ne me disait rien faut dire que je me saurai défendue malgré tous. Au fils du temps j’avais l’impression d’être pris sous leurs ailles on était 4 maintenant heureusement qu’il était là ma grand mère ayant parler à mes parents ca ne se passait plus bien alors de moi-même j’avait décider de fuguer en quelques sorte et je dorme maintenant chez l’un des 3 jeunes je ne me rendez pas compte mes j’ai fait les conneries de ne plus être scolarisé. Par la suite et très rapidement je compris qu’il fallait de l’argent et je ne voyer qu’une solution à ces 3 jeunes pour vivre il dealer et magouiller…
Bien sûr à 11 ans c’est moi-même qui les est suivie qui est fait comme eux. . Ca à duré pendant longtemps on avait des haut et des bas mes on s’en sortez et on était une famille unie. Forcement quand on fait ca on est conscient des risques je ne détaillerai et pas tout car ce n’est pas encore si vieux et ca laisse toujours des traces des blessures ouverte parce que on était amis et quoi qu’il était c’été vraiment des gens exceptionnel et remarquablement bien… voila comment j’ai perdue ma famille j’avais 14 ans 3 ans avec eux 3 ans sans nouvelle à ma famille 3 ans ou personne d’entre eux ce sont inquiéter comme quoi tout le monde s’en ficher…
Ensuite j’ai pas mal déraper âpres ca encore quelques années malgré que j’été en cours ca ma empêcher de faire des chose pas correcte. . Mes je regrette pas, et je ne me plaint pas et ne demande pas non plus de la pitié je veut simplement montre au gens qui me lise que rien n’est jamais facile peut importe qui on est et ou l’on se trouve… On ne peut pas nous juger si on n’a pas vécue sois même cela…
Une enfance classique avec des caprices de gamins, des rires, des pleurs, des noëls, des anniversaires des bougies qui ne s’éteigne pas ! Rien de bien triste jusque là tout aller bien, ca ce complique dès que j’arrive aux collèges. J’ai été au colle Perrot dablancourt, à chalons en champagne mes parents des lors avait visiblement autre chose à foutre que de s’occuper de moi. Alors à 11 ans sortir du contexte familial est être lâcher dans la grande ville moi qui à la base était campagnard vous en conviendrait ca n’a rien d’évidant. Tant pis j’été chez ma grand mère pour ma rentré en 6 Emme elle était gentille mes se préoccuper trop de moi comme toutes les grandes mères. La première journée ne fut pas facile je n’avais pas de repaire et ne connaissait personne mes cela ne me gêner pas plus que ca. Je détester être violent avec les autres collégiens qui se ficher de moi, oui forcement quand on ne rentre pas dans la norme on se prend plein la gueule. Mes bon je détester autant la violence que j’était impulsif j’avoue c’est très paradoxal. . Alors le mercredi de ma première semaine je fut convoqué chez le c p e qui me mis une mise à pied… je trouver ca décision injuste moi qui en avait 11 je me defender contre un garçon de 14 ans et simplement parce que c’est lui qui saigner je fut renvoyer 3 jours lamentable… durant c’est 3 jours j’avait pas mal de haine envers tout ces gens qui me disait d’aller le signaler un problème ou un différent, et sous prétexte que moi j’agissait et pas eux j’avait tord. Le soir même je partis faire une ballade à pied pour découvrir un peut cette grand ville que je n’avait vue simplement que derrière les carreaux de la voitures. Forcement à 11 ans mon père m’ayant quand même assez durement éduqué à ne faire confiance a personnes et taper le première quand il le fallait conseille sur les quelles j’étais entièrement d’accord et que j’appliquer. N’empêche que pour des adultes j’été vulnérable continuant ma marche je suis tombé sur quelques jeunes adultes qui m’appelle aux détours d’un immeuble. Ayant appris à être méfiant je ne répondis pas et continuera mes tout à coup c’est 4 adultes s’approchèrent de moi et commencèrent à me parler calmement. A 11 ans je fessais plus mature que les gamins de mon âge alors au début ca ne ma pas inquiéter je l’es écouter. Le temps passer mes je n’y prêtai pas attention, on été attable au bar d’en face et tout aller bien. Je passai la soirée avec eux et ensuite ils me raconpagniére chez ma grand-mère qui elle se fessait du mourront pour moi. Je lui expliquai l’histoire et elle n’y prêta pas attention.
En fin c est ce que je penser les deux autres jours qui suivit toujours exclut du collège je trainais avec ces jeunes ah oui le plus âgées avait 24 ans et les deux autres avait 22 ans. Je fus étonné de voir le charisme au prés des autres gens de cette citée pas très fréquentable on va dire. Je ne savais pas de ou il vener on parler rarement d’eux, je savais simplement leur âge et leur prénom et qu’il était toujours tout les 3 en général. Ensuite je repris les cours et c’est bête à dire mes ca ce passer bien personne ne me disait rien faut dire que je me saurai défendue malgré tous. Au fils du temps j’avais l’impression d’être pris sous leurs ailles on était 4 maintenant heureusement qu’il était là ma grand mère ayant parler à mes parents ca ne se passait plus bien alors de moi-même j’avait décider de fuguer en quelques sorte et je dorme maintenant chez l’un des 3 jeunes je ne me rendez pas compte mes j’ai fait les conneries de ne plus être scolarisé. Par la suite et très rapidement je compris qu’il fallait de l’argent et je ne voyer qu’une solution à ces 3 jeunes pour vivre il dealer et magouiller…
Bien sûr à 11 ans c’est moi-même qui les est suivie qui est fait comme eux. . Ca à duré pendant longtemps on avait des haut et des bas mes on s’en sortez et on était une famille unie. Forcement quand on fait ca on est conscient des risques je ne détaillerai et pas tout car ce n’est pas encore si vieux et ca laisse toujours des traces des blessures ouverte parce que on était amis et quoi qu’il était c’été vraiment des gens exceptionnel et remarquablement bien… voila comment j’ai perdue ma famille j’avais 14 ans 3 ans avec eux 3 ans sans nouvelle à ma famille 3 ans ou personne d’entre eux ce sont inquiéter comme quoi tout le monde s’en ficher…
Ensuite j’ai pas mal déraper âpres ca encore quelques années malgré que j’été en cours ca ma empêcher de faire des chose pas correcte. . Mes je regrette pas, et je ne me plaint pas et ne demande pas non plus de la pitié je veut simplement montre au gens qui me lise que rien n’est jamais facile peut importe qui on est et ou l’on se trouve… On ne peut pas nous juger si on n’a pas vécue sois même cela…
Riukan
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Poème en Phonétique
alɔʁ vwala tu kɔmɑ̃sə œ̃ vɑ̃dʁədi tʁεzə ɔktɔbʁə milə nəf sɑ̃ katʁə vɛ̃- nəf, kɔmə si ʒavε pa plys nεtʁə œ̃ duzə u œ̃ katɔʁzə !
ynə ɑ̃fɑ̃sə klasikə avεk dε kapʁisə də ɡamɛ̃, dε ʁiʁə, dε plœʁ, dε nɔεl, dεz- anivεʁsεʁə dε buʒi ki nə setεɲə pa ! ʁjɛ̃ də bjɛ̃ tʁistə ʒyskə la tut- ale bjɛ̃, ka sə kɔ̃plikə dε kə ʒaʁivə o kɔlεʒə. ʒε ete o kɔlə peʁo dablɑ̃kuʁ, a ʃalɔ̃z- ɑ̃ ʃɑ̃paɲə mε paʁɑ̃ dε lɔʁz- avε vizibləmɑ̃ otʁə ʃozə a futʁə kə də sɔkype də mwa. alɔʁz- a ɔ̃zə ɑ̃ sɔʁtiʁ dy kɔ̃tεkstə familjal εt- εtʁə laʃe dɑ̃ la ɡʁɑ̃də vilə mwa ki a la bazə etε kɑ̃paɲaʁ vuz- ɑ̃ kɔ̃vjɛ̃dʁε ka na ʁjɛ̃ devidɑ̃. tɑ̃ pi ʒete ʃe ma ɡʁɑ̃ mεʁə puʁ ma ʁɑ̃tʁe ɑ̃ siz- amə εllə etε ʒɑ̃tijə mε sə pʁeɔkype tʁo də mwa kɔmə tutə lε ɡʁɑ̃də mεʁə. la pʁəmjεʁə ʒuʁne nə fy pa fasilə ʒə navε pa də ʁəpεʁə e nə kɔnεsε pεʁsɔnə mε səla nə mə ʒεne pa plys kə ka. ʒə detεste εtʁə vjɔle avεk lεz- otʁə- kɔleʒjɛ̃ ki sə fiʃe də mwa, ui fɔʁsəmɑ̃ kɑ̃t- ɔ̃ nə ʁɑ̃tʁə pa dɑ̃ la nɔʁmə ɔ̃ sə pʁɑ̃ plɛ̃ la ɡələ. mε bɔ̃ ʒə detεste otɑ̃ la vjɔlɑ̃sə kə ʒetε ɛ̃pylsif ʒavu sε tʁε paʁadɔksal. alɔʁ lə mεʁkʁədi də ma pʁəmjεʁə səmεnə ʒə fy kɔ̃vɔke ʃe lə se pe ə ki mə miz- ynə mizə a pje… ʒə tʁuve ka desizjɔ̃ ɛ̃ʒystə mwa ki ɑ̃n- avε ɔ̃zə ʒə mə dəfɑ̃de kɔ̃tʁə œ̃ ɡaʁsɔ̃ də katɔʁzə ɑ̃ e sɛ̃pləmɑ̃ paʁsə kə sε lɥi ki sεɲe ʒə fy ʁɑ̃vwaje tʁwa ʒuʁ lamɑ̃tablə… dyʁɑ̃ sε tʁwa ʒuʁ ʒavε pa mal də-εnə ɑ̃vεʁ tu sε ʒɑ̃ ki mə dizε dale lə siɲale œ̃ pʁɔblεmə u œ̃ difeʁɑ̃, e su pʁetεkstə kə mwa ʒaʒisε e pa ø ʒavε tɔʁ. lə swaʁ mεmə ʒə paʁti fεʁə ynə baladə a pje puʁ dekuvʁiʁ œ̃ pø sεtə ɡʁɑ̃ vilə kə ʒə navε vɥ sɛ̃pləmɑ̃ kə dəʁjεʁə lε kaʁo də la vwatyʁə. fɔʁsəmɑ̃ a ɔ̃zə ɑ̃ mɔ̃ pεʁə mεjɑ̃ kɑ̃ mεmə ase dyʁəmɑ̃ edyke a nə fεʁə kɔ̃fjɑ̃sə a pεʁsɔnəz- e tape lə pʁəmjεʁə kɑ̃t- il lə falε kɔ̃sεjə syʁ lε kεllə ʒetεz- ɑ̃tjεʁəmɑ̃ dakɔʁ e kə ʒaplike. nɑ̃pεʃə kə puʁ dεz- adyltə ʒete vylneʁablə kɔ̃tinɥɑ̃ ma maʁʃə ʒə sɥi tɔ̃be syʁ kεlk ʒənəz- adyltə ki mapεllə o detuʁ dœ̃n- iməblə. εjɑ̃ apʁiz- a εtʁə mefjɑ̃ ʒə nə ʁepɔ̃di pa e kɔ̃tinɥəʁa mε tut- a ku sε katʁə adyltə sapʁoʃεʁe də mwa e kɔmɑ̃sεʁe a mə paʁle kalməmɑ̃. a ɔ̃zə ɑ̃ ʒə fesε plys matyʁə kə lε ɡamɛ̃ də mɔ̃n- aʒə alɔʁz- o deby ka nə ma pa ɛ̃kjete ʒə lε ekute. lə tɑ̃ pase mε ʒə ni pʁεtε pa atɑ̃sjɔ̃, ɔ̃n- ete atablə o baʁ dɑ̃ fasə e tut- ale bjɛ̃. ʒə pasε la swaʁe avεk øz- e ɑ̃sɥitə il mə ʁakɔ̃paɲjeʁə ʃe ma ɡʁɑ̃ mεʁə ki εllə sə fesε dy muʁʁɔ̃ puʁ mwa. ʒə lɥi εksplikε listwaʁə e εllə ni pʁεta pa atɑ̃sjɔ̃.
ɑ̃ fɛ̃ se ε sə kə ʒə pɑ̃se lε døz- otʁə- ʒuʁ ki sɥivi tuʒuʁz- εkskly dy kɔlεʒə ʒə tʁεnεz- avεk sε ʒənəz- a ui lə plysz- aʒez- avε vɛ̃t- katʁə ɑ̃ e lε døz- otʁəz- avε vɛ̃t- døz- ɑ̃. ʒə fy etɔne də vwaʁ lə ʃaʁismə o pʁe dεz- otʁə- ʒɑ̃ də sεtə site pa tʁε fʁekɑ̃tablə ɔ̃ va diʁə. ʒə nə savε pa də u il vəne ɔ̃ paʁle ʁaʁəmɑ̃ dø, ʒə savε sɛ̃pləmɑ̃ lœʁ aʒə e lœʁ pʁenɔ̃ e kil etε tuʒuʁ tu lε tʁwaz- ɑ̃ ʒeneʁal. ɑ̃sɥitə ʒə ʁəpʁi lε kuʁz- e sε bεtə a diʁə mε ka sə pase bjɛ̃ pεʁsɔnə nə mə dizε ʁjɛ̃ fo diʁə kə ʒə mə soʁε defɑ̃dɥ malɡʁe tus. o fis dy tɑ̃ ʒavε lɛ̃pʁesjɔ̃ dεtʁə pʁi su lœʁz- ajəz- ɔ̃n- etε katʁə mɛ̃tənɑ̃ œʁøzəmɑ̃ kil etε la ma ɡʁɑ̃ mεʁə εjɑ̃ paʁle a mε paʁɑ̃ ka nə sə pasε plys bjɛ̃ alɔʁ də mwa mεmə ʒavε deside də fyɡe ɑ̃ kεlk sɔʁtə e ʒə dɔʁmə mɛ̃tənɑ̃ ʃe lœ̃ dε tʁwa ʒənə ʒə nə mə ʁɑ̃de pa kɔ̃tə mε ʒε fε lε kɔnəʁi də nə plysz- εtʁə skɔlaʁize. paʁ la sɥitə e tʁε ʁapidəmɑ̃ ʒə kɔ̃pʁi kil falε də laʁʒe e ʒə nə vwaje kynə sɔlysjɔ̃ a sε tʁwa ʒənə puʁ vivʁə il dəale e maɡuje…
bjɛ̃ syʁ a ɔ̃zə ɑ̃ sε mwa mεmə ki lεz- ε sɥivi ki ε fε kɔmə ø. ka a dyʁe pɑ̃dɑ̃ lɔ̃tɑ̃z- ɔ̃n- avε dεz- o e dε ba mεz- ɔ̃ sɑ̃ sɔʁtez- e ɔ̃n- etε ynə famijə yni. fɔʁsəmɑ̃ kɑ̃t- ɔ̃ fε ka ɔ̃n- ε kɔ̃sjɑ̃ dε ʁisk ʒə nə detajʁε e pa tu kaʁ sə nε pa ɑ̃kɔʁə si vjøz- e ka lεsə tuʒuʁ dε tʁasə dε blesyʁəz- uvεʁtə paʁsə kə ɔ̃n- etε amiz- e kwa kil etε sete vʁεmɑ̃ dε ʒɑ̃z- εksεpsjɔnεl e ʁəmaʁkabləmɑ̃ bjɛ̃… vwala kɔmɑ̃ ʒε pεʁdɥ ma famijə ʒavε katɔʁzə ɑ̃ tʁwaz- ɑ̃ avεk ø tʁwaz- ɑ̃ sɑ̃ nuvεllə a ma famijə tʁwaz- ɑ̃ u pεʁsɔnə dɑ̃tʁə ø sə sɔ̃t- ɛ̃kjete kɔmə kwa tu lə mɔ̃də sɑ̃ fiʃe…
ɑ̃sɥitə ʒε pa mal deʁape apʁə- ka ɑ̃kɔʁə kεlkz- ane malɡʁe kə ʒete ɑ̃ kuʁ ka ma ɑ̃pεʃe də fεʁə dε ʃozə pa kɔʁεktə. mε ʒə ʁəɡʁεtə pa, e ʒə nə mə plɛ̃ pa e nə dəmɑ̃də pa nɔ̃ plys də la pitje ʒə vø sɛ̃pləmɑ̃ mɔ̃tʁə o ʒɑ̃ ki mə lizə kə ʁjɛ̃ nε ʒamε fasilə pø ɛ̃pɔʁtə ki ɔ̃n- εt- e u lɔ̃ sə tʁuvə… ɔ̃ nə pø pa nu ʒyʒe si ɔ̃ na pa vekɥ swa mεmə səla…
ynə ɑ̃fɑ̃sə klasikə avεk dε kapʁisə də ɡamɛ̃, dε ʁiʁə, dε plœʁ, dε nɔεl, dεz- anivεʁsεʁə dε buʒi ki nə setεɲə pa ! ʁjɛ̃ də bjɛ̃ tʁistə ʒyskə la tut- ale bjɛ̃, ka sə kɔ̃plikə dε kə ʒaʁivə o kɔlεʒə. ʒε ete o kɔlə peʁo dablɑ̃kuʁ, a ʃalɔ̃z- ɑ̃ ʃɑ̃paɲə mε paʁɑ̃ dε lɔʁz- avε vizibləmɑ̃ otʁə ʃozə a futʁə kə də sɔkype də mwa. alɔʁz- a ɔ̃zə ɑ̃ sɔʁtiʁ dy kɔ̃tεkstə familjal εt- εtʁə laʃe dɑ̃ la ɡʁɑ̃də vilə mwa ki a la bazə etε kɑ̃paɲaʁ vuz- ɑ̃ kɔ̃vjɛ̃dʁε ka na ʁjɛ̃ devidɑ̃. tɑ̃ pi ʒete ʃe ma ɡʁɑ̃ mεʁə puʁ ma ʁɑ̃tʁe ɑ̃ siz- amə εllə etε ʒɑ̃tijə mε sə pʁeɔkype tʁo də mwa kɔmə tutə lε ɡʁɑ̃də mεʁə. la pʁəmjεʁə ʒuʁne nə fy pa fasilə ʒə navε pa də ʁəpεʁə e nə kɔnεsε pεʁsɔnə mε səla nə mə ʒεne pa plys kə ka. ʒə detεste εtʁə vjɔle avεk lεz- otʁə- kɔleʒjɛ̃ ki sə fiʃe də mwa, ui fɔʁsəmɑ̃ kɑ̃t- ɔ̃ nə ʁɑ̃tʁə pa dɑ̃ la nɔʁmə ɔ̃ sə pʁɑ̃ plɛ̃ la ɡələ. mε bɔ̃ ʒə detεste otɑ̃ la vjɔlɑ̃sə kə ʒetε ɛ̃pylsif ʒavu sε tʁε paʁadɔksal. alɔʁ lə mεʁkʁədi də ma pʁəmjεʁə səmεnə ʒə fy kɔ̃vɔke ʃe lə se pe ə ki mə miz- ynə mizə a pje… ʒə tʁuve ka desizjɔ̃ ɛ̃ʒystə mwa ki ɑ̃n- avε ɔ̃zə ʒə mə dəfɑ̃de kɔ̃tʁə œ̃ ɡaʁsɔ̃ də katɔʁzə ɑ̃ e sɛ̃pləmɑ̃ paʁsə kə sε lɥi ki sεɲe ʒə fy ʁɑ̃vwaje tʁwa ʒuʁ lamɑ̃tablə… dyʁɑ̃ sε tʁwa ʒuʁ ʒavε pa mal də-εnə ɑ̃vεʁ tu sε ʒɑ̃ ki mə dizε dale lə siɲale œ̃ pʁɔblεmə u œ̃ difeʁɑ̃, e su pʁetεkstə kə mwa ʒaʒisε e pa ø ʒavε tɔʁ. lə swaʁ mεmə ʒə paʁti fεʁə ynə baladə a pje puʁ dekuvʁiʁ œ̃ pø sεtə ɡʁɑ̃ vilə kə ʒə navε vɥ sɛ̃pləmɑ̃ kə dəʁjεʁə lε kaʁo də la vwatyʁə. fɔʁsəmɑ̃ a ɔ̃zə ɑ̃ mɔ̃ pεʁə mεjɑ̃ kɑ̃ mεmə ase dyʁəmɑ̃ edyke a nə fεʁə kɔ̃fjɑ̃sə a pεʁsɔnəz- e tape lə pʁəmjεʁə kɑ̃t- il lə falε kɔ̃sεjə syʁ lε kεllə ʒetεz- ɑ̃tjεʁəmɑ̃ dakɔʁ e kə ʒaplike. nɑ̃pεʃə kə puʁ dεz- adyltə ʒete vylneʁablə kɔ̃tinɥɑ̃ ma maʁʃə ʒə sɥi tɔ̃be syʁ kεlk ʒənəz- adyltə ki mapεllə o detuʁ dœ̃n- iməblə. εjɑ̃ apʁiz- a εtʁə mefjɑ̃ ʒə nə ʁepɔ̃di pa e kɔ̃tinɥəʁa mε tut- a ku sε katʁə adyltə sapʁoʃεʁe də mwa e kɔmɑ̃sεʁe a mə paʁle kalməmɑ̃. a ɔ̃zə ɑ̃ ʒə fesε plys matyʁə kə lε ɡamɛ̃ də mɔ̃n- aʒə alɔʁz- o deby ka nə ma pa ɛ̃kjete ʒə lε ekute. lə tɑ̃ pase mε ʒə ni pʁεtε pa atɑ̃sjɔ̃, ɔ̃n- ete atablə o baʁ dɑ̃ fasə e tut- ale bjɛ̃. ʒə pasε la swaʁe avεk øz- e ɑ̃sɥitə il mə ʁakɔ̃paɲjeʁə ʃe ma ɡʁɑ̃ mεʁə ki εllə sə fesε dy muʁʁɔ̃ puʁ mwa. ʒə lɥi εksplikε listwaʁə e εllə ni pʁεta pa atɑ̃sjɔ̃.
ɑ̃ fɛ̃ se ε sə kə ʒə pɑ̃se lε døz- otʁə- ʒuʁ ki sɥivi tuʒuʁz- εkskly dy kɔlεʒə ʒə tʁεnεz- avεk sε ʒənəz- a ui lə plysz- aʒez- avε vɛ̃t- katʁə ɑ̃ e lε døz- otʁəz- avε vɛ̃t- døz- ɑ̃. ʒə fy etɔne də vwaʁ lə ʃaʁismə o pʁe dεz- otʁə- ʒɑ̃ də sεtə site pa tʁε fʁekɑ̃tablə ɔ̃ va diʁə. ʒə nə savε pa də u il vəne ɔ̃ paʁle ʁaʁəmɑ̃ dø, ʒə savε sɛ̃pləmɑ̃ lœʁ aʒə e lœʁ pʁenɔ̃ e kil etε tuʒuʁ tu lε tʁwaz- ɑ̃ ʒeneʁal. ɑ̃sɥitə ʒə ʁəpʁi lε kuʁz- e sε bεtə a diʁə mε ka sə pase bjɛ̃ pεʁsɔnə nə mə dizε ʁjɛ̃ fo diʁə kə ʒə mə soʁε defɑ̃dɥ malɡʁe tus. o fis dy tɑ̃ ʒavε lɛ̃pʁesjɔ̃ dεtʁə pʁi su lœʁz- ajəz- ɔ̃n- etε katʁə mɛ̃tənɑ̃ œʁøzəmɑ̃ kil etε la ma ɡʁɑ̃ mεʁə εjɑ̃ paʁle a mε paʁɑ̃ ka nə sə pasε plys bjɛ̃ alɔʁ də mwa mεmə ʒavε deside də fyɡe ɑ̃ kεlk sɔʁtə e ʒə dɔʁmə mɛ̃tənɑ̃ ʃe lœ̃ dε tʁwa ʒənə ʒə nə mə ʁɑ̃de pa kɔ̃tə mε ʒε fε lε kɔnəʁi də nə plysz- εtʁə skɔlaʁize. paʁ la sɥitə e tʁε ʁapidəmɑ̃ ʒə kɔ̃pʁi kil falε də laʁʒe e ʒə nə vwaje kynə sɔlysjɔ̃ a sε tʁwa ʒənə puʁ vivʁə il dəale e maɡuje…
bjɛ̃ syʁ a ɔ̃zə ɑ̃ sε mwa mεmə ki lεz- ε sɥivi ki ε fε kɔmə ø. ka a dyʁe pɑ̃dɑ̃ lɔ̃tɑ̃z- ɔ̃n- avε dεz- o e dε ba mεz- ɔ̃ sɑ̃ sɔʁtez- e ɔ̃n- etε ynə famijə yni. fɔʁsəmɑ̃ kɑ̃t- ɔ̃ fε ka ɔ̃n- ε kɔ̃sjɑ̃ dε ʁisk ʒə nə detajʁε e pa tu kaʁ sə nε pa ɑ̃kɔʁə si vjøz- e ka lεsə tuʒuʁ dε tʁasə dε blesyʁəz- uvεʁtə paʁsə kə ɔ̃n- etε amiz- e kwa kil etε sete vʁεmɑ̃ dε ʒɑ̃z- εksεpsjɔnεl e ʁəmaʁkabləmɑ̃ bjɛ̃… vwala kɔmɑ̃ ʒε pεʁdɥ ma famijə ʒavε katɔʁzə ɑ̃ tʁwaz- ɑ̃ avεk ø tʁwaz- ɑ̃ sɑ̃ nuvεllə a ma famijə tʁwaz- ɑ̃ u pεʁsɔnə dɑ̃tʁə ø sə sɔ̃t- ɛ̃kjete kɔmə kwa tu lə mɔ̃də sɑ̃ fiʃe…
ɑ̃sɥitə ʒε pa mal deʁape apʁə- ka ɑ̃kɔʁə kεlkz- ane malɡʁe kə ʒete ɑ̃ kuʁ ka ma ɑ̃pεʃe də fεʁə dε ʃozə pa kɔʁεktə. mε ʒə ʁəɡʁεtə pa, e ʒə nə mə plɛ̃ pa e nə dəmɑ̃də pa nɔ̃ plys də la pitje ʒə vø sɛ̃pləmɑ̃ mɔ̃tʁə o ʒɑ̃ ki mə lizə kə ʁjɛ̃ nε ʒamε fasilə pø ɛ̃pɔʁtə ki ɔ̃n- εt- e u lɔ̃ sə tʁuvə… ɔ̃ nə pø pa nu ʒyʒe si ɔ̃ na pa vekɥ swa mεmə səla…