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Prose : 7 Églises D’apocalypse Est L’humanité, Part 2 Fin



7 Églises D’apocalypse Est L’humanité, Part 2 Fin

  1. Maintenant il en reste à expliquer seulement encore une église de 7. L’église de Thyatire - la 4ème dans le texte - c’est le protestantisme traditionnel de la Réforme (qu’on peut nommer christocentrique dans un sens) . Ce n’est pas une division sectaire (comme Sardes) par rapport à la Chrétienté traditionnelle. Mais comme avec le temps s’est produite de plus en plus évidente l’erreur chez les Catholiques. La perte partielle de vertu l’orthodoxie dans l’église Catholique romaine séparée (c’est-à-dire à Pergame) . Où s’est accumulé le déchet d’erreurs théologiques et pratiques (même institutionnalisées comme l’inquisition nicolaïte) . Et on ne pouvait plus faire taire ce fait d’injustice (les nicolaïtes faisaient même ce que les païens ne peuvent pas supporter) . Luther disait lui-même « je ne suis que l’ânesse de Balaam » (par rapport à Balaam de Pergame de la lignée de Caïphe et Richelieu) . Et au moins en partie Luther avait raison de le dire. Un peu comme un « fou en Christ », « ânesse » chez les Orthodoxes. Avec les questions et la problématique de retour vers la voie de vertu d’orthodoxie (« droit chemin » la traduction du mot grecque) . Mais les réponses de Luther étaient souvent loin eux-mêmes de l’orthodoxie, mais déviées dans l’autre sens opposé que chez les nicolaïtes de Pergame (par rapport à des erreurs chez les catholiques romains) . D’ailleurs dans le texte d’Apocalypse Jésus promet l’étoile du matin pour ceux qui L’entendent à Thyatire : l’étoile-phare qui montre le chemin en fin de nuit avant le matin (quand la Réforme s’est produite en histoire déjà bien tard) pour « l’ânesse ». « Mon cœur sera votre refuge et le chemin vers mon Fils » dit la Vierge à Fatima aux petits pâtres de même. .
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    -Car il s’agit par l’Étoile du Matin de retrouver la justesse à travers le chas d’aiguille. Et non pas protester en niant tout. L’Odigitria Marie (qui montre le chemin en grecque) mieux que la statue de la liberté, L’Étoile qui fait monter le Soleil de Justice et Justesse - Jésus. Reine de la Paix de Medjugorje. Sans provoquer des conflits sanguinaires de deux côtés. Car vous êtes des frères (Moïse le disait aux israélites en bagarre) . Les catholiques et protestants à l’Occident.
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    -Alors Marie Étoile du Matin sans aucun péché et par conséquence non pas une esclave du péché. La vraie liberté est dans son « oui » à Dieu-Amour-Créateur (devenu son Fils) . La liberté religieuse est la problématique de la Réforme. Avec la statue de la Liberté dans le plus grand pays protestant. Par contre la fausse liberté selon ce monde c’est la femme Jézabel qui agit méchamment à Thyatire selon l’Apocalypse. En fait c’est la loge des francs-maçons (franc ici - affranchi, libre) . La statue de liberté elle-même est un cadeau des maçons français aux fondateurs des États-Unis historiquement. La loge à la base des révolutions (comme la partie communiste sa fille plus tard en Russie) occidentales. Avec la forte influence sur l’idéologie moderniste et post-moderniste. Quand le choix politique en occident en réalité n’est qu’une nuance entre des fractions de la même idéologie maçonne. Qui contrôle en partie le climat de la société. Pourtant ce contrôle ce n’est pas le pouvoir direct « masculin », mais songeassent « féminin » à travers la mode établie, suggestions idéologiques ou la diffamation acharnée émotionnelle comme chez Jézabel contre Nabaot (Ancien Testament) . Nabaot gardant la tradition des saints pères comme la vigne de la terre promise, le phare, et comme Abel gardien de ses frères et sœurs. Le sacrement entre autres comme le mariage non sodomite par exemple.
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    -La Vierge Marie à Medjugorje et lors des apparitions récentes en région parisienne a appelé les francs-maçons « les gens qui cherche Mon Fils non pas pour être sauvés par Lui, mais pour Le tuer, serviteurs de Satan ». Idoles d’eux-mêmes auto-élus en cercle ésotérique. Cherchant à tuer Jésus, l’Innocence dans les petits, séduire. Construisant une pyramide financière sur le « sang » - l’énergie des âmes, comme des vampires de séductions promptes à intriguer à mort contre des insoumis (vraiment libres) comme Jézabel. Des banquiers sachant gagner les 30 pièces d’argent. Qui cherchent le Verbe, Logos, Raison pour tuer comme Jézabel. Qui complotait aussi contre Élie. Et après comme Hérodiade contre Jean Baptiste. Des étudiants de la Bible pour apprendre mieux le chemin de Judas Iscariote.
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    -En Occident en général c’est « le côté obscure de la force » chez Balaam de Pergame et Jézabel de Thyatire (le pouvoir casuiste et fausse liberté avec une fausse indulgence mutuelle) . Comme Richelieu et Milady Winter. Saphire et Ananias finalement (Actes des Apôtres) entrés non pas par la Porte du Cœur de Jésus et Marie. Comme Jézabel historique la reine étrangère qui cherchait régner dans l’héritage divin. Comme la loge dans l’église et les sociétés et peuples chrétiens. L’épée et la barre en fer.
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    -Par contre contrairement aux sectes de Sardes avec le sacrifice de prêche non reçu des situés dans l’éloignement de Caïn (sauf quelques bons samaritains) . On peut voir dans les peuples de la Réforme le christianisme traditionnel du Nord-Ouest (comme chez les Catholiques le Christianisme du monde latin et chez les Orthodoxes des grecques et slaves ou du proche Orient) . Avec son propre don parmi les offrandes des rois-mages (des cultures païennes) au Noël. Ici dans la Réforme comme chez Luther on voit la problématique de Liberté et de rapport entre la Foi et Actes. Dans le bon sens c’est comme chez Nabaot travaillant dans la vigne des Pères (portant sa Croix) et aidant Jésus sur ce chemin. Persévérant. Libre à ne pas se soumettre à Achab et Jézabel (3ème livre des Rois) . Passant par le chas d’aiguille en s’ajustant avec le temps par la persévérance sincère. Dans la main de l’Étoile de Matin, Odigitria - Vierge qui montre le Chemin - Son Fils. Mais pas à Hérodiade.
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    -Alors cet ange potentiellement fort par la liberté et service. Jésus lui promet le bâton en fer pour juger les nations. Dans ses mains (les mains et poitrine comme la partie du corps du Christ commun, le cœur travaillant) . Alors c’est bien de comparer cet ange au Juge Samson fort avec une mâchoire d’an (« ânesse de Balaam ») dans ses mains comme l’arme à bien protester contre le prince de ce monde. Sans reconnaître la primauté du cœur d’Esaü-Richelieu. Samson par l’Inspiration Divine prend une femme de Philistie malgré la lettre de loi (ânesse non-obéissante) . La Philistie autour Israël signifie ce monde. Samson épouse comme une aide pour soi la liberté de ce monde. Pour répondre franchement à ce monde - les philistins envahissant l’église catholique et le reste de la société. Mais s’il utilise en mal cette liberté laïque, elle reçoit la force de le malmener dans les profondeurs de satan. L’utiliser comme l’arme à réaliser ses diffamations de Jézabel contre les saints et petits. Vole la couronne de ses cheveux-pensées d’un nazaréen (voir moine comme Luther en particulier) et il donne des fausses réponses sans l’huile dans le lampadaire des yeux du cœur. Sans le fil d’Ariadne (fidélité conjugale en grecque) - l’espérance de retrouver l’Étoile de Matin dans ce labyrinthe de ce monde.
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    -De même on retrouve chez Calvin et Luther le résidu d’erreur ésotérique (maçonnique) . Chez Calvin dans la pré-élection déterminée pour des élus (comme à la loge maçonne derrière des coulisses et dans l’obscurité profonde) et le reste des gens exotérique non-sauvé. Tandis que Luther mal-interprète St Paul sur la foi comme un don ésothérique en soi (sans pré-connaissance par L’Amour sans violer la virginité de la liberté, volonté propre - la naissance de la foi dans le cœur de Marie avec tous les petits) . Ésotérisme « horizontal » chez Calvin (dans le rapport entre les gens) et « vertical » chez Luther (dans le rapport entre homme et Dieu) . Cela forme une fausse croix et une fausse balance de jugement. Pourtant avec le temps sur le chemin de la vraie croix Samson retrouve ses cheveux, couverture, couronne. Comme l’étoile du matin. Et la vraie liberté et élection en « Oui » intelligente de la Vierge Marie. Le « Oui » né par amour mutuel. Prévu par Dieu-Amour humble qui ne rompe pas la porte de la virginité de liberté de choix.
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    16. Alors on voit le côté obscur institutionnalisé en partie en Occident (et non-institutionnalisé dans les églises d’Orient) . Achab (comme Balaam-Richelieu inquisiteur et faux avocat et Richelieu-Balaq intriguant) avec Jézabel loge. Comme les candidats en président en France des principales parties passent par l’approbation du grand maître du « Grand Orient » (la plus grande loge en France) avant de commencer le « tournoi » électoral.
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    -Par contre en Orient le côté laïque est aussi historiquement largement déformé comme le joug d’esclavage au-delà d’héritage païen à dépasser (comme en Byzance et Russie « les 10 jours de prison » de l’ange de Smyrne) . Avec la déformation institutionnalisée dans l’espace laïque par la réunion des faux frères « faux-juifs » mentionnés pour les églises de Smyrne et Philadelphie - les églises d’Orient.
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    -Métaphoriquement cela représente la lèpre sur des files horizontaux et verticaux de tissus. La malignité de cette lèpre d’ivraie devaient reconnaître les prêtres en Ancien Testament. Alors en Occident la lèpre tachetée touche ensemble le vertical et horizontal (en Balaam, Balaq, nicolaïtes, Jézabel) . Et en Orient assez largement, mais seulement l’horizontal en raies. Un peu comme léopard (hyène - Jézabel) et tigre - le prince de ce monde pharisien avec ses têtes en attaque.
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    17. L’Église Une selon l’Évangile. Jésus dit : tous qui n’ont pas blasphémé L’Esprit Saint seront pardonnés (Mt 12. 31-32) . Tous ces gens c’est l’Église de toute humanité composée de 7 églises d’Apocalypse de Jean. « Ceux qui entendent dedans (au moins quelque part) ce que l’Esprit dit aux églises » (la phrase commune d’Apocalypse à chacune 7 églises) par cela ne blasphèment pas l’Esprit Maternel. En ayant part dans la Victoire du Rédempteur selon l’Apocalypse. Et Jésus lave les pieds alors. Reçoivent la Rédemption et y participent avec Marie Co-rédemptrice comme Co-rédempteurs (en formant l’Église la fiancé-aide et Co-rédemptrice alors, l’Arc-en-Ciel des fils de Noé) . « Achètent et vendent » sans 666 des méchants vignerons, sans levure pharisienne, sans l’hypocrisie, sans cette semence de Caïn d’ivraie.
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    -En fait Jésus offre à Adam et Eve aveuglés (par le serpent voleur de la clé de compréhension - le premier pharisien serpent) offre ses 2 joues à gifler sur la Croix. À l’humanité en Rédemption. Qu’au moins en palpitant ils retrouvent la vision du Visage Bon et Humble de Dieu-Amour. Et arrêtent de gifler selon le faux conseil du serpent - de la pensée pharisienne de se faire idoles pour soi-même, eux-mêmes (selon St Athanase Le Grand cette pensée pervertie et déchue c’est le serpent diable en fait) . Car Dieu de la Vie n’est ni hautain ni humiliant sa création. Mais devient homme et en tout humblement cocrée avec la nature humaine en Soi-Même avec ses amis et Marie. Par contre les pharisiens, les méchants vignerons selon la parabole d’Évangile reconnaissent l’Héritier (comme Caïphe L’a vu) , mais comptent Le tuer pour toujours, gifler sans fin comme quoi il n’y aurait pas de Jugement, mais seulement la crucifixion éternelle. Eux seulement ne sont pas l’Église de la Vie et Amour. Ils empêchent d’entendre l’Esprit Saint aux gens de 7 églises - aux hommes. Selon la devise de ce monde « divises et prends pouvoir ». Mais le Roi des rois n’a pas de 3ème joue pour gifler. Ainsi que son Église ne restera pas divisée et partagée pour toujours. « Le temps de ramasser les pierres ». Et rebatir comme au temps du prophète Agée. Quand divisées les églises ne reçoivent pas assez de fruit attendu (livre d’Agée) . Comme dit la Reine de la Paix à Medjugorje « vous devez comprendre l’importance d’unité du troupeau de Mon Fils ».
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    18. Sur la Maternité de l’Esprit Saint comme l’aide à la réconciliation des chrétiens.
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    -En langues hébreux et araméen (la liturgie syrienne est en araméen) l’Esprit Saint est féminin. Au moins 4 Sts Pères de cette origine (c’est-à-dire de l’église de Philadelphie) affirment directement que l’Esprit Est Mère (Dieu Mère qui Console et Fait Naître, la Colombe dont on peut pas offenser) dans la Trinité : St Macaire Le Grand (d’Alexandrie) , St Jean Damascène, St Athanase de Sinaï et St Méthode d’Olympe et Patares. De plus en liturgie syriaque la plus ancienne (en Antioche les disciples ont commencé de s’appeler par le nom chrétiens) connue on appelle et prie directement l’Esprit Saint comme Mère. C’est « Le Nom Nouveau », la connaissance profonde et sûre donnée à l’église de Philadelphie selon le texte d’Apocalypse. « Tu as Ouvert aux petits ».
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    -La comparaison en image de l’Esprit Saint à la Mère on retrouve chez tous les saints de St Augustin jusqu’à St Silouane du Mont Athos.
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    -Aussi dans la livre de la Sagesse de la Bible la Sagesse Divine Non-Créée et Créatrice se nomme « Mère et Épouse ». Il y a des icônes russe de la Sagesse Divine comme Une Femme en Dignité Divine.
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    -Ce fait résout facilement la litige entre les Orthodoxes (de Smyrne) et les Catholiques (de Pergame) sur la filioquio. Comme écrivent St Méthode d’Olympe et St Jean Damascène Eve est prise de l’arret d’Adam en image et ressemblance de la Procession de l’Esprit du Père Seul (si on parle de l’Origine Pré-éternelle de l’Esprit, par contre L’Esprit vient chez les hommes du Père et du Fils et Lui (Elle) -Même par sa Volonté aussi) . Donc l’Esprit procède du Père suréternellement et se repose suréternellement sur le Fils. Comme L’a vu St Jean Baptiste lors de Théophanie.
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    -Alors la Vierge Marie - Nouvelle Eve est l’image et ressemblance non-corrompue de L’Esprit Saint Mére.
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    -Alors les petits catholiques souvent pensent que filioquio ce n’est pas sur l’Origine, mais sur la Venue de l’Esprit Saint en Pentecôte - dans ce cas il n’y a pas d’erreur. Comme chez les enfants de Fatima et Ste Thérèse de Lisieux. Par contre il s’agissait de l’Origine dans le Symbole Original. Cela veut dire que Thomas d’Aquin avec sa casuistique sur l’Esprit « passif » et donc « obéissant » au pape (et pas le contraire alors) tombe dans la situation de Balaam et Balaq de Pergame. Par contre St Francisque d’Assis est comme St Antypas de Pergame dans son service apostolique et prophétique de fondement de l’église. Comme le pape de 3ème secret de Fatima encore plus en solitude à cause du temps d’apostasie. Comme à Medjugorje la Vierge dit que c’est la dernière fois quand Elle s’adresse à tous pour prévenir le mal, mais après cela il n’y aura que des apparitions particulières et personnelles, comme le monde va vers la venue de la bête Iscariote de son cœur des gens méchants - de l’abîme (Apocalypse chapitre 11-12 alors, quand la Femme apparue s’évade du dragon rouge dans le lieu préparé comme « Diveevo » de la Vierge de St Séraphim de Sarov et « Portugal » de la Vierge de Fatima comme symboles de reste de l’Église lors d’apostasie pharisienne) .
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    19. De plus on peut remarquer le passage de la sensibilité envers la Trinité dans les 7 églises selon l’ordre dans le texte d’Apocalypse. De la sensibilité envers Dieu Le Père dans le Judaïsme à Éphèse. Après ensuite le patriarcat et la tradition des pères chez les Orthodoxes (de l’Est) en Byzance et Russie, Serbie à Smyrne. Ensuite encore l’institut du pape toujours paternel chez les Catholiques, mais aussi avec la piété mariale en contraste et contrebalance. Vers un certain « christocentrisme » chez les protestants de la Réforme à Thyatire. Après les protestants sectaires à Sardes avec la préoccupation sur la pureté des vêtements plus féminine. Enfin les Syriens, Coptes, Arméniens de Philadelphie avec connaissance de l’Esprit Saint comme Dieu La Mère en vérité. Aussi avec leur piété enfantine des bébés. Et après les philosophes païens de Laodicée captivants « l’aspiration de la nature vers la liberté des fils » (selon l’expression de St Paul apôtre) c’est-à-dire le Souffle, L’Esprit Saint, la Sagesse Maternelle. La lyrique aussi dans ces cultures. Avec certaines sociétés matriarcales à Tibet, en Afrique, chez des indiens d’Amériques. Aussi la poésie païenne citée par St Paul à l’aréopage d’Athènes. Même en Islam traditionnel (aussi plutôt dans Laodicée cette philosophie arabe) cette attention envers la position d’une femme à l’envers avec une reconnaissance de sa force paradoxalement.
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    20. De même est bien de comparer les 7 églises (7 yeux sur l’Agneau en mission dans l’Apocalypse 5. 6) avec les parties du Corps du Christ (les parties de l’Église Une) . Ces parties ont les sensibilités et services, missions particulières et font l’ensemble. C’est le Corps du Nouveau Adam : c’est-à-dire de l’humanité en rédemption. Jésus est devenu « tout pour tous » selon St Paul, l’humble vainqueur. Alors la première église à Éphèse le point le plus haut du corps correspondant au front et oreilles - les Juifs cherchent d’entendre et comprendre (comme Abraham avec Isaac) , en mettant des fois une boite avec le texte de prière sur le haut de la tête comme une corne ; Les Orthodoxes (l’église suivante à Smyrne) cherchent de contempler par les yeux (les yeux du cœur aussi) . D’où les icônes. Ainsi que la lumière de transfiguration à mont Thabor dans la théologie orthodoxe. Le point des yeux ; Tandis que les catholiques (3ème église à Pergame) c’est la bouche. Quand le pape professe infailliblement le dogme selon la doctrine ex-cafedra chez les catholiques. De même les cultures des peuples catholiques sont centrées autour de la notion du goût. La gesticulation même autour de la bouche et la manière de former les sons à partir du souffle. Le gout spirituellement correspond au charisme de reconnaissance des esprits nécessaire pour les dignes patriarches à régler des litiges (la primauté d’honneur du pape comme au premier millénaire sans plus, le premier parmi les égaux - c’est juste) . Ainsi que la dignité de communion : St Pierre accuse Saphire et Ananias fourbes par l’épée de la bouche (Actes des Apôtres) . Ainsi à l’Église de Pergame est promis la manne cachée. Le sacrement de communion universel. La théologie juridique est liée aussi aux sentences de la bouche. ; Alors la suivante église de Thyatire - la Reformation est liée avec la poitrine et les mains. La problématique centrée sur le rapport de la foi et des actes chez Luther. La culture liée au passage vers la technique de la civilisation moderne. Et le développement économique avancé des pays à culture de protestantisme traditionnel. Ici est promis dans l’Apocalypse le bâton de fer dans la main. La main forte de Samson aussi. La persévérance du travail du cœur. ; L’église suivante à Sardes : les dominations plus ou moins sectaires et schismatique. C’est une recherche des affamés de se faire rassasier au plus vite. Le haut du ventre comme point dans le corps. Souvent ce n’est pas assez spirituel comme « Esaü chez McDonalds ». Sans reconnaître le Corps de Christ en entier souvent on cherche ici de se rassasier vite fait par un commandement (ou une pratique) à la lettre tiré de l’ensemble de l’Écriture et Tradition. Sont proches de la mort selon l’Apocalypse et selon St Paul sur les communiants sans reconnaissance du Corps Entier. Pourtant ici il y a quelques bons samaritains prompts à venir en aide pour aider ou rassasier. Aussi la samaritaine Fautine qui a donné l’eau à Jésus assoiffé. Elle prompte aussi à croire sans fanatisme en mettant Jésus en épreuve. Et à prêcher. Contre le vide méchant qui enlève la vie - le ventre. Il faut réellement être vivant et non pas seulement en paroles. ; Après l’église suivante de Philadelphie - les Coptes, Arméniens, Éthiopiens - le point (« l’œil » de sensibilité) en bas de ventre. La procréation, la naissance. Les petits à travers la porte du Ciel ouverte toujours. La gestation. Les saints ressemblants aux enfants selon le canon traditionnel d’iconographie ici. Comme Zachée et David au comportement enfantin. ; Et enfin l’église suivante à Laodicée - la philosophie et cultures traditionnelles païennes comme le bouddhisme, taoïsme, indouisme, confucianisme, animalisme d’Afrique et Amérique, shintoïsme et même en grande partie l’islam traditionnel avec « l’Absolut » des certains philosophes grecs pas assez défini dans sa Bonté et Amour (Amour qui fait Un, Uni réellement) . C’est la partie le plus bas du corps près de la terre. Ces peuples assis par terre. Les rois-mages marchants à pied ou assis sur des animaux. Le bassin dans les danses africaines. Le plaisir et joie des fruits de la création. Le rythme de la nature. Jésus frappe à la porte comme St Paul dans l’aréopage d’Athènes.
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    21. Les matériaux du Temple de Jérusalem sont aussi prophétiquement ces 7 églises. Dans le 2ème livre des Chroniques (2 Ch 2. 7) dans le Temple de Jérusalem (qui est l’image du Corps du Christ selon l’Évangile de St Jean) il y avait 7 matériaux pour exprimer la sainteté. Les 4 métaux : or, argent, bronze (ou cuivre) et fer. Et 3 tissus de couleurs pourpre violet, cramoisi et écarlate. La traduction historique des types particuliers des tissus est approximative. Les tissus correspondent aux cultures avec des qualités plus féminines, tandis que les métaux correspondent aux cultures plus masculines et patriarcales. Au fond les 3 tissus correspondent aux vertus principales de la féminité. Le tissus brodé artistiquement est la force de faire naître (comme les Coptes de Philadelphie) , aussi le tissu de Ste Veronique et du roi libanais converti selon la tradition par l’icône sur le tissu d’une serviette de Jésus. Le tissu de lin clair c’est d’être gardienne de pureté en faveur de ses frères. Une gardienne comme le bon samaritain avec le bondage prompt sur des plaies d’Adam et Jésus même. La samaritaine avec l’eau pour l’Assoiffé (quelques dignes de Sardes) . Et alors le tissu de laine chaud avec la coloration profonde et précieuse comme le Ciel des rois-mages (église de Laodicée) . L’azur de contemplation des anciens d’Israël. La possibilité de couvrir et consoler. Les vêtements de la Vierge Belle et Corédemptrice.
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    -À noter que « paradoxalement » au centre de l’attention et préoccupation de la culture d’islam on trouve la femme couverte des tissus (ce que correspond à la classification de cette culture comme une des culture de Laodicée et en partie de Sardes) . La recherche du Souffle et Inspiration pure métaphoriquement.
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    -Alors Jean écrivant à 7 églises est comme ouvrier sur 7 matériaux. Les 3 tissus. Et 4 métaux pour les cultures plus patriarcales et viriles. L’or - église d’Éphèse - les Juifs avec la culture de la mémoire du samedi du paradis avec son or mentionné dans le Genèse. Cette mémoire n’était pas corrompue à Babylone lors de la division en langues. L’or est inerte. Par contre l’or peut corrompre. ; L’argent - église de Smyrne - les Orthodoxes dans son meilleur l’humilité d’apparence d’argent, mais bien précieux (platine à l’origine en espagnol est le diminutif pour l’argent avec ses qualités) pour le nombre des qualités (même « contre des vampires » des tombeaux blanchis et sarcophage colorés) . Mais aussi des faux frères pharisiens avec les monnaies de Judas Iscariote. ; Le bronze (ou cuivre) - les Catholiques (Pergame) . Toujours les cloches ou des instruments à vent qui se font entendre. Les paroles du pape pour la ville et le monde. À noter dans le 2ème livre d’Esdras au temple on trouvait de bronze fin et du cuivre brillant égaux à l’or. ; Le fer - Thyatire - la Réforme, les protestants traditionnels. L’esprit de travail et de la force. Un peu comme la musique « heavy metal » d’une part forte, mais aussi aigüe presque comme Jézabel avec sa voix dans son côté négatif, la garce en rouille.
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    -Jean alors écrit à 7 églises, travaille avec 7 matériaux. C’est-à-dire Jean mesure le parvis intérieur (Apocalypse chapitre 11) de ceux qui entendent dans 7 églises c’est-à-dire dans toute humanité comme le bon samaritain, les bons samaritains. Et exclue le parvis extérieur des communiants indignes à la vie, des méchants vignerons. Le rouleau du prophète Zacharie en forme de faucille et de taille de la Porte du Temple (On nomme Ste Vierge aussi Cette Porte proche à St Jean selon l’Évangile) . Jean l’aigle qui voit.
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    -Concernant la chronologie d’apparition des cultures et confessions. On voit plutôt que les tissus et les métaux comme la femme et l’homme vont à la rencontre commune chronologiquement : d’Éphèse à Thyatire et de Laodicée à Sardes. Un peu comme l’adoration des rois-mages païens et des bergers juifs qui se rencontrent. Les chérubins et séraphins.
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    22. Alors on est arrivé vers la correspondance suivante entre les 7 églises et les branches des cultures et religions de l’humanité (les branches ressemblantes à 7 branches de lampadaire du temple de Jérusalem et l’Arche de Témoignage dans la main du premier prêtre du rang de Melchisédech : c’est-à-dire dans la main de Jésus Christ avec 7 étoiles dans l’Apocalypse) :
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    1. Éphèse - Juifs
    2. Smyrne - Orthodoxes (de l’Est) comme Russes, Serbes et Grecs
    3. Pergame - Catholiques
    4. Thyatire - La Réforme (protestants traditionnels surtout Luthériens et Calvinistes)
    5. Sardes - les sectaires et schismatiques surtout les « néoprotestants » et « vieux-croyants »
    6. Philadelphie - les Coptes, Arméniens (et d’autres « orthodoxes orientaux »)
    *7. Laodicée - la philosophie païenne y compris Bouddhisme, Taoïsme, Indouisme, même l’Islam traditionnel ressemblant aux essais de monothéisme de la philosophie antique en Grèce ou en Égypte
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    -En outre à noter : ainsi on voit le genèse du protestantisme entre Thyatire et Sardes. En perdant en partie la liberté créative et pure de la Vierge Marie : la Réforme bouscule vers la statue de la liberté américaine ; tandis que les Schismatiques passent vers la pureté artificielle de puritanisme de la « reine d’Angleterre » avec un totalitarisme sectaire et ou la soumission aux esprits qui font trembler.
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    23. L’ensemble correspond à l’Arc-en-Ciel de Noé qui est donné comme signe qu’il n’y aura plus de déluge submergeant toute la terre (Gn 9. 5-6) . Alors les cultures des enfants de Noé sur terre forment cet Arc-en-Ciel en soi par elles-mêmes. Qui apparaît dans la nuée sombre (comme c’était déjà lors de la 2ème guerre mondiale en coalition antifasciste) . En même temps Noé reçoit avec l’Arc-en-Ciel le commandement « tu ne tueras point ». Que le sang humain sera redemandé d’un homme ou d’une bête. C’est la prophétie contre l’antichrist homme-bête.
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    -Alors chaque culture des enfants de Noé exprime par ses moyens propres ce commandement « tu ne tueras point ». Comme prédestinées à être les parties du corps unique du Christ Jésus de la lignée d’Abel et Marie. Tandis que les pharisiens seuls c’est-à-dire tous les hypocrites sont de la lignée de Caïn. D’ailleurs c’est la définition intuitive de la culture dans le commandement « tu ne tueras point ». Chaque culture exprime ce commandement avec ses dons. Ce que distingue une culture de la sauvagerie meurtrière et hypocrite. Les arbres des cultures aussi évoquent le paradis.
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    -Alors chaque branche culturelle de l’humanité correspond à une couleur, une note musicale, un matériel du Temple commun, une de 7 vertus principales, un archange (les vierges des vertus sont conjuguées chacune à son ange) , une partie du Corps de Christ avec sa sensibilité et mission (un peu comme un œil de chakra dans un sens non-ésotérique) . Les couleurs de l’icône commune de Jésus.
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    -Alors ce sont les élus des derniers temps : « s’il n’y aurait pas d’élus aucune chair ne serrait sauvée, mais à cause des élus ces jours (de tribulation) seront raccourcis » (Évangile) . Alors ceux qui entendent L’Esprit dans 7 églises, le parvis intérieur de l’humanité des dignes communiants à la vie (Apocalypse chapitre 11) - c’est l’Arc-en-Ciel de Noé. Les 7000 de saint reste d’Élie. Les méchants vignerons sont exclus.
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    -La Porte de l’Arche de Témoignage Chrétien (Apocalypse chapitre 11) . En mesure du rouleau-faucille de livre de Zacharie prophète. Le rouleau s’ouvre « À bruler les maisons qui volent et parjurent » dans le sens de Judas Iscariote voleur avec une fausse salutation. Car Jésus n’a pas de 3ème joue à être giflé à perpétuité. Et ceux qui sont aveugles et ont besoin de voir Jésus en Le touchant pour retrouver la vue ont les 2 joues pleinement. Sans des faux prêtres attouchant.
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    24. Tout cela correspond finalement à ce que la Sainte Vierge Marie dit actuellement à Medjugorje (où Elle apparaît comme Reine de la Paix, de la Paix du Christ, à tous, je dirais « à la maison de l’humanité entière » avec Sa Paix) . Sur la question des enfants voyants sur les religions du monde Elle répond « il y en a qui sont bonnes et moins bonnes ». Par contre à la question « qui sont les francs-maçons ? » Elle répond « ce sont les serviteurs du satan ». Justement dans mon explication la loge est la fausse reine Jézabel qui réussi le plus dans les pays protestants - à Thyatire. Derrière le rideau sont ses « profondeurs de satan » selon l’expression d’Apocalypse. Comme aisy lors des apparitions récentes dans la région parisienne la Vierge dit « il y a des gens qui cherchent Mon Fils non pas pour être sauvés, mais pour Le tuer, ce sont les francs-maçons ». Avec leurs recherches ésotériques du pouvoir et manipulation envers les individus, les peuples et l’humanité pour séduire à tuer Jésus en soi - l’Amour qui Est la Cause, le Principe et le Verbe. À Medjugorje Elle parle en particulier de la présence en partie de la Grace dans des sacrements chez des protestants (Notre-Dame de la Grace) . Elle fait aussi une apologie pour certains croyants musulmans. Comme d’ailleurs Elle fait des miracles de guérison pour certains musulmans à Souffanieh en Syrie (les apparitions reconnues par les 3 patriarcats traditionnelles d’Antioche) . Et ailleurs à Proche-Orient (Notre-Dame de Sinaï) . En ensemble on peut voir dans la somme de Ses Apparitions plus que jamais la Femme de 12ème chapitre d’Apocalypse. Qui fait toujours naître le Verbe de la Prêche à ces derniers temps, malgré le serpent dragon rouge pharisien d’apostasie hypocrite. D’ailleurs à Medjugorje Elle dit que c’est sa dernière apparition quand Elle s’adresse comme ça ouvertement à tous. Elle n’a que 2 joues pour être giflée par des aveugles en manque de compréhension, mais comme Suzanne biblique Elle ne va pas se livrer aux méchants vignerons qui malmènent les siens dans l’abime de la bête qui sort des cœurs hypocrites (Apocalypse chapitre 11) .
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    25. Livre de la Sagesse :

    Sg 16 : 20-21 :
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    « Au contraire, c’est une nourriture d’anges que tu as donnée à ton peuple, et c’est un pain tout préparé que, du ciel, tu leur as fourni inlassablement, un pain capable de procurer toutes les délices et de satisfaire tous les goûts ;

    Et la substance que tu donnais manifestait ta douceur envers tes enfants, et, s’accommodant au goût de celui qui la prenait, elle se changeait en ce que chacun voulait. »
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    -Alors tous ensemble c’est la Manne - le Pain du Ciel - Jésus Christ, Son Corps. Exceptés les méchants vignerons qui attendent le pharisien et le nouveau Judas Iscariote - l’antichrist (peu reconnaissable sans la plenitude de Don de L’Esprit Saint qui parle aux églises et à l’humanité entière) .
Dimitri Et

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Poème en Phonétique

kɛ̃zə. mɛ̃tənɑ̃ il ɑ̃ ʁεstə a εksplike sələmɑ̃ ɑ̃kɔʁə ynə eɡlizə də sεt. leɡlizə də tiatiʁə la katʁə εmə dɑ̃ lə tεkstə sε lə pʁɔtεstɑ̃tismə tʁadisjɔnεl də la ʁefɔʁmə (kɔ̃ pø nɔme kʁistɔsɑ̃tʁikə dɑ̃z- œ̃ sεns) . sə nε pa ynə divizjɔ̃ sεktεʁə (kɔmə saʁdəs) paʁ ʁapɔʁ a la kʁetjɛ̃te tʁadisjɔnεllə. mε kɔmə avεk lə tɑ̃ sε pʁɔdɥitə də plysz- ɑ̃ plysz- evidɑ̃tə leʁœʁ ʃe lε katɔlik. la pεʁtə paʁsjεllə də vεʁty lɔʁtɔdɔksi dɑ̃ leɡlizə katɔlikə ʁɔmεnə sepaʁeə (sεt- a diʁə a pεʁɡamə) . u sεt- akymyle lə deʃε deʁœʁ teɔlɔʒikz- e pʁatikəs (mεmə ɛ̃stitysjɔnalize kɔmə lɛ̃kizisjɔ̃ nikɔlajtə) . e ɔ̃ nə puvε plys fεʁə tεʁə sə fε dɛ̃ʒystisə (ləs nikɔlajtə fəzε mεmə sə kə lε pajɛ̃ nə pəve pa sypɔʁtəʁ) . lytœʁ dizε lɥi mεmə « ʒə nə sɥi kə lanεsə də balaam » (paʁ ʁapɔʁ a balaam də pεʁɡamə də la liɲe də kajfə e ʁiʃəljø) . e o mwɛ̃z- ɑ̃ paʁti lytœʁ avε ʁεzɔ̃ də lə diʁə. œ̃ pø kɔmə yn « fu ɑ̃ kʁist », « anesə » ʃe lεz- ɔʁtɔdɔksə. avεk lε kεstjɔ̃z- e la pʁɔblematikə də ʁətuʁ vεʁ la vwa də vεʁty dɔʁtɔdɔksjə (« dʁwa ʃəmin » la tʁadyksjɔ̃ dy mo ɡʁεkə) . mε lε ʁepɔ̃sə də lytœʁ etε suvɑ̃ lwɛ̃ ø mεmə də lɔʁtɔdɔksi, mε devje dɑ̃ lotʁə sɑ̃sz- ɔpoze kə ʃe lε nikɔlajtə də pεʁɡamə (paʁ ʁapɔʁ a dεz- eʁœʁ ʃe lε katɔlik ʁɔmɛ̃s) . dajœʁ dɑ̃ lə tεkstə dapɔkalipsə ʒezys pʁɔmε letwalə dy matɛ̃ puʁ sø ki lɑ̃tɑ̃de a tiatiʁə : letwalə faʁə ki mɔ̃tʁə lə ʃəmɛ̃ ɑ̃ fɛ̃ də nɥi avɑ̃ lə matin (kɑ̃ la ʁefɔʁmə sε pʁɔdɥitə ɑ̃n- istwaʁə deʒa bjɛ̃ taʁd) puʁ « lanesə ». « mɔ̃ kœʁ səʁa vɔtʁə ʁəfyʒə e lə ʃəmɛ̃ vεʁ mɔ̃ fils » dit la vjεʁʒə a fatima o pəti patʁə- də mεmə.
plys
kaʁ il saʒi paʁ letwalə dy matɛ̃ də ʁətʁuve la ʒystεsə a tʁavεʁ lə ʃa dεɡɥjə. e nɔ̃ pa pʁɔtεste ɑ̃ njɑ̃ tu. lɔdiʒitʁja maʁjə (ki mɔ̃tʁə lə ʃəmɛ̃ ɑ̃ ɡʁεkə) mjø kə la statɥ də la libεʁte, letwalə ki fε mɔ̃te lə sɔlεj də ʒystisə e ʒystεsə ʒezys. ʁεnə də la pε də mεdʒyɡɔʁʒə. sɑ̃ pʁɔvɔke dε kɔ̃fli sɑ̃ɡinεʁə də dø kote. kaʁ vuz- εtə dε fʁεʁəs (mɔizə lə dizε oz- isʁaelitəz- ɑ̃ baɡaʁə) . lε katɔlikz- e pʁɔtεstɑ̃z- a lɔksidɑ̃.
plys
alɔʁ maʁi etwalə dy matɛ̃ sɑ̃z- okœ̃ peʃe e paʁ kɔ̃sekɑ̃sə nɔ̃ pa ynə εsklavə dy peʃe. la vʁε libεʁte ε dɑ̃ sɔn « ui » a djø amuʁ kʁeatəʁ (dəvəny sɔ̃ fils) . la libεʁte ʁəliʒjøzə ε la pʁɔblematikə də la ʁefɔʁmə. avεk la statɥ də la libεʁte dɑ̃ lə plys ɡʁɑ̃ pεi pʁɔtεstɑ̃. paʁ kɔ̃tʁə la fosə libεʁte səlɔ̃ sə mɔ̃də sε la famə ʒezabεl ki aʒi meʃamɑ̃ a tiatiʁə səlɔ̃ lapɔkalipsə. ɑ̃ fε sε la lɔʒə dε fʁɑ̃k masɔ̃s (fʁɑ̃k isi afʁɑ̃ʃi, libʁə) . la statɥ də libεʁte εllə mεmə εt- œ̃ kado dε masɔ̃ fʁɑ̃sεz- o fɔ̃datœʁ dεz- etaz- yniz- istɔʁikəmɑ̃. la lɔʒə a la bazə dε ʁevɔlysjɔ̃s (kɔmə la paʁti kɔmynistə sa fijə plys taʁ ɑ̃ ʁysjə) ɔksidɑ̃talə. avεk la fɔʁtə ɛ̃flɥɑ̃sə syʁ lideɔlɔʒi mɔdεʁnistə e pɔst mɔdεʁnistə. kɑ̃ lə ʃwa pɔlitikə ɑ̃n- ɔksidɑ̃ ɑ̃ ʁealite nε kynə nɥɑ̃sə ɑ̃tʁə dε fʁaksjɔ̃ də la mεmə ideɔlɔʒi masɔnə. ki kɔ̃tʁolə ɑ̃ paʁti lə klima də la sɔsjete. puʁtɑ̃ sə kɔ̃tʁolə sə nε pa lə puvwaʁ diʁεkt « maskylin », mε sɔ̃ʒasεnt « feminin » a tʁavεʁ la mɔdə etabli, syɡʒεstjɔ̃z- ideɔlɔʒikz- u la difamasjɔ̃ aʃaʁne emɔsjɔnεllə kɔmə ʃe ʒezabεl kɔ̃tʁə nabaɔt (ɑ̃sjɛ̃ tεstamεnt) . nabao ɡaʁdɑ̃ la tʁadisjɔ̃ dε sɛ̃ pεʁə kɔmə la viɲə də la teʁə pʁɔmizə, lə faʁə, e kɔmə abεl ɡaʁdjɛ̃ də sε fʁεʁəz- e sœʁ. lə sakʁəmɑ̃ ɑ̃tʁə otʁə- kɔmə lə maʁjaʒə nɔ̃ sɔdɔmitə paʁ εɡzɑ̃plə.
plys
la vjεʁʒə maʁi a mεdʒyɡɔʁʒə e lɔʁ dεz- apaʁisjɔ̃ ʁesɑ̃təz- ɑ̃ ʁeʒjɔ̃ paʁizjεnə a apəle lε fʁɑ̃k masɔ̃s « ləs ʒɑ̃ ki ʃεʁʃə mɔ̃ fis nɔ̃ pa puʁ εtʁə sove paʁ lɥi, mε puʁ lə tɥe, sεʁvitœʁ də satan ». idɔlə dø mεməz- oto elysz- ɑ̃ sεʁklə ezɔteʁikə. ʃεʁʃɑ̃ a tɥe ʒezys, linɔsɑ̃sə dɑ̃ lε pəti, sedɥiʁə. kɔ̃stʁɥizɑ̃ ynə piʁamidə finɑ̃sjεʁə syʁ lə « sɑ̃ʒ » lenεʁʒi dεz- amə, kɔmə dε vɑ̃piʁə də sedyksjɔ̃ pʁɔ̃ptəz- a ɛ̃tʁiɡe a mɔʁ kɔ̃tʁə dεz- ɛ̃sumis (vʁεmɑ̃ libʁəs) kɔmə ʒezabεl. dε bɑ̃kje saʃɑ̃ ɡaɲe lε tʁɑ̃tə pjεsə daʁʒe. ki ʃεʁʃe lə vεʁbə, lɔɡo, ʁεzɔ̃ puʁ tɥe kɔmə ʒezabεl. ki kɔ̃plɔtε osi kɔ̃tʁə eli. e apʁε kɔmə eʁɔdjadə kɔ̃tʁə ʒɑ̃ batistə. dεz- etydjɑ̃ də la biblə puʁ apʁɑ̃dʁə mjø lə ʃəmɛ̃ də ʒydaz- iskaʁjɔtə.
plys
ɑ̃n- ɔksidɑ̃ ɑ̃ ʒeneʁal sεst « lə kote ɔpskyʁə də la fɔʁsə » ʃe balaam də pεʁɡamə e ʒezabεl də tiatiʁə (lə puvwaʁ kazɥistə e fosə libεʁte avεk ynə fosə ɛ̃dylʒɑ̃sə mytɥεllə) . kɔmə ʁiʃəljø e miladi wɛ̃te. safiʁə e ananja finaləmεnt (aktə dεz- apotʁəs) ɑ̃tʁe nɔ̃ pa paʁ la pɔʁtə dy kœʁ də ʒezysz- e maʁi. kɔmə ʒezabεl istɔʁikə la ʁεnə etʁɑ̃ʒεʁə ki ʃεʁʃε ʁeɲe dɑ̃ leʁitaʒə divɛ̃. kɔmə la lɔʒə dɑ̃ leɡlizə e lε sɔsjetez- e pəplə kʁetjɛ̃. lepe e la baʁə ɑ̃ fεʁ.
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paʁ kɔ̃tʁə kɔ̃tʁεʁəmɑ̃ o sεktə də saʁdəz- avεk lə sakʁifisə də pʁεʃə nɔ̃ ʁəsy dε sitye dɑ̃ lelwaɲəmɑ̃ də kajn (sof kεlk bɔ̃ samaʁitɛ̃s) . ɔ̃ pø vwaʁ dɑ̃ lε pəplə də la ʁefɔʁmə lə kʁistjanismə tʁadisjɔnεl dy nɔʁ uεst (kɔmə ʃe lε katɔlik lə kʁistjanismə dy mɔ̃də latɛ̃ e ʃe lεz- ɔʁtɔdɔksə dε ɡʁεkz- e slavəz- u dy pʁoʃə ɔʁjɛ̃t) . avεk sɔ̃ pʁɔpʁə dɔ̃ paʁmi lεz- ɔfʁɑ̃də dε ʁwa maʒəs (dəs kyltyʁə pajεnəs) o nɔεl. isi dɑ̃ la ʁefɔʁmə kɔmə ʃe lytœʁ ɔ̃ vwa la pʁɔblematikə də libεʁte e də ʁapɔʁ ɑ̃tʁə la fwa e aktə. dɑ̃ lə bɔ̃ sɑ̃s sε kɔmə ʃe nabao tʁavajɑ̃ dɑ̃ la viɲə dε pεʁəs (pɔʁtɑ̃ sa kʁwaks) εt εdɑ̃ ʒezys syʁ sə ʃəmɛ̃. pεʁseveʁɑ̃. libʁə a nə pa sə sumεtʁə a aʃab e ʒezabəl (tʁwaz- εmə livʁə dε ʁwas) . pasɑ̃ paʁ lə ʃa dεɡɥjə ɑ̃ saʒystɑ̃ avεk lə tɑ̃ paʁ la pεʁseveʁɑ̃sə sɛ̃sεʁə. dɑ̃ la mɛ̃ də letwalə də matɛ̃, ɔdiʒitʁja vjεʁʒə ki mɔ̃tʁə lə ʃəmɛ̃ sɔ̃ fis. mε pa a eʁɔdjadə.
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alɔʁ sεt ɑ̃ʒə pɔtɑ̃sjεllmɑ̃ fɔʁ paʁ la libεʁte e sεʁvisə. ʒezys lɥi pʁɔmε lə batɔ̃ ɑ̃ fεʁ puʁ ʒyʒe lε nasjɔ̃. dɑ̃ sε mɛ̃s (ləs mɛ̃z- e pwatʁinə kɔmə la paʁti dy kɔʁ dy kʁist kɔmœ̃, lə kœʁ tʁavajɑ̃t) . alɔʁ sε bjɛ̃ də kɔ̃paʁe sεt ɑ̃ʒə o ʒyʒə samsɔ̃ fɔʁ avεk ynə maʃwaʁə dan (« anεsə də balaam ») dɑ̃ sε mɛ̃ kɔmə laʁmə a bjɛ̃ pʁɔtεste kɔ̃tʁə lə pʁɛ̃sə də sə mɔ̃də. sɑ̃ ʁəkɔnεtʁə la pʁimote dy kœʁ dəzay ʁiʃəljø. samsɔ̃ paʁ lɛ̃spiʁasjɔ̃ divinə pʁɑ̃t- ynə famə də filisti malɡʁe la lεtʁə də lwa (anεsə nɔ̃ ɔbeisɑ̃tə) . la filisti otuʁ isʁaεl siɲifi sə mɔ̃də. samsɔ̃ epuzə kɔmə ynə εdə puʁ swa la libεʁte də sə mɔ̃də. puʁ ʁepɔ̃dʁə fʁɑ̃ʃəmɑ̃ a sə mɔ̃də lε filistɛ̃z- ɑ̃vaisɑ̃ leɡlizə katɔlikə e lə ʁεstə də la sɔsjete. mε sil ytilizə ɑ̃ mal sεtə libεʁte lajkə, εllə ʁəswa la fɔʁsə də lə malməne dɑ̃ lε pʁɔfɔ̃dœʁ də satɑ̃. lytilize kɔmə laʁmə a ʁealize sε difamasjɔ̃ də ʒezabεl kɔ̃tʁə lε sɛ̃z- e pəti. vɔlə la kuʁɔnə də sε ʃəvø pɑ̃se dœ̃ nazaʁeən (vwaʁ mwanə kɔmə lytœʁ ɑ̃ paʁtikyljəʁ) εt il dɔnə dε fosə ʁepɔ̃sə sɑ̃ lɥilə dɑ̃ lə lɑ̃padεʁə dεz- iø dy kœʁ. sɑ̃ lə fil daʁjadnə (fidelite kɔ̃ʒyɡalə ɑ̃ ɡʁεkə) lεspeʁɑ̃sə də ʁətʁuve letwalə də matɛ̃ dɑ̃ sə labiʁɛ̃tə də sə mɔ̃də.
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də mεmə ɔ̃ ʁətʁuvə ʃe kalvɛ̃ e lytœʁ lə ʁezidy deʁœʁ ezɔteʁikə (masɔnikə) . ʃe kalvɛ̃ dɑ̃ la pʁe elεksjɔ̃ detεʁmine puʁ dεz- elys (kɔmə a la lɔʒə masɔnə dəʁjεʁə dε kulisəz- e dɑ̃ lɔpskyʁite pʁɔfɔ̃də) εt lə ʁεstə dε ʒɑ̃z- εɡzɔteʁikə nɔ̃ sove. tɑ̃di kə lytœʁ mal ɛ̃tεʁpʁεtə εs te pɔl syʁ la fwa kɔmə œ̃ dɔ̃ ezɔteʁikə ɑ̃ swa (sɑ̃ pʁe kɔnεsɑ̃sə paʁ lamuʁ sɑ̃ vjɔle la viʁʒinite də la libεʁte, vɔlɔ̃te pʁɔpʁə la nεsɑ̃sə də la fwa dɑ̃ lə kœʁ də maʁi avεk tus lε pətits) . ezɔteʁismə « ɔʁizɔ̃tal » ʃe kalvin (dɑ̃ lə ʁapɔʁ ɑ̃tʁə lε ʒεns) ət « vεʁtikal » ʃe lytəʁ (dɑ̃ lə ʁapɔʁ ɑ̃tʁə ɔmə e djø) . səla fɔʁmə ynə fosə kʁwa e ynə fosə balɑ̃sə də ʒyʒəmɑ̃. puʁtɑ̃ avεk lə tɑ̃ syʁ lə ʃəmɛ̃ də la vʁε kʁwa samsɔ̃ ʁətʁuvə sε ʃəvø, kuvεʁtyʁə, kuʁɔnə. kɔmə letwalə dy matɛ̃. e la vʁε libεʁte e elεksjɔ̃ ən « ui » ɛ̃tεlliʒɑ̃tə də la vjεʁʒə maʁi. lə « ui » ne paʁ amuʁ mytɥεl. pʁevy paʁ djø amuʁ œ̃blə ki nə ʁɔ̃pə pa la pɔʁtə də la viʁʒinite də libεʁte də ʃwa.
plys
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sεzə. alɔʁz- ɔ̃ vwa lə kote ɔpskyʁ ɛ̃stitysjɔnalize ɑ̃ paʁti ɑ̃n- ɔksidεnt (εt nɔ̃ ɛ̃stitysjɔnalize dɑ̃ lεz- eɡlizə dɔʁjɛ̃t) . aʃab (kɔmə balaam ʁiʃəljø ɛ̃kizitœʁ e foz- avɔka e ʁiʃəljø balak ɛ̃tʁiɡɑ̃t) avεk ʒezabεl lɔʒə. kɔmə lε kɑ̃didaz- ɑ̃ pʁezide ɑ̃ fʁɑ̃sə dε pʁɛ̃sipalə paʁti pase paʁ lapʁɔbasjɔ̃ dy ɡʁɑ̃ mεtʁə dy « ɡʁɑ̃t- ɔʁjɛ̃t » (la plys ɡʁɑ̃də lɔʒə ɑ̃ fʁɑ̃sə) avɑ̃ də kɔmɑ̃se lə « tuʁnwa » elεktɔʁal.
plys
paʁ kɔ̃tʁə ɑ̃n- ɔʁje lə kote lajkə εt- osi istɔʁikəmɑ̃ laʁʒəmɑ̃ defɔʁme kɔmə lə ʒuɡ dεsklavaʒə o dəla deʁitaʒə pajɛ̃ a depasəʁ (kɔmə ɑ̃ bizɑ̃sə e ʁysjə « ləs di- ʒuʁ də pʁizɔn » də lɑ̃ʒə də smiʁnə) . avεk la defɔʁmasjɔ̃ ɛ̃stitysjɔnalize dɑ̃ lεspasə lajkə paʁ la ʁeynjɔ̃ dε fo fʁεʁəs « fo ʒɥifs » mɑ̃sjɔne puʁ lεz- eɡlizə də smiʁnə e filadεlfi lεz- eɡlizə dɔʁje.
plys
metafɔʁikəmɑ̃ səla ʁəpʁezɑ̃tə la lεpʁə syʁ dε filəz- ɔʁizɔ̃toz- e vεʁtiko də tisys. la maliɲite də sεtə lεpʁə divʁε dəvε ʁəkɔnεtʁə lε pʁεtʁəz- ɑ̃n- ɑ̃sjɛ̃ tεstame. alɔʁz- ɑ̃n- ɔksidɑ̃ la lεpʁə taʃəte tuʃə ɑ̃sɑ̃blə lə vεʁtikal e ɔʁizɔ̃tal (εn balaam, balak, nikɔlajtə, ʒezabəl) . e ɑ̃n- ɔʁje ase laʁʒəmɑ̃, mε sələmɑ̃ lɔʁizɔ̃tal ɑ̃ ʁε. œ̃ pø kɔmə leɔpaʁd (iεnə ʒezabəl) εt tiɡʁə lə pʁɛ̃sə də sə mɔ̃də faʁizjɛ̃ avεk sε tεtəz- ɑ̃n- atakə.
plys
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di- sεt. leɡlizə ynə səlɔ̃ levɑ̃ʒilə. ʒezys di : tus ki nɔ̃ pa blasfeme lεspʁi sɛ̃ səʁɔ̃ paʁdɔnes (mt duzə pwɛ̃ tʁɑ̃tə e œ̃ tiʁε tʁɑ̃tə døks) . tus sε ʒɑ̃ sε leɡlizə də tutə ymanite kɔ̃poze də sεt eɡlizə dapɔkalipsə də ʒɑ̃. « sø ki ɑ̃tɑ̃de dədɑ̃s (o mwɛ̃ kεlkə paʁt) sə kə lεspʁi di oz- eɡlizəs » (la fʁazə kɔmynə dapɔkalipsə a ʃakynə sεt eɡlizəs) paʁ səla nə blasfεme pa lεspʁi matεʁnεl. ɑ̃n- εjɑ̃ paʁ dɑ̃ la viktwaʁə dy ʁedɑ̃ptœʁ səlɔ̃ lapɔkalipsə. e ʒezys lavə lε pjez- alɔʁ. ʁəswave la ʁedɑ̃psjɔ̃ e i paʁtisipe avεk maʁi ko ʁedɑ̃ptʁisə kɔmə ko ʁedɑ̃ptəʁs (εn fɔʁmɑ̃ leɡlizə la fjɑ̃se εdə e ko ʁedɑ̃ptʁisə alɔʁ, laʁk ɑ̃ sjεl dε fis də nɔe) . « aʃεte e vɑ̃dεnt » sɑ̃ si- sɑ̃ swasɑ̃tə si- dε meʃɑ̃ viɲəʁɔ̃, sɑ̃ ləvyʁə faʁizjεnə, sɑ̃ lipɔkʁizi, sɑ̃ sεtə səmɑ̃sə də kaɛ̃ divʁε.
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ɑ̃ fε ʒezysz- ɔfʁə a adam e əvə avøɡles (paʁ lə sεʁpe vɔlœʁ də la kle də kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃ lə pʁəmje faʁizjɛ̃ sεʁpεnt) ɔfʁə sε dø ʒuz- a ʒifle syʁ la kʁwa. a lymanite ɑ̃ ʁedɑ̃psjɔ̃. ko mwɛ̃z- ɑ̃ palpitɑ̃ il ʁətʁuve la vizjɔ̃ dy vizaʒə bɔ̃ e œ̃blə də djø amuʁ. e aʁεte də ʒifle səlɔ̃ lə fo kɔ̃sεj dy sεʁpe də la pɑ̃se faʁizjεnə də sə fεʁə idɔlə puʁ swa mεmə, ø mεməs (səlɔ̃ εs te atanazə lə ɡʁɑ̃ sεtə pɑ̃se pεʁvεʁti e deʃɥ sε lə sεʁpe djablə ɑ̃ fεt) . kaʁ djø də la vi nε ni-otɛ̃ ni ymiljɑ̃ sa kʁeasjɔ̃. mε dəvjɛ̃ ɔmə e ɑ̃ tu œ̃bləmɑ̃ kɔkʁe avεk la natyʁə ymεnə ɑ̃ swa mεmə avεk sεz- amiz- e maʁi. paʁ kɔ̃tʁə lε faʁizjɛ̃, lε meʃɑ̃ viɲəʁɔ̃ səlɔ̃ la paʁabɔlə devɑ̃ʒilə ʁəkɔnεse leʁitjəʁ (kɔmə kajfə la vy) , mε kɔ̃te lə tɥe puʁ tuʒuʁ, ʒifle sɑ̃ fɛ̃ kɔmə kwa il ni oʁε pa də ʒyʒəmɑ̃, mε sələmɑ̃ la kʁysifiksjɔ̃ etεʁnεllə. ø sələmɑ̃ nə sɔ̃ pa leɡlizə də la vi e amuʁ. ilz- ɑ̃pεʃe dɑ̃tɑ̃dʁə lεspʁi sɛ̃ o ʒɑ̃ də sεt eɡlizəz- o ɔmə. səlɔ̃ la dəvizə də sə mɔ̃də « divizəz- e pʁɑ̃ puvwaʁ ». mε lə ʁwa dε ʁwa na pa də tʁwaz- εmə ʒu puʁ ʒifle. ɛ̃si kə sɔ̃n- eɡlizə nə ʁεstəʁa pa divize e paʁtaʒe puʁ tuʒuʁ. « lə tɑ̃ də ʁamase lε pjeʁəs ». e ʁəbatiʁ kɔmə o tɑ̃ dy pʁɔfεtə aʒe. kɑ̃ divize lεz- eɡlizə nə ʁəswave pa ase də fʁɥi atɑ̃dy (livʁə daʒeə) . kɔmə di la ʁεnə də la pε a mεdʒyɡɔʁʒə « vus dəve kɔ̃pʁɑ̃dʁə lɛ̃pɔʁtɑ̃sə dynite dy tʁupo də mɔ̃ fils ».
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diz- ɥit. syʁ la matεʁnite də lεspʁi sɛ̃ kɔmə lεdə a la ʁekɔ̃siljasjɔ̃ dε kʁetjɛ̃.
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ɑ̃ lɑ̃ɡz- ebʁøz- e aʁameən (la lityʁʒi siʁjεnə εt- ɑ̃n- aʁameən) lεspʁi sɛ̃ ε feminɛ̃. o mwɛ̃ katʁə εs te εs pεʁə də sεtə ɔʁiʒinə (sεt- a diʁə də leɡlizə də filadεlfjə) afiʁme diʁεktəmɑ̃ kə lεspʁi ε mεʁə (djø mεʁə ki kɔ̃sɔlə e fε nεtʁə, la kɔlɔ̃bə dɔ̃ ɔ̃ pø pa ɔfɑ̃səʁ) dɑ̃ la tʁinite : εs te makεʁə lə ɡʁɑ̃d (dalεksɑ̃dʁjə) , εs te ʒɑ̃ damasεnə, εs te atanazə də sinaj e εs te metɔdə dɔlɛ̃pə e pataʁə. də plysz- ɑ̃ lityʁʒi siʁjakə la plysz- ɑ̃sjεnə (εn ɑ̃sjoʃə lε disipləz- ɔ̃ kɔmɑ̃se də sapəle paʁ lə nɔ̃ kʁetjɛ̃s) kɔnɥ ɔ̃n- apεllə e pʁi diʁεktəmɑ̃ lεspʁi sɛ̃ kɔmə mεʁə. sεst « lə nɔ̃ nuvo », la kɔnεsɑ̃sə pʁɔfɔ̃də e syʁə dɔne a leɡlizə də filadεlfi səlɔ̃ lə tεkstə dapɔkalipsə. « ty a uvεʁ o pətits ».
plys
la kɔ̃paʁεzɔ̃ ɑ̃n- imaʒə də lεspʁi sɛ̃ a la mεʁə ɔ̃ ʁətʁuvə ʃe tus lε sɛ̃ də εs te oɡystɛ̃ ʒyska εs te siluanə dy mɔ̃ ato.
plys
osi dɑ̃ la livʁə də la saʒεsə də la biblə la saʒεsə divinə nɔ̃ kʁee e kʁeatʁisə sə nɔmə « mεʁə e epuzə ». il i a dεz- ikonə ʁysə də la saʒεsə divinə kɔmə ynə famə ɑ̃ diɲite divinə.
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sə fε ʁezu fasiləmɑ̃ la litiʒə ɑ̃tʁə lεz- ɔʁtɔdɔksəs (də smiʁnə) εt lε katɔlikəs (də pεʁɡamə) syʁ la filjɔkjo. kɔmə ekʁive εs te metɔdə dɔlɛ̃pə e εs te ʒɑ̃ damasεnə əvə ε pʁizə də laʁε dadam ɑ̃n- imaʒə e ʁəsɑ̃blɑ̃sə də la pʁɔsesjɔ̃ də lεspʁi dy pεʁə səl (si ɔ̃ paʁlə də lɔʁiʒinə pʁe etεʁnεllə də lεspʁi, paʁ kɔ̃tʁə lεspʁi vjɛ̃ ʃe lεz- ɔmə dy pεʁə e dy fisz- e lɥi (εllə) mεmə paʁ sa vɔlɔ̃te osi) . dɔ̃k lεspʁi pʁɔsεdə dy pεʁə syʁetεʁnεllmɑ̃ e sə ʁəpozə syʁetεʁnεllmɑ̃ syʁ lə fis. kɔmə la vy εs te ʒɑ̃ batistə lɔʁ də teɔfani.
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alɔʁ la vjεʁʒə maʁi nuvεllə əvə ε limaʒə e ʁəsɑ̃blɑ̃sə nɔ̃ kɔʁɔ̃pɥ də lεspʁi sɛ̃ meʁə.
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alɔʁ lε pəti katɔlik suvɑ̃ pɑ̃se kə filjɔkjo sə nε pa syʁ lɔʁiʒinə, mε syʁ la vənɥ də lεspʁi sɛ̃ ɑ̃ pɑ̃təkotə dɑ̃ sə ka il ni a pa deʁœʁ. kɔmə ʃe lεz- ɑ̃fɑ̃ də fatima e stə teʁεzə də lizjø. paʁ kɔ̃tʁə il saʒisε də lɔʁiʒinə dɑ̃ lə sɛ̃bɔlə ɔʁiʒinal. səla vø diʁə kə tɔma dakɛ̃ avεk sa kazɥistikə syʁ lεspʁit « pasif » εt dɔ̃k « ɔbeisɑ̃t » o papə (εt pa lə kɔ̃tʁεʁə alɔʁs) tɔ̃bə dɑ̃ la sitɥasjɔ̃ də balaam e balak də pεʁɡamə. paʁ kɔ̃tʁə εs te fʁɑ̃siskə dasiz- ε kɔmə εs te ɑ̃tipa də pεʁɡamə dɑ̃ sɔ̃ sεʁvisə apɔstɔlikə e pʁɔfetikə də fɔ̃dəmɑ̃ də leɡlizə. kɔmə lə papə də tʁwaz- εmə sεkʁε də fatima ɑ̃kɔʁə plysz- ɑ̃ sɔlitydə a kozə dy tɑ̃ dapɔstazi. kɔmə a mεdʒyɡɔʁʒə la vjεʁʒə di kə sε la dεʁnjεʁə fwa kɑ̃t- εllə sadʁεsə a tus puʁ pʁevəniʁ lə mal, mεz- apʁε səla il ni oʁa kə dεz- apaʁisjɔ̃ paʁtikyljεʁəz- e pεʁsɔnεllə, kɔmə lə mɔ̃də va vεʁ la vənɥ də la bεtə iskaʁjɔtə də sɔ̃ kœʁ dε ʒɑ̃ meʃɑ̃ də labimə (apɔkalipsə ʃapitʁə ɔ̃zə tiʁε duzə alɔʁ, kɑ̃ la famə apaʁy sevadə dy dʁaɡɔ̃ ʁuʒə dɑ̃ lə ljø pʁepaʁe kɔmə « divivɔ » də la vjεʁʒə də εs te seʁafim də saʁɔv ət « pɔʁtyɡal » də la vjεʁʒə də fatima kɔmə sɛ̃bɔlə də ʁεstə də leɡlizə lɔʁ dapɔstazi faʁizjεnə) .
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diz- nəf. də plysz- ɔ̃ pø ʁəmaʁke lə pasaʒə də la sɑ̃sibilite ɑ̃vεʁ la tʁinite dɑ̃ lε sεt eɡlizə səlɔ̃ lɔʁdʁə dɑ̃ lə tεkstə dapɔkalipsə. də la sɑ̃sibilite ɑ̃vεʁ djø lə pεʁə dɑ̃ lə ʒydajsmə a efεzə. apʁεz- ɑ̃sɥitə lə patʁjaʁka e la tʁadisjɔ̃ dε pεʁə ʃe lεz- ɔʁtɔdɔksəs (də lεst) εn bizɑ̃sə e ʁysi, sεʁbi a smiʁnə. ɑ̃sɥitə ɑ̃kɔʁə lɛ̃stity dy papə tuʒuʁ patεʁnεl ʃe lε katɔlik, mεz- osi avεk la pjete maʁjalə ɑ̃ kɔ̃tʁastə e kɔ̃tʁəbalɑ̃sə. vεʁz- œ̃ sεʁtεn « kʁistɔsɑ̃tʁismə » ʃe lε pʁɔtεstɑ̃ də la ʁefɔʁmə a tiatiʁə. apʁε lε pʁɔtεstɑ̃ sεktεʁəz- a saʁdəz- avεk la pʁeɔkypasjɔ̃ syʁ la pyʁəte dε vεtəmɑ̃ plys femininə. ɑ̃fɛ̃ lε siʁjɛ̃, kɔptə, aʁmenjɛ̃ də filadεlfi avεk kɔnεsɑ̃sə də lεspʁi sɛ̃ kɔmə djø la mεʁə ɑ̃ veʁite. osi avεk lœʁ pjete ɑ̃fɑ̃tinə dε bebe. e apʁε lε filozɔfə pajɛ̃ də laɔdise kaptivɑ̃ts « laspiʁasjɔ̃ də la natyʁə vεʁ la libεʁte dε fils » (səlɔ̃ lεkspʁesjɔ̃ də εs te pɔl apotʁə) sεt- a diʁə lə suflə, lεspʁi sɛ̃, la saʒεsə matεʁnεllə. la liʁikə osi dɑ̃ sε kyltyʁə. avεk sεʁtεnə sɔsjete matʁjaʁkaləz- a tibε, ɑ̃n- afʁikə, ʃe dεz- ɛ̃djɛ̃ dameʁik. osi la pɔezi pajεnə site paʁ εs te pɔl a laʁeɔpaʒə datεnə. mεmə ɑ̃n- islam tʁadisjɔnəl (osi plyto dɑ̃ laɔdise sεtə filozɔfi aʁabə) sεtə atɑ̃sjɔ̃ ɑ̃vεʁ la pozisjɔ̃ dynə famə a lɑ̃vεʁz- avεk ynə ʁəkɔnεsɑ̃sə də sa fɔʁsə paʁadɔksaləmɑ̃.
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vɛ̃. də mεmə ε bjɛ̃ də kɔ̃paʁe lε sεt eɡlizəs (sεpt iø syʁ laɲo ɑ̃ misjɔ̃ dɑ̃ lapɔkalipsə sɛ̃k pwɛ̃ siks) avεk lε paʁti dy kɔʁ dy kʁist (ləs paʁti də leɡlizə ynə) . sε paʁtiz- ɔ̃ lε sɑ̃sibilitez- e sεʁvisə, misjɔ̃ paʁtikyljεʁəz- e fɔ̃ lɑ̃sɑ̃blə. sε lə kɔʁ dy nuvo adam : sεt- a diʁə də lymanite ɑ̃ ʁedɑ̃psjɔ̃. ʒezysz- ε dəvəny « tu puʁ tus » səlɔ̃ εs te pɔl, lœ̃blə vɛ̃kœʁ. alɔʁ la pʁəmjεʁə eɡlizə a efεzə lə pwɛ̃ lə plys-o dy kɔʁ kɔʁεspɔ̃dɑ̃ o fʁɔ̃ e ɔʁεjə lε ʒɥif ʃεʁʃe dɑ̃tɑ̃dʁə e kɔ̃pʁɑ̃dʁə (kɔmə abʁaam avεk izaak) , ɑ̃ mεtɑ̃ dε fwaz- ynə bwatə avεk lə tεkstə də pʁjεʁə syʁ lə-o də la tεtə kɔmə ynə kɔʁnə, lεz- ɔʁtɔdɔksəs (leɡlizə sɥivɑ̃tə a smiʁnə) ʃεʁʃe də kɔ̃tɑ̃ple paʁ lεz- iøks (ləs iø dy kœʁ osi) . du lεz- ikonə. ɛ̃si kə la lymjεʁə də tʁɑ̃sfiɡyʁasjɔ̃ a mɔ̃ tabɔʁ dɑ̃ la teɔlɔʒi ɔʁtɔdɔksə. lə pwɛ̃ dεz- iø, tɑ̃di kə lε katɔlikəs (tʁwaz- εmə eɡlizə a pεʁɡamə) sε la buʃə. kɑ̃ lə papə pʁɔfεsə ɛ̃fajibləmɑ̃ lə dɔɡmə səlɔ̃ la dɔktʁinə εks kafεdʁa ʃe lε katɔlik. də mεmə lε kyltyʁə dε pəplə katɔlik sɔ̃ sɑ̃tʁez- otuʁ də la nɔsjɔ̃ dy ɡu. la ʒεstikylasjɔ̃ mεmə otuʁ də la buʃə e la manjεʁə də fɔʁme lε sɔ̃z- a paʁtiʁ dy suflə. lə ɡu spiʁitɥεllmɑ̃ kɔʁεspɔ̃t- o ʃaʁismə də ʁəkɔnεsɑ̃sə dεz- εspʁi nesesεʁə puʁ lε diɲə patʁjaʁʃəz- a ʁeɡle dε litiʒəs (la pʁimote dɔnœʁ dy papə kɔmə o pʁəmje milenεʁə sɑ̃ plys, lə pʁəmje paʁmi lεz- eɡo sε ʒystə) . ɛ̃si kə la diɲite də kɔmynjɔ̃ : εs te pjeʁə akyzə safiʁə e ananja fuʁbə- paʁ lepe də la buʃə (aktə dεz- apotʁəs) . ɛ̃si a leɡlizə də pεʁɡamə ε pʁɔmi la manə kaʃe. lə sakʁəmɑ̃ də kɔmynjɔ̃ ynivεʁsεl. la teɔlɔʒi ʒyʁidikə ε lje osi o sɑ̃tɑ̃sə də la buʃə. , alɔʁ la sɥivɑ̃tə eɡlizə də tiatiʁə la ʁəfɔʁmasjɔ̃ ε lje avεk la pwatʁinə e lε mɛ̃. la pʁɔblematikə sɑ̃tʁe syʁ lə ʁapɔʁ də la fwa e dεz- aktə ʃe lytœʁ. la kyltyʁə lje o pasaʒə vεʁ la tεknikə də la sivilizasjɔ̃ mɔdεʁnə. e lə devəlɔpəmɑ̃ ekɔnɔmikə avɑ̃se dε pεiz- a kyltyʁə də pʁɔtεstɑ̃tismə tʁadisjɔnεl. isi ε pʁɔmi dɑ̃ lapɔkalipsə lə batɔ̃ də fεʁ dɑ̃ la mɛ̃. la mɛ̃ fɔʁtə də samsɔ̃ osi. la pεʁseveʁɑ̃sə dy tʁavaj dy kœʁ. , leɡlizə sɥivɑ̃tə a saʁdə : lε dɔminasjɔ̃ plysz- u mwɛ̃ sεktεʁəz- e ʃismatikə. sεt- ynə ʁəʃεʁʃə dεz- afame də sə fεʁə ʁasazje o plys vitə. lə-o dy vɑ̃tʁə kɔmə pwɛ̃ dɑ̃ lə kɔʁ. suvɑ̃ sə nε pa ase spiʁitɥεl kɔmə « əzay ʃe mkdɔnalds ». sɑ̃ ʁəkɔnεtʁə lə kɔʁ də kʁist ɑ̃n- ɑ̃tje suvɑ̃ ɔ̃ ʃεʁʃə isi də sə ʁasazje vitə fε paʁ œ̃ kɔmɑ̃dəmεnt (u ynə pʁatikə) a la lεtʁə tiʁe də lɑ̃sɑ̃blə də lekʁityʁə e tʁadisjɔ̃. sɔ̃ pʁoʃə də la mɔʁ səlɔ̃ lapɔkalipsə e səlɔ̃ εs te pɔl syʁ lε kɔmynjɑ̃ sɑ̃ ʁəkɔnεsɑ̃sə dy kɔʁz- ɑ̃tje. puʁtɑ̃ isi il i a kεlk bɔ̃ samaʁitɛ̃ pʁɔ̃z- a vəniʁ ɑ̃n- εdə puʁ εde u ʁasazje. osi la samaʁitεnə fotinə ki a dɔne lo a ʒezysz- aswafe. εllə pʁɔ̃ptə osi a kʁwaʁə sɑ̃ fanatismə ɑ̃ mεtɑ̃ ʒezysz- ɑ̃n- epʁəvə. e a pʁεʃe. kɔ̃tʁə lə vidə meʃɑ̃ ki ɑ̃lεvə la vi lə vɑ̃tʁə. il fo ʁeεllmɑ̃ εtʁə vivɑ̃ e nɔ̃ pa sələmɑ̃ ɑ̃ paʁɔlə. , apʁε leɡlizə sɥivɑ̃tə də filadεlfi lε kɔptə, aʁmenjɛ̃, etjɔpjɛ̃ lə pwɛ̃t (« lœj » də sɑ̃sibilite) εn ba də vɑ̃tʁə. la pʁɔkʁeasjɔ̃, la nεsɑ̃sə. lε pətiz- a tʁavεʁ la pɔʁtə dy sjεl uvεʁtə tuʒuʁ. la ʒεstasjɔ̃. lε sɛ̃ ʁəsɑ̃blɑ̃z- oz- ɑ̃fɑ̃ səlɔ̃ lə kanɔ̃ tʁadisjɔnεl dikɔnɔɡʁafi isi. kɔmə zaʃe e david o kɔ̃pɔʁtəmɑ̃ ɑ̃fɑ̃tɛ̃. , e ɑ̃fɛ̃ leɡlizə sɥivɑ̃tə a laɔdise la filozɔfi e kyltyʁə tʁadisjɔnεllə pajεnə kɔmə lə budismə, taɔismə, ɛ̃duismə, kɔ̃fysjanismə, animalismə dafʁikə e ameʁikə, ʃɛ̃tɔismə e mεmə ɑ̃ ɡʁɑ̃də paʁti lislam tʁadisjɔnεl avək « labsɔlyt » dəs sεʁtɛ̃ filozɔfə ɡʁεk pa ase defini dɑ̃ sa bɔ̃te e amuʁ (amuʁ ki fε œ̃, yni ʁeεllmεnt) . sε la paʁti lə plys ba dy kɔʁ pʁε də la teʁə. sε pəpləz- asi paʁ teʁə. lε ʁwa maʒə maʁʃɑ̃z- a pje u asi syʁ dεz- animo. lə basɛ̃ dɑ̃ lε dɑ̃səz- afʁikεnə. lə plεziʁ e ʒwa dε fʁɥi də la kʁeasjɔ̃. lə ʁitmə də la natyʁə. ʒezys fʁapə a la pɔʁtə kɔmə εs te pɔl dɑ̃ laʁeɔpaʒə datεnə.
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vɛ̃t- e œ̃. lε mateʁjo dy tɑ̃plə də ʒeʁyzalεm sɔ̃t- osi pʁɔfetikəmɑ̃ sε sεt eɡlizə. dɑ̃ lə døz- εmə livʁə dε kʁɔnikəs (dø se aʃ dø pwɛ̃ sεpt) dɑ̃ lə tɑ̃plə də ʒeʁyzaləm (ki ε limaʒə dy kɔʁ dy kʁist səlɔ̃ levɑ̃ʒilə də εs te ʒan) il i avε sεt mateʁjo puʁ εkspʁime la sɛ̃təte. lε katʁə meto : ɔʁ, aʁʒe, bʁɔ̃zə (u kɥivʁə) εt fεʁ. e tʁwa tisys də kulœʁ puʁpʁə vjɔlε, kʁamwazi e ekaʁlatə. la tʁadyksjɔ̃ istɔʁikə dε tipə paʁtikylje dε tisysz- εt- apʁɔksimativə. lε tisys kɔʁεspɔ̃de o kyltyʁəz- avεk dε kalite plys femininə, tɑ̃di kə lε meto kɔʁεspɔ̃de o kyltyʁə plys maskylinəz- e patʁjaʁkalə. o fɔ̃ lε tʁwa tisys kɔʁεspɔ̃de o vεʁtys pʁɛ̃sipalə də la feminite. lə tisys bʁɔde aʁtistikəmɑ̃ ε la fɔʁsə də fεʁə nεtʁə (kɔmə lε kɔptə də filadεlfjə) , osi lə tisy də stə vəʁɔnikə e dy ʁwa libanε kɔ̃vεʁti səlɔ̃ la tʁadisjɔ̃ paʁ likonə syʁ lə tisy dynə sεʁvjεtə də ʒezys. lə tisy də lɛ̃ klεʁ sε dεtʁə ɡaʁdjεnə də pyʁəte ɑ̃ favœʁ də sε fʁεʁə. ynə ɡaʁdjεnə kɔmə lə bɔ̃ samaʁitɛ̃ avεk lə bɔ̃daʒə pʁɔ̃ syʁ dε plε dadam e ʒezys mεmə. la samaʁitεnə avεk lo puʁ laswafe (kεlk diɲə də saʁdəs) . e alɔʁ lə tisy də lεnə ʃo avεk la kɔlɔʁasjɔ̃ pʁɔfɔ̃də e pʁesjøzə kɔmə lə sjεl dε ʁwa maʒəs (eɡlizə də laɔdiseə) . lazyʁ də kɔ̃tɑ̃plasjɔ̃ dεz- ɑ̃sjɛ̃ disʁaεl. la pɔsibilite də kuvʁiʁ e kɔ̃sɔle. lε vεtəmɑ̃ də la vjεʁʒə bεllə e kɔʁedɑ̃ptʁisə.
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a nɔte kə « paʁadɔksaləmεnt » o sɑ̃tʁə də latɑ̃sjɔ̃ e pʁeɔkypasjɔ̃ də la kyltyʁə dislam ɔ̃ tʁuvə la famə kuvεʁtə dε tisys (sə kə kɔʁεspɔ̃t- a la klasifikasjɔ̃ də sεtə kyltyʁə kɔmə ynə dε kyltyʁə də laɔdise e ɑ̃ paʁti də saʁdəs) . la ʁəʃεʁʃə dy suflə e ɛ̃spiʁasjɔ̃ pyʁə metafɔʁikəmɑ̃.
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alɔʁ ʒɑ̃ ekʁivɑ̃ a sεt eɡlizəz- ε kɔmə uvʁje syʁ sεt mateʁjo. lε tʁwa tisys. e katʁə meto puʁ lε kyltyʁə plys patʁjaʁkaləz- e viʁilə. lɔʁ eɡlizə defεzə lε ʒɥifz- avεk la kyltyʁə də la memwaʁə dy samədi dy paʁadiz- avεk sɔ̃n- ɔʁ mɑ̃sjɔne dɑ̃ lə ʒənεzə. sεtə memwaʁə netε pa kɔʁɔ̃pɥ a babilɔnə lɔʁ də la divizjɔ̃ ɑ̃ lɑ̃ɡ. lɔʁ εt- inεʁtə. paʁ kɔ̃tʁə lɔʁ pø kɔʁɔ̃pʁə. , laʁʒe eɡlizə də smiʁnə lεz- ɔʁtɔdɔksə dɑ̃ sɔ̃ mεjœʁ lymilite dapaʁɑ̃sə daʁʒe, mε bjɛ̃ pʁesjøks (platinə a lɔʁiʒinə ɑ̃n- εspaɲɔl ε lə diminytif puʁ laʁʒe avεk sε kalites) puʁ lə nɔ̃bʁə dε kalites (mεmə « kɔ̃tʁə dε vɑ̃piʁəs » dəs tɔ̃bo blɑ̃ʃiz- e saʁkɔfaʒə kɔlɔʁes) . mεz- osi dε fo fʁεʁə faʁizjɛ̃z- avεk lε mɔnε də ʒydaz- iskaʁjɔtə. , lə bʁɔ̃zə (u kɥivʁə) ləs katɔlikəs (pεʁɡamə) . tuʒuʁ lε kloʃəz- u dεz- ɛ̃stʁymɑ̃z- a vɑ̃ ki sə fɔ̃ ɑ̃tɑ̃dʁə. lε paʁɔlə dy papə puʁ la vilə e lə mɔ̃də. a nɔte dɑ̃ lə døz- εmə livʁə dεzdʁaz- o tɑ̃plə ɔ̃ tʁuvε də bʁɔ̃zə fɛ̃ e dy kɥivʁə bʁijɑ̃ eɡoz- a lɔʁ. , lə fεʁ tiatiʁə la ʁefɔʁmə, lε pʁɔtεstɑ̃ tʁadisjɔnεl. lεspʁi də tʁavaj e də la fɔʁsə. œ̃ pø kɔmə la myzikə « əavi mətal » dynə paʁ fɔʁtə, mεz- osi εʒy pʁεskə kɔmə ʒezabεl avεk sa vwa dɑ̃ sɔ̃ kote neɡatif, la ɡaʁsə ɑ̃ ʁujə.
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ʒɑ̃ alɔʁz- ekʁi a sεt eɡlizə, tʁavajə avεk sεt mateʁjo. sεt- a diʁə ʒɑ̃ məzyʁə lə paʁviz- ɛ̃teʁjəʁ (apɔkalipsə ʃapitʁə ɔ̃zə) də sø ki ɑ̃tɑ̃de dɑ̃ sεt eɡlizə sεt- a diʁə dɑ̃ tutə ymanite kɔmə lə bɔ̃ samaʁitɛ̃, lε bɔ̃ samaʁitɛ̃. e εksklɥ lə paʁviz- εksteʁjœʁ dε kɔmynjɑ̃z- ɛ̃diɲəz- a la vi, dε meʃɑ̃ viɲəʁɔ̃. lə ʁulo dy pʁɔfεtə zaʃaʁi ɑ̃ fɔʁmə də fosijə e də tajə də la pɔʁtə dy tɑ̃plə (ɔ̃ nɔmə stə vjεʁʒə osi sεtə pɔʁtə pʁoʃə a εs te ʒɑ̃ səlɔ̃ levɑ̃ʒilə) . ʒɑ̃ lεɡlə ki vwa.
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kɔ̃sεʁnɑ̃ la kʁonolɔʒi dapaʁisjɔ̃ dε kyltyʁəz- e kɔ̃fesjɔ̃. ɔ̃ vwa plyto kə lε tisysz- e lε meto kɔmə la famə e lɔmə vɔ̃ a la ʁɑ̃kɔ̃tʁə kɔmynə kʁonolɔʒikəmɑ̃ : defεzə a tiatiʁə e də laɔdise a saʁdə. œ̃ pø kɔmə ladɔʁasjɔ̃ dε ʁwa maʒə pajɛ̃z- e dε bεʁʒe ʒɥif ki sə ʁɑ̃kɔ̃tʁe. lε ʃeʁybɛ̃z- e seʁafɛ̃.
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vɛ̃t- dø. alɔʁz- ɔ̃n- εt- aʁive vεʁ la kɔʁεspɔ̃dɑ̃sə sɥivɑ̃tə ɑ̃tʁə lε sεt eɡlizəz- e lε bʁɑ̃ʃə dε kyltyʁəz- e ʁəliʒjɔ̃ də lymanite (ləs bʁɑ̃ʃə ʁəsɑ̃blɑ̃təz- a sεt bʁɑ̃ʃə də lɑ̃padεʁə dy tɑ̃plə də ʒeʁyzalεm e laʁʃə də temwaɲaʒə dɑ̃ la mɛ̃ dy pʁəmje pʁεtʁə dy ʁɑ̃ də mεlʃizedεk : sεt- a diʁə dɑ̃ la mɛ̃ də ʒezys kʁist avεk sεt etwalə dɑ̃ lapɔkalipsə) :
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asteʁiskə œ̃. efεzə ʒɥif
asteʁiskə dø. smiʁnə ɔʁtɔdɔksəs (də lεst) kɔmə ʁysə, sεʁbəz- e ɡʁεk
asteʁiskə tʁwa. pεʁɡamə katɔlik
asteʁiskə katʁə. tiatiʁə la ʁefɔʁmə (pʁɔtεstɑ̃ tʁadisjɔnεl syʁtu lyteʁjɛ̃z- e kalvinistəs)
asteʁiskə sɛ̃k. saʁdə- lε sεktεʁəz- e ʃismatik syʁtu ləs « neɔpʁɔtεstɑ̃ts » ət « vjø kʁwajɑ̃ts »
asteʁiskə sis. filadεlfi lε kɔptə, aʁmenjɛ̃s (εt dotʁəs « ɔʁtɔdɔksəz- ɔʁjɛ̃toks »)
asteʁiskə sεt. laɔdise la filozɔfi pajεnə i kɔ̃pʁi budismə, taɔismə, ɛ̃duismə, mεmə lislam tʁadisjɔnεl ʁəsɑ̃blɑ̃ oz- esε də monoteismə də la filozɔfi ɑ̃tikə ɑ̃ ɡʁεsə u ɑ̃n- eʒiptə
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ɑ̃n- utʁə a nɔte : ɛ̃si ɔ̃ vwa lə ʒənεzə dy pʁɔtεstɑ̃tismə ɑ̃tʁə tiatiʁə e saʁdə. ɑ̃ pεʁdɑ̃ ɑ̃ paʁti la libεʁte kʁeativə e pyʁə də la vjεʁʒə maʁi : la ʁefɔʁmə buskylə vεʁ la statɥ də la libεʁte ameʁikεnə, tɑ̃di kə lε ʃismatik pase vεʁ la pyʁəte aʁtifisjεllə də pyʁitanismə də la « ʁεnə dɑ̃ɡləteʁə » avεk œ̃ tɔtalitaʁismə sεktεʁə e u la sumisjɔ̃ oz- εspʁi ki fɔ̃ tʁɑ̃ble.
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vɛ̃t- tʁwa. lɑ̃sɑ̃blə kɔʁεspɔ̃t- a laʁk ɑ̃ sjεl də nɔe ki ε dɔne kɔmə siɲə kil ni oʁa plys də delyʒə sybmεʁʒɑ̃ tutə la teʁə (ɲ nəf pwɛ̃ sɛ̃k tiʁε siks) . alɔʁ lε kyltyʁə dεz- ɑ̃fɑ̃ də nɔe syʁ teʁə fɔʁme sεt aʁk ɑ̃ sjεl ɑ̃ swa paʁ εllə mεmə. ki apaʁε dɑ̃ la nye sɔ̃bʁə (kɔmə setε deʒa lɔʁ də la døz- εmə ɡeʁə mɔ̃djalə ɑ̃ kɔalisjɔ̃ ɑ̃tifasistə) . ɑ̃ mεmə tɑ̃ nɔe ʁəswa avεk laʁk ɑ̃ sjεl lə kɔmɑ̃dəmεnt « ty nə tɥəʁa pwɛ̃t ». kə lə sɑ̃ ymɛ̃ səʁa ʁədəmɑ̃de dœ̃n- ɔmə u dynə bεtə. sε la pʁɔfeti kɔ̃tʁə lɑ̃tikʁist ɔmə bεtə.
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alɔʁ ʃakə kyltyʁə dεz- ɑ̃fɑ̃ də nɔe εkspʁimə paʁ sε mwajɛ̃ pʁɔpʁə- sə kɔmɑ̃dəmεnt « ty nə tɥəʁa pwɛ̃t ». kɔmə pʁedεstinez- a εtʁə lε paʁti dy kɔʁz- ynikə dy kʁist ʒezys də la liɲe dabεl e maʁi. tɑ̃di kə lε faʁizjɛ̃ səl sεt- a diʁə tus lεz- ipɔkʁitə sɔ̃ də la liɲe də kaɛ̃. dajœʁ sε la definisjɔ̃ ɛ̃tɥitivə də la kyltyʁə dɑ̃ lə kɔmɑ̃dəmεnt « ty nə tɥəʁa pwɛ̃t ». ʃakə kyltyʁə εkspʁimə sə kɔmɑ̃dəmɑ̃ avεk sε dɔ̃. sə kə distɛ̃ɡ ynə kyltyʁə də la sovaʒəʁi məʁtʁjεʁə e ipɔkʁitə. lεz- aʁbʁə- dε kyltyʁəz- osi evɔke lə paʁadi.
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alɔʁ ʃakə bʁɑ̃ʃə kyltyʁεllə də lymanite kɔʁεspɔ̃t- a ynə kulœʁ, ynə nɔtə myzikalə, œ̃ mateʁjεl dy tɑ̃plə kɔmœ̃, ynə də sεt vεʁtys pʁɛ̃sipalə, œ̃n- aʁʃɑ̃ʒə (ləs vjεʁʒə- dε vεʁtys sɔ̃ kɔ̃ʒyɡe ʃakynə a sɔ̃n- ɑ̃ʒə) , ynə paʁti dy kɔʁ də kʁist avεk sa sɑ̃sibilite e misjɔn (œ̃ pø kɔmə œ̃n- œj də ʃakʁa dɑ̃z- œ̃ sɑ̃s nɔ̃ ezɔteʁikə) . lε kulœʁ də likonə kɔmynə də ʒezys.
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alɔʁ sə sɔ̃ lεz- elys dε dεʁnje tɑ̃ : « sil ni oʁε pa delysz- okynə ʃεʁ nə seʁε sove, mεz- a kozə dεz- elys sε ʒuʁs (də tʁibylasjɔn) səʁɔ̃ ʁakuʁsis » (evɑ̃ʒilə) . alɔʁ sø ki ɑ̃tɑ̃de lεspʁi dɑ̃ sεt eɡlizə, lə paʁviz- ɛ̃teʁjœʁ də lymanite dε diɲə kɔmynjɑ̃z- a la vjə (apɔkalipsə ʃapitʁə ɔ̃zə) sε laʁk ɑ̃ sjεl də nɔe. lε sεt milə də sɛ̃ ʁεstə deli. lε meʃɑ̃ viɲəʁɔ̃ sɔ̃t- εksklys.
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la pɔʁtə də laʁʃə də temwaɲaʒə kʁetjən (apɔkalipsə ʃapitʁə ɔ̃zə) . ɑ̃ məzyʁə dy ʁulo fosijə də livʁə də zaʃaʁi pʁɔfεtə. lə ʁulo suvʁə « a bʁyle lε mεzɔ̃ ki vɔle e paʁʒyʁεnt » dɑ̃ lə sɑ̃s də ʒydaz- iskaʁjɔtə vɔlœʁ avεk ynə fosə salytasjɔ̃. kaʁ ʒezys na pa də tʁwaz- εmə ʒu a εtʁə ʒifle a pεʁpetɥite. e sø ki sɔ̃t- avøɡləz- e ɔ̃ bəzwɛ̃ də vwaʁ ʒezysz- ɑ̃ lə tuʃɑ̃ puʁ ʁətʁuve la vɥ ɔ̃ lε dø ʒu plεnəmɑ̃. sɑ̃ dε fo pʁεtʁəz- atuʃɑ̃.
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vɛ̃t- katʁə. tu səla kɔʁεspɔ̃ finaləmɑ̃ a sə kə la sɛ̃tə vjεʁʒə maʁi di aktɥεllmɑ̃ a mεdʒyɡɔʁʒə (u εllə apaʁε kɔmə ʁεnə də la pε, də la pε dy kʁist, a tus, ʒə diʁεs « a la mεzɔ̃ də lymanite ɑ̃tjεʁə » avεk sa pεks) . syʁ la kεstjɔ̃ dεz- ɑ̃fɑ̃ vwajɑ̃ syʁ lε ʁəliʒjɔ̃ dy mɔ̃də εllə ʁepɔ̃d « il i ɑ̃n- a ki sɔ̃ bɔnəz- e mwɛ̃ bɔnəs ». paʁ kɔ̃tʁə a la kεstjɔn « ki sɔ̃ lε fʁɑ̃k masɔ̃ ? » εllə ʁepɔ̃d « sə sɔ̃ lε sεʁvitœʁ dy satan ». ʒystəmɑ̃ dɑ̃ mɔ̃n- εksplikasjɔ̃ la lɔʒə ε la fosə ʁεnə ʒezabεl ki ʁeysi lə plys dɑ̃ lε pεi pʁɔtεstɑ̃z- a tiatiʁə. dəʁjεʁə lə ʁido sɔ̃ səs « pʁɔfɔ̃dœʁ də satan » səlɔ̃ lεkspʁesjɔ̃ dapɔkalipsə. kɔmə εzi lɔʁ dεz- apaʁisjɔ̃ ʁesɑ̃tə dɑ̃ la ʁeʒjɔ̃ paʁizjεnə la vjεʁʒə dit « il i a dε ʒɑ̃ ki ʃεʁʃe mɔ̃ fis nɔ̃ pa puʁ εtʁə sove, mε puʁ lə tɥe, sə sɔ̃ lε fʁɑ̃k masɔ̃s ». avεk lœʁ ʁəʃεʁʃəz- ezɔteʁik dy puvwaʁ e manipylasjɔ̃ ɑ̃vεʁ lεz- ɛ̃dividys, lε pəpləz- e lymanite puʁ sedɥiʁə a tɥe ʒezysz- ɑ̃ swa lamuʁ ki ε la kozə, lə pʁɛ̃sipə e lə vεʁbə. a mεdʒyɡɔʁʒə εllə paʁlə ɑ̃ paʁtikylje də la pʁezɑ̃sə ɑ̃ paʁti də la ɡʁasə dɑ̃ dε sakʁəmɑ̃ ʃe dε pʁɔtεstɑ̃ts (nɔtʁə damə də la ɡʁasə) . εllə fε osi ynə apɔlɔʒi puʁ sεʁtɛ̃ kʁwajɑ̃ myzylmɑ̃. kɔmə dajœʁz- εllə fε dε miʁaklə də ɡeʁizɔ̃ puʁ sεʁtɛ̃ myzylmɑ̃z- a sufanjε ɑ̃ siʁjə (ləs apaʁisjɔ̃ ʁəkɔnɥ paʁ lε tʁwa patʁjaʁka tʁadisjɔnεllə dɑ̃sjoʃə) . e ajœʁz- a pʁoʃə ɔʁjɛ̃t (nɔtʁə damə də sinaj) . ɑ̃n- ɑ̃sɑ̃blə ɔ̃ pø vwaʁ dɑ̃ la sɔmə də sεz- apaʁisjɔ̃ plys kə ʒamε la famə də duzə εmə ʃapitʁə dapɔkalipsə. ki fε tuʒuʁ nεtʁə lə vεʁbə də la pʁεʃə a sε dεʁnje tɑ̃, malɡʁe lə sεʁpe dʁaɡɔ̃ ʁuʒə faʁizjɛ̃ dapɔstazi ipɔkʁitə. dajœʁz- a mεdʒyɡɔʁʒə εllə di kə sε sa dεʁnjεʁə apaʁisjɔ̃ kɑ̃t- εllə sadʁεsə kɔmə sa uvεʁtəmɑ̃ a tus. εllə na kə dø ʒu puʁ εtʁə ʒifle paʁ dεz- avøɡləz- ɑ̃ mɑ̃kə də kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃, mε kɔmə syzanə biblikə εllə nə va pa sə livʁe o meʃɑ̃ viɲəʁɔ̃ ki malmεne lε sjɛ̃ dɑ̃ labimə də la bεtə ki sɔʁ dε kœʁz- ipɔkʁitəs (apɔkalipsə ʃapitʁə ɔ̃zə) .
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vɛ̃t- sɛ̃k. livʁə də la saʒεsə :

εs ʒe sεzə : vɛ̃ tiʁε vɛ̃t- e œ̃ :
plys
« o kɔ̃tʁεʁə, sεt- ynə nuʁʁityʁə dɑ̃ʒə kə ty a dɔne a tɔ̃ pəplə, e sεt- œ̃ pɛ̃ tu pʁepaʁe kə, dy sjεl, ty lœʁ a fuʁni ɛ̃lasabləmɑ̃, œ̃ pɛ̃ kapablə də pʁɔkyʁe tutə lε delisəz- e də satisfεʁə tus lε ɡu,

e la sybstɑ̃sə kə ty dɔnε manifεstε ta dusœʁ ɑ̃vεʁ tεz- ɑ̃fɑ̃, e, sakɔmɔdɑ̃ o ɡu də səlɥi ki la pʁənε, εllə sə ʃɑ̃ʒε ɑ̃ sə kə ʃakœ̃ vulε. »
plys
alɔʁ tusz- ɑ̃sɑ̃blə sε la manə lə pɛ̃ dy sjεl ʒezys kʁist, sɔ̃ kɔʁ. εksεpte lε meʃɑ̃ viɲəʁɔ̃ ki atɑ̃de lə faʁizjɛ̃ e lə nuvo ʒydaz- iskaʁjɔtə lɑ̃tikʁist (pø ʁəkɔnεsablə sɑ̃ la plənitydə də dɔ̃ də lεspʁi sɛ̃ ki paʁlə oz- eɡlizəz- e a lymanite ɑ̃tjεʁə) .