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Poeme : Fable



Fable

Fable

C’est un prisonnier qui avait commis,
Fautes et crimes perpétuels,
Attaché par des cordes pour le punir,
Les liens qui le rattachaient à notre Terre maternelle.

Il tirait jour et nuit,
Criait sa peine,
Hurlait son repentir,
Mais personne n’était plus là pour l’entendre dans ces ténèbres.

Et ce menteur, devenu grand repenteur,
Finit par mourir de douleur.

Si il avait mieux regardé,
Il aurait vu, gisant au sol, en perdition,
Dans le noir, devenu son allié,
Des dizaine de couteaux tranchants, gémissant à l’unisson.
Sen

PostScriptum

Au cas où vous ne l’auriez pas compris les couteaux auraient pu servir au prisonnier de trancher les cordes qui le retenaient prisonnier et de s’enfuir (et oui il m’arrive d’être sadique dans mes poèmes) ^^ ! Et donc la moral de cette fable : quand vous a


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Poème en Phonétique

fablə

sεt- œ̃ pʁizɔnje ki avε kɔmi,
fotəz- e kʁimə pεʁpetɥεl,
ataʃe paʁ dε kɔʁdə- puʁ lə pyniʁ,
lε ljɛ̃ ki lə ʁataʃε a nɔtʁə teʁə matεʁnεllə.

il tiʁε ʒuʁ e nɥi,
kʁjε sa pεnə,
yʁlε sɔ̃ ʁəpɑ̃tiʁ,
mε pεʁsɔnə netε plys la puʁ lɑ̃tɑ̃dʁə dɑ̃ sε tenεbʁə.

e sə mɑ̃tœʁ, dəvəny ɡʁɑ̃ ʁəpɑ̃tœʁ,
fini paʁ muʁiʁ də dulœʁ.

si il avε mjø ʁəɡaʁde,
il oʁε vy, ʒizɑ̃ o sɔl, ɑ̃ pεʁdisjɔ̃,
dɑ̃ lə nwaʁ, dəvəny sɔ̃n- alje,
dε dizεnə də kuto tʁɑ̃ʃɑ̃, ʒemisɑ̃ a lynisɔ̃.