Poeme : À L’ombre De Ma Mémoire,
À L’ombre De Ma Mémoire,
Quand, sauvage et rebelle, la mer venait se perdre entre tes dunes,
Ton corps, lascivement abandonné, s’offrait à son écume.
Le soleil se reflétait dans le bleu du lagon de tes yeux,
Tes longs cheveux de jais dansaient dans les vagues
Qui venaient mourir lascivement entre tes doigts.
Danseuse infatigable, ses flots bleus,
Ses dentelles de sel floconnées,
Glissaient sur tes hanches
Déposant sur ta peau
Ses larmes de sel.
Ton corps, lascivement abandonné, s’offrait à son écume.
Le soleil se reflétait dans le bleu du lagon de tes yeux,
Tes longs cheveux de jais dansaient dans les vagues
Qui venaient mourir lascivement entre tes doigts.
Danseuse infatigable, ses flots bleus,
Ses dentelles de sel floconnées,
Glissaient sur tes hanches
Déposant sur ta peau
Ses larmes de sel.
Tiamaraa
PostScriptum
Extrait du recueil : « À l’ombre de ton âme »
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Poème en Phonétique
kɑ̃, sovaʒə e ʁəbεllə, la mεʁ vənε sə pεʁdʁə ɑ̃tʁə tε dynə,
tɔ̃ kɔʁ, lasivəmɑ̃ abɑ̃dɔne, sɔfʁε a sɔ̃n- ekymə.
lə sɔlεj sə ʁəfletε dɑ̃ lə blø dy laɡɔ̃ də tεz- iø,
tε lɔ̃ɡ ʃəvø də ʒε dɑ̃sε dɑ̃ lε vaɡ
ki vənε muʁiʁ lasivəmɑ̃ ɑ̃tʁə tε dwa.
dɑ̃søzə ɛ̃fatiɡablə, sε flo bløs,
sε dɑ̃tεllə də sεl flɔkɔne,
ɡlisε syʁ tεz- ɑ̃ʃə
depozɑ̃ syʁ ta po
sε laʁmə- də sεl.
tɔ̃ kɔʁ, lasivəmɑ̃ abɑ̃dɔne, sɔfʁε a sɔ̃n- ekymə.
lə sɔlεj sə ʁəfletε dɑ̃ lə blø dy laɡɔ̃ də tεz- iø,
tε lɔ̃ɡ ʃəvø də ʒε dɑ̃sε dɑ̃ lε vaɡ
ki vənε muʁiʁ lasivəmɑ̃ ɑ̃tʁə tε dwa.
dɑ̃søzə ɛ̃fatiɡablə, sε flo bløs,
sε dɑ̃tεllə də sεl flɔkɔne,
ɡlisε syʁ tεz- ɑ̃ʃə
depozɑ̃ syʁ ta po
sε laʁmə- də sεl.