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Poeme : Douze Sonnets Et Une Vie X (Pr Toi Titeblan)



Douze Sonnets Et Une Vie X (Pr Toi Titeblan)

NB : L’apostrophe (’) représente un « e » non prononcé, du fait de l’oralité des poèmes et d’effets de sonorité.

X.
C’est une gouttelette de passé vêtue
Qui porte un Elohim au fait du Moriah,
L’Olympe surplombant la dorée Ǽlia,
Fille débauchée de Jérusalem chue.

Il s’en va affronter un Hadès secondé
D’un Charon conquérant et son Léviathan
De Nidhogg les enfants, de l’Achéron sortant,
En un vil jour d’Athyr de Thémis oublié.

Ils ont déjà souillé le sang pur d’un Archange,
Ithuriel est tombé, et Daidha et Cédar,
Candides néophytes, ont roulé dans la fange.

Et la Phébé montante porte l’Adonaï
Vengeur, au-dessus Sirât, Bifrost au levant,
Défier l’Astaroth suborneur en un chant.

Le cygne s’élance rejoindre le Sinaï.
Sirian

PostScriptum

j te l dédie paske je l ador. . . il è pa facil a comprdr a coz d référenss mytholojk & otr mé ^c j l ador j te l dédie de bon coeur. . . a dfo d ariv a ten écrir 1 ! ! ! ! alé bisouxxxxxxx


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Poème en Phonétique

εn be : lapɔstʁɔfə () ʁεpʁezɑ̃tə yn « ə » nɔ̃ pʁonɔ̃se, dy fε də lɔʁalite dε pɔεməz- e defε də sonoʁite.

iks.
sεt- ynə ɡutəlεtə də pase vεtɥ
ki pɔʁtə œ̃n- əlɔim o fε dy mɔʁja,
lɔlɛ̃pə syʁplɔ̃bɑ̃ la dɔʁe lja,
fijə deboʃe də ʒeʁyzalεm ʃɥ.

il sɑ̃ va afʁɔ̃te œ̃-adε səɡɔ̃de
dœ̃ ʃaʁɔ̃ kɔ̃keʁɑ̃ e sɔ̃ levjatɑ̃
də nidɔɡ lεz- ɑ̃fɑ̃, də laʃeʁɔ̃ sɔʁtɑ̃,
ɑ̃n- œ̃ vil ʒuʁ datiʁ də temiz- ublje.

ilz- ɔ̃ deʒa suje lə sɑ̃ pyʁ dœ̃n- aʁʃɑ̃ʒə,
ityʁjεl ε tɔ̃be, e dεda e sedaʁ,
kɑ̃didə neɔfitə, ɔ̃ ʁule dɑ̃ la fɑ̃ʒə.

e la febe mɔ̃tɑ̃tə pɔʁtə ladɔnaj
vɑ̃ʒœʁ, o dəsy siʁa, bifʁɔst o ləvɑ̃,
defje lastaʁɔt sybɔʁnœʁ ɑ̃n- œ̃ ʃɑ̃.

lə siɲə selɑ̃sə ʁəʒwɛ̃dʁə lə sinaj.