Texte : Douloureuse Réflexion
A Propos
J’ai été dégoutté par les femmes et est une peur de l’homme très présente, ne pouvant pas vivre dans un corps me répugnant j’ai décidé de devenir un homme et cela même si c’est pour certains une mutilation.
Je ne veux pas offenser les femmes à travers cet écrit, je suis juste complètement répugnait par moi-même et est tendance à en faire une généralité. Excusez-moi d’avances si cela peu en mettre mal certaines ce n’est absolument pas mon but.
Et surtout portez-vous bien.
Douloureuse Réflexion
S’il y avait un moyen d’aimer mon corps,
D’aimer cette nature,
Ce genre.
Mes démons,
M’obligent à gardé en mémoire,
C’est moment malsain de mon enfance.
Cette douleur massacrante.
Cette soif de changement.
Tous ça pour une société qui nous dicte,
De quelle nature nous sommes,
Dans quelle case se mettre.
Tous ça pour un type,
Un prince à ma mère,
Un monstre à la tête à l’envers.
Ni l’un ni l’autre ?
Impossible,
Il faudra toujours choisir.
De toute façon il est trop tard.
Pour enlever ce dégoût étouffant.
Elles sont jolies pourtant.
Mais moi, ça ne me ressemble pas.
Elles peuvent être fortes tu sais.
Autant crevé que faire partie d’un telle genre.
J’étais bien dans mon monde.
Dans cette enfance.
Ni l’un ni l’autre.
Aucun détail,
Aucune insulte,
Aucun jugement.
Mais la violence des mots,
L’abandon des princes.
Princesse et princesse ?
C’est le seul moyen de rester dans ce corps,
Mais je ne pourrais pas retirer cette peur.
Comment ferais-je si je tombe amoureux ?
Comment ferais-je si c’est le genre opposé ?
J’ai toujours décidé de suivre l’amour,
Si peu raisonnable soit-il.
Si je dois changer,
Me « mutilais » comme ils disent.
Je le ferais, sans hésiter.
La peur m’a forgée à devenir un homme.
Elle m’a dégoûtée à resté une abomination.
Le mot est fort, certes.
Mes amis me disent souvent que j’y vais trop fort,
Que je peux blesser les autres.
Les autres choses.
Si ont les voyait comme des humains,
Ça ferait longtemps que tout ça serait arrêté.
Je ne veux pas prendre le risque de me faire violer,
Comme une merde dans la rue.
J’en ai marre d’être parano de regarder,
Dans tous les coins,
S’il y en un qui m’aurait suivi.
J’en ai marre d’être dégoutté,
De m’humilier aussi.
Je suis misogyne ?
Croyez-moi je suis largement plus féministe que ceux qui se disent l’être.
Et je préfère défendre une humanité plutôt qu’une de ces parties.
Je suis tellement logique,
Mais ce raisonnement est si illogique.
Une peur insurmontable d’un genre que je veux devenir.
Mais n’est-ce pas évident de vouloir se détacher d’une chose si répugnante ?
Tu aimes les deux pourtant.
Oui, mais je refuse de faire partie de personne qu’on prend pour des faibles.
Se faire pénétrer sans avoir le pouvoir de le faire c’est tellement répugnant.
Sous-estimé a vie.
Les hommes ont leurs problèmes tu sais,
Leurs obligations,
Leurs violes,
Et on les défend encore moins que les femmes.
Je sais,
Mais je suis incapable de rester dans un genre qui m’a montré a plusieurs reprises son incapacité a ce montré digne.
Je préfère devenir de quoi j’ai peur que de rester ce qui me dégoute.
Je me dégoute.
Toujours être belle,
Présentable,
Bien parlé,
Être aimante,
Gentille,
Se faire dominer.
C’est répugnant, dégueulasse, terrifiant !
Je n’arrive pas à me dire que l’ont peut-être une de ces choses sans être faible !
J’y arrive pas.
Si je pouvais être aucun des deux.
Pas de sexe.
Pas de vie sexuelle.
Tous ça me dégoûte,
Dès qu’on en parle,
Dès que c’est sur la femme,
J’ai la nausée.
Impossible d’en parlé,
De les entendre en parlé,
De suivre un simple cours de SVT.
Faire un schéma d’une chose si abominable,
J’en suis incapable.
Devenir un homme,
Ceux qui me font peur,
C’est vraiment la solution ?
Ou peut-être que me tuait serait la meilleure des solutions.
Je veux mourir, mais je dois rester.
Je changerais juste alors,
Me mutilerais pour me libérer.
Je ne veux plus être vue comme quelques choses de faible, de dominé, un lot de consolation, une femme tout simplement.
Moi aussi je veux être humain.
C’est pour ça que je serais un homme jusqu’à la fin.
D’aimer cette nature,
Ce genre.
Mes démons,
M’obligent à gardé en mémoire,
C’est moment malsain de mon enfance.
Cette douleur massacrante.
Cette soif de changement.
Tous ça pour une société qui nous dicte,
De quelle nature nous sommes,
Dans quelle case se mettre.
Tous ça pour un type,
Un prince à ma mère,
Un monstre à la tête à l’envers.
Ni l’un ni l’autre ?
Impossible,
Il faudra toujours choisir.
De toute façon il est trop tard.
Pour enlever ce dégoût étouffant.
Elles sont jolies pourtant.
Mais moi, ça ne me ressemble pas.
Elles peuvent être fortes tu sais.
Autant crevé que faire partie d’un telle genre.
J’étais bien dans mon monde.
Dans cette enfance.
Ni l’un ni l’autre.
Aucun détail,
Aucune insulte,
Aucun jugement.
Mais la violence des mots,
L’abandon des princes.
Princesse et princesse ?
C’est le seul moyen de rester dans ce corps,
Mais je ne pourrais pas retirer cette peur.
Comment ferais-je si je tombe amoureux ?
Comment ferais-je si c’est le genre opposé ?
J’ai toujours décidé de suivre l’amour,
Si peu raisonnable soit-il.
Si je dois changer,
Me « mutilais » comme ils disent.
Je le ferais, sans hésiter.
La peur m’a forgée à devenir un homme.
Elle m’a dégoûtée à resté une abomination.
Le mot est fort, certes.
Mes amis me disent souvent que j’y vais trop fort,
Que je peux blesser les autres.
Les autres choses.
Si ont les voyait comme des humains,
Ça ferait longtemps que tout ça serait arrêté.
Je ne veux pas prendre le risque de me faire violer,
Comme une merde dans la rue.
J’en ai marre d’être parano de regarder,
Dans tous les coins,
S’il y en un qui m’aurait suivi.
J’en ai marre d’être dégoutté,
De m’humilier aussi.
Je suis misogyne ?
Croyez-moi je suis largement plus féministe que ceux qui se disent l’être.
Et je préfère défendre une humanité plutôt qu’une de ces parties.
Je suis tellement logique,
Mais ce raisonnement est si illogique.
Une peur insurmontable d’un genre que je veux devenir.
Mais n’est-ce pas évident de vouloir se détacher d’une chose si répugnante ?
Tu aimes les deux pourtant.
Oui, mais je refuse de faire partie de personne qu’on prend pour des faibles.
Se faire pénétrer sans avoir le pouvoir de le faire c’est tellement répugnant.
Sous-estimé a vie.
Les hommes ont leurs problèmes tu sais,
Leurs obligations,
Leurs violes,
Et on les défend encore moins que les femmes.
Je sais,
Mais je suis incapable de rester dans un genre qui m’a montré a plusieurs reprises son incapacité a ce montré digne.
Je préfère devenir de quoi j’ai peur que de rester ce qui me dégoute.
Je me dégoute.
Toujours être belle,
Présentable,
Bien parlé,
Être aimante,
Gentille,
Se faire dominer.
C’est répugnant, dégueulasse, terrifiant !
Je n’arrive pas à me dire que l’ont peut-être une de ces choses sans être faible !
J’y arrive pas.
Si je pouvais être aucun des deux.
Pas de sexe.
Pas de vie sexuelle.
Tous ça me dégoûte,
Dès qu’on en parle,
Dès que c’est sur la femme,
J’ai la nausée.
Impossible d’en parlé,
De les entendre en parlé,
De suivre un simple cours de SVT.
Faire un schéma d’une chose si abominable,
J’en suis incapable.
Devenir un homme,
Ceux qui me font peur,
C’est vraiment la solution ?
Ou peut-être que me tuait serait la meilleure des solutions.
Je veux mourir, mais je dois rester.
Je changerais juste alors,
Me mutilerais pour me libérer.
Je ne veux plus être vue comme quelques choses de faible, de dominé, un lot de consolation, une femme tout simplement.
Moi aussi je veux être humain.
C’est pour ça que je serais un homme jusqu’à la fin.
Shinto
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Poème en Phonétique
sil i avε œ̃ mwajɛ̃ dεme mɔ̃ kɔʁ,
dεme sεtə natyʁə,
sə ʒɑ̃ʁə.
mε demɔ̃,
mɔbliʒe a ɡaʁde ɑ̃ memwaʁə,
sε mɔmɑ̃ malsɛ̃ də mɔ̃n- ɑ̃fɑ̃sə.
sεtə dulœʁ masakʁɑ̃tə.
sεtə swaf də ʃɑ̃ʒəmɑ̃.
tus sa puʁ ynə sɔsjete ki nu diktə,
də kεllə natyʁə nu sɔmə,
dɑ̃ kεllə kazə sə mεtʁə.
tus sa puʁ œ̃ tipə,
œ̃ pʁɛ̃sə a ma mεʁə,
œ̃ mɔ̃stʁə a la tεtə a lɑ̃vεʁ.
ni lœ̃ ni lotʁə ?
ɛ̃pɔsiblə,
il fodʁa tuʒuʁ ʃwaziʁ.
də tutə fasɔ̃ il ε tʁo taʁ.
puʁ ɑ̃ləve sə deɡu etufɑ̃.
εllə sɔ̃ ʒɔli puʁtɑ̃.
mε mwa, sa nə mə ʁəsɑ̃blə pa.
εllə pəve εtʁə fɔʁtə- ty sε.
otɑ̃ kʁəve kə fεʁə paʁti dœ̃ tεllə ʒɑ̃ʁə.
ʒetε bjɛ̃ dɑ̃ mɔ̃ mɔ̃də.
dɑ̃ sεtə ɑ̃fɑ̃sə.
ni lœ̃ ni lotʁə.
okœ̃ detaj,
okynə ɛ̃syltə,
okœ̃ ʒyʒəmɑ̃.
mε la vjɔlɑ̃sə dε mo,
labɑ̃dɔ̃ dε pʁɛ̃sə.
pʁɛ̃sεsə e pʁɛ̃sεsə ?
sε lə səl mwajɛ̃ də ʁεste dɑ̃ sə kɔʁ,
mε ʒə nə puʁʁε pa ʁətiʁe sεtə pœʁ.
kɔmɑ̃ fəʁε ʒə si ʒə tɔ̃bə amuʁø ?
kɔmɑ̃ fəʁε ʒə si sε lə ʒɑ̃ʁə ɔpoze ?
ʒε tuʒuʁ deside də sɥivʁə lamuʁ,
si pø ʁεzɔnablə swa til.
si ʒə dwa ʃɑ̃ʒe,
mə « mytilεs » kɔmə il dize.
ʒə lə fəʁε, sɑ̃z- ezite.
la pœʁ ma fɔʁʒe a dəvəniʁ œ̃n- ɔmə.
εllə ma deɡute a ʁεste ynə abɔminasjɔ̃.
lə mo ε fɔʁ, sεʁtə.
mεz- ami mə dize suvɑ̃ kə ʒi vε tʁo fɔʁ,
kə ʒə pø blese lεz- otʁə.
lεz- otʁə- ʃozə.
si ɔ̃ lε vwajε kɔmə dεz- ymɛ̃,
sa fəʁε lɔ̃tɑ̃ kə tu sa səʁε aʁεte.
ʒə nə vø pa pʁɑ̃dʁə lə ʁiskə də mə fεʁə vjɔle,
kɔmə ynə mεʁdə dɑ̃ la ʁy.
ʒɑ̃n- ε maʁə dεtʁə paʁano də ʁəɡaʁde,
dɑ̃ tus lε kwɛ̃,
sil i ɑ̃n- œ̃ ki moʁε sɥivi.
ʒɑ̃n- ε maʁə dεtʁə deɡute,
də mymilje osi.
ʒə sɥi mizɔʒinə ?
kʁwaje mwa ʒə sɥi laʁʒəmɑ̃ plys feministə kə sø ki sə dize lεtʁə.
e ʒə pʁefεʁə defɑ̃dʁə ynə ymanite plyto kynə də sε paʁti.
ʒə sɥi tεllmɑ̃ lɔʒikə,
mε sə ʁεzɔnəmɑ̃ ε si illɔʒikə.
ynə pœʁ ɛ̃syʁmɔ̃tablə dœ̃ ʒɑ̃ʁə kə ʒə vø dəvəniʁ.
mε nε sə pa evide də vulwaʁ sə detaʃe dynə ʃozə si ʁepyɲɑ̃tə ?
ty εmə lε dø puʁtɑ̃.
ui, mε ʒə ʁəfyzə də fεʁə paʁti də pεʁsɔnə kɔ̃ pʁɑ̃ puʁ dε fεblə.
sə fεʁə penetʁe sɑ̃z- avwaʁ lə puvwaʁ də lə fεʁə sε tεllmɑ̃ ʁepyɲɑ̃.
suz- εstime a vi.
lεz- ɔməz- ɔ̃ lœʁ pʁɔblεmə ty sε,
lœʁz- ɔbliɡasjɔ̃,
lœʁ vjɔlə,
e ɔ̃ lε defɑ̃t- ɑ̃kɔʁə mwɛ̃ kə lε famə.
ʒə sε,
mε ʒə sɥiz- ɛ̃kapablə də ʁεste dɑ̃z- œ̃ ʒɑ̃ʁə ki ma mɔ̃tʁe a plyzjœʁ ʁəpʁizə sɔ̃n- ɛ̃kapasite a sə mɔ̃tʁe diɲə.
ʒə pʁefεʁə dəvəniʁ də kwa ʒε pœʁ kə də ʁεste sə ki mə deɡutə.
ʒə mə deɡutə.
tuʒuʁz- εtʁə bεllə,
pʁezɑ̃tablə,
bjɛ̃ paʁle,
εtʁə εmɑ̃tə,
ʒɑ̃tijə,
sə fεʁə dɔmine.
sε ʁepyɲɑ̃, deɡəlasə, teʁifjɑ̃ !
ʒə naʁivə pa a mə diʁə kə lɔ̃ pø tεtʁə ynə də sε ʃozə sɑ̃z- εtʁə fεblə !
ʒi aʁivə pa.
si ʒə puvεz- εtʁə okœ̃ dε dø.
pa də sεksə.
pa də vi sεksɥεllə.
tus sa mə deɡutə,
dε kɔ̃n- ɑ̃ paʁlə,
dε kə sε syʁ la famə,
ʒε la noze.
ɛ̃pɔsiblə dɑ̃ paʁle,
də lεz- ɑ̃tɑ̃dʁə ɑ̃ paʁle,
də sɥivʁə œ̃ sɛ̃plə kuʁ də εs ve te.
fεʁə œ̃ ʃema dynə ʃozə si abɔminablə,
ʒɑ̃ sɥiz- ɛ̃kapablə.
dəvəniʁ œ̃n- ɔmə,
sø ki mə fɔ̃ pœʁ,
sε vʁεmɑ̃ la sɔlysjɔ̃ ?
u pø tεtʁə kə mə tɥε səʁε la mεjəʁə dε sɔlysjɔ̃.
ʒə vø muʁiʁ, mε ʒə dwa ʁεste.
ʒə ʃɑ̃ʒəʁε ʒystə alɔʁ,
mə mytiləʁε puʁ mə libeʁe.
ʒə nə vø plysz- εtʁə vɥ kɔmə kεlk ʃozə də fεblə, də dɔmine, œ̃ lo də kɔ̃sɔlasjɔ̃, ynə famə tu sɛ̃pləmɑ̃.
mwa osi ʒə vøz- εtʁə ymɛ̃.
sε puʁ sa kə ʒə səʁεz- œ̃n- ɔmə ʒyska la fɛ̃.
dεme sεtə natyʁə,
sə ʒɑ̃ʁə.
mε demɔ̃,
mɔbliʒe a ɡaʁde ɑ̃ memwaʁə,
sε mɔmɑ̃ malsɛ̃ də mɔ̃n- ɑ̃fɑ̃sə.
sεtə dulœʁ masakʁɑ̃tə.
sεtə swaf də ʃɑ̃ʒəmɑ̃.
tus sa puʁ ynə sɔsjete ki nu diktə,
də kεllə natyʁə nu sɔmə,
dɑ̃ kεllə kazə sə mεtʁə.
tus sa puʁ œ̃ tipə,
œ̃ pʁɛ̃sə a ma mεʁə,
œ̃ mɔ̃stʁə a la tεtə a lɑ̃vεʁ.
ni lœ̃ ni lotʁə ?
ɛ̃pɔsiblə,
il fodʁa tuʒuʁ ʃwaziʁ.
də tutə fasɔ̃ il ε tʁo taʁ.
puʁ ɑ̃ləve sə deɡu etufɑ̃.
εllə sɔ̃ ʒɔli puʁtɑ̃.
mε mwa, sa nə mə ʁəsɑ̃blə pa.
εllə pəve εtʁə fɔʁtə- ty sε.
otɑ̃ kʁəve kə fεʁə paʁti dœ̃ tεllə ʒɑ̃ʁə.
ʒetε bjɛ̃ dɑ̃ mɔ̃ mɔ̃də.
dɑ̃ sεtə ɑ̃fɑ̃sə.
ni lœ̃ ni lotʁə.
okœ̃ detaj,
okynə ɛ̃syltə,
okœ̃ ʒyʒəmɑ̃.
mε la vjɔlɑ̃sə dε mo,
labɑ̃dɔ̃ dε pʁɛ̃sə.
pʁɛ̃sεsə e pʁɛ̃sεsə ?
sε lə səl mwajɛ̃ də ʁεste dɑ̃ sə kɔʁ,
mε ʒə nə puʁʁε pa ʁətiʁe sεtə pœʁ.
kɔmɑ̃ fəʁε ʒə si ʒə tɔ̃bə amuʁø ?
kɔmɑ̃ fəʁε ʒə si sε lə ʒɑ̃ʁə ɔpoze ?
ʒε tuʒuʁ deside də sɥivʁə lamuʁ,
si pø ʁεzɔnablə swa til.
si ʒə dwa ʃɑ̃ʒe,
mə « mytilεs » kɔmə il dize.
ʒə lə fəʁε, sɑ̃z- ezite.
la pœʁ ma fɔʁʒe a dəvəniʁ œ̃n- ɔmə.
εllə ma deɡute a ʁεste ynə abɔminasjɔ̃.
lə mo ε fɔʁ, sεʁtə.
mεz- ami mə dize suvɑ̃ kə ʒi vε tʁo fɔʁ,
kə ʒə pø blese lεz- otʁə.
lεz- otʁə- ʃozə.
si ɔ̃ lε vwajε kɔmə dεz- ymɛ̃,
sa fəʁε lɔ̃tɑ̃ kə tu sa səʁε aʁεte.
ʒə nə vø pa pʁɑ̃dʁə lə ʁiskə də mə fεʁə vjɔle,
kɔmə ynə mεʁdə dɑ̃ la ʁy.
ʒɑ̃n- ε maʁə dεtʁə paʁano də ʁəɡaʁde,
dɑ̃ tus lε kwɛ̃,
sil i ɑ̃n- œ̃ ki moʁε sɥivi.
ʒɑ̃n- ε maʁə dεtʁə deɡute,
də mymilje osi.
ʒə sɥi mizɔʒinə ?
kʁwaje mwa ʒə sɥi laʁʒəmɑ̃ plys feministə kə sø ki sə dize lεtʁə.
e ʒə pʁefεʁə defɑ̃dʁə ynə ymanite plyto kynə də sε paʁti.
ʒə sɥi tεllmɑ̃ lɔʒikə,
mε sə ʁεzɔnəmɑ̃ ε si illɔʒikə.
ynə pœʁ ɛ̃syʁmɔ̃tablə dœ̃ ʒɑ̃ʁə kə ʒə vø dəvəniʁ.
mε nε sə pa evide də vulwaʁ sə detaʃe dynə ʃozə si ʁepyɲɑ̃tə ?
ty εmə lε dø puʁtɑ̃.
ui, mε ʒə ʁəfyzə də fεʁə paʁti də pεʁsɔnə kɔ̃ pʁɑ̃ puʁ dε fεblə.
sə fεʁə penetʁe sɑ̃z- avwaʁ lə puvwaʁ də lə fεʁə sε tεllmɑ̃ ʁepyɲɑ̃.
suz- εstime a vi.
lεz- ɔməz- ɔ̃ lœʁ pʁɔblεmə ty sε,
lœʁz- ɔbliɡasjɔ̃,
lœʁ vjɔlə,
e ɔ̃ lε defɑ̃t- ɑ̃kɔʁə mwɛ̃ kə lε famə.
ʒə sε,
mε ʒə sɥiz- ɛ̃kapablə də ʁεste dɑ̃z- œ̃ ʒɑ̃ʁə ki ma mɔ̃tʁe a plyzjœʁ ʁəpʁizə sɔ̃n- ɛ̃kapasite a sə mɔ̃tʁe diɲə.
ʒə pʁefεʁə dəvəniʁ də kwa ʒε pœʁ kə də ʁεste sə ki mə deɡutə.
ʒə mə deɡutə.
tuʒuʁz- εtʁə bεllə,
pʁezɑ̃tablə,
bjɛ̃ paʁle,
εtʁə εmɑ̃tə,
ʒɑ̃tijə,
sə fεʁə dɔmine.
sε ʁepyɲɑ̃, deɡəlasə, teʁifjɑ̃ !
ʒə naʁivə pa a mə diʁə kə lɔ̃ pø tεtʁə ynə də sε ʃozə sɑ̃z- εtʁə fεblə !
ʒi aʁivə pa.
si ʒə puvεz- εtʁə okœ̃ dε dø.
pa də sεksə.
pa də vi sεksɥεllə.
tus sa mə deɡutə,
dε kɔ̃n- ɑ̃ paʁlə,
dε kə sε syʁ la famə,
ʒε la noze.
ɛ̃pɔsiblə dɑ̃ paʁle,
də lεz- ɑ̃tɑ̃dʁə ɑ̃ paʁle,
də sɥivʁə œ̃ sɛ̃plə kuʁ də εs ve te.
fεʁə œ̃ ʃema dynə ʃozə si abɔminablə,
ʒɑ̃ sɥiz- ɛ̃kapablə.
dəvəniʁ œ̃n- ɔmə,
sø ki mə fɔ̃ pœʁ,
sε vʁεmɑ̃ la sɔlysjɔ̃ ?
u pø tεtʁə kə mə tɥε səʁε la mεjəʁə dε sɔlysjɔ̃.
ʒə vø muʁiʁ, mε ʒə dwa ʁεste.
ʒə ʃɑ̃ʒəʁε ʒystə alɔʁ,
mə mytiləʁε puʁ mə libeʁe.
ʒə nə vø plysz- εtʁə vɥ kɔmə kεlk ʃozə də fεblə, də dɔmine, œ̃ lo də kɔ̃sɔlasjɔ̃, ynə famə tu sɛ̃pləmɑ̃.
mwa osi ʒə vøz- εtʁə ymɛ̃.
sε puʁ sa kə ʒə səʁεz- œ̃n- ɔmə ʒyska la fɛ̃.