Texte:Fou.

Cette étincelle noire
Dans tes yeux le soir
Laisse-moi la faire rayonner
Un peu plus profondément

Je suis désolé

Je sais comme tu m’aimes
Mais tu dois apprendre qu’il n’y a toujours eu que mon cas dans l’histoire
Jamais je t’offrirai autre que chose que la lame du rasoir

Quitte-moi

Arrête de faire l’abrutie à me coller au basque
Tu sais très bien que les choses on prit une autre tournure
Depuis que je te torture

Ne me touche pas !

Oh chérie,
Tu as du mal à respirer ?
Regarde-moi cet air apeuré.
Tes entrains de pleurer.

Pitié. Je ne veux plus…

Salope !
Tu vois quelqu’un d’autres n’est-ce pas !
Tu me détestes ! Te joue de moi !

Je n’en peux plus…

« L’homme l’aurait tué de huit coups de couteau en plein cœur, une mort tragique assurément. »

Je suis une mauvaise personne.
Je te l’avais dit dès le début.
Tu ne m’as pas crû.

Te voilà au paradis,
J’espère que tu n’as plus d’insomnie.
Mon manque de confiance en toi m’a fait te torturait.
Te tuait.

Parce que je me trouve détestable,
Irresponsable.
Parce que j’ai besoin que tout le monde me déteste.
Besoin de pousser a bout.
Les gens capables de m’aimer,
De m’aider.

Le simple fait de me faire aimer,
Me pousse a croire qu’on me trahissait.
Le simple fait de me faire adorer,
Me pousse a vous faire me détestez.

Mais toi tu es resté.
Tous les jours,
Toutes les nuits.
Et te voilà morte,
Déchiqueté,
Ridiculiser.

Tu m’as souri à la fin,
Tu m’as murmuré que rien n’était grave.
Tu m’as dit de vivre.

Et je suis maintenant là,
À payer le prix.
Parce que je suis cinglé.

Je suis désolé,
De t’avoir approché,
De t’avoir fait m’aimer,
De t’avoir fait supporter,
Tous ces doutes que je portais.

Je t’aimais sincèrement.
Mais je suis fou.
Amour et folie ne sont pas compatibles.
Tu voulais me montrer la beauté de l’amour,
Et moi juste te trucider pour celui que tu me portais pour toujours.

Adieu.

« - Le fameux tueur de l’Oise et son crime passionnel qui faisait la une des journaux depuis hier, c’est suicidé dans sa cellule avec une lame de rasoir qu’il avait caché sous son lit, comme quoi les criminels paye, n’est-ce pas Pierre ?

- Effectivement Marc, encore un malade mental en moins pour la planète à essayer de guérir, c’est toujours mieux que rien ! »